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  • Lecture d'été : le polar s'invite dans vos valises

    Cet été, glissez un peu de suspense dans vos valises avec notre sélection de polars à lire en vacances ! Meurtres en huis clos, enquêtes haletantes, thrillers psychologiques ou mystères à résoudre sous le soleil : ces romans noirs se dévorent entre deux baignades ou lors des longues soirées d’été. Que vous soyez fan de détectives charismatiques, d'intrigues tordues ou de rythmes effrénés, vous trouverez forcément le polar qui fera monter la tension… même en pleine canicule ! Des pages qui tournent toutes seules, pour un été sous haute tension.

    Sélection
  • Interview de Willy Graff, auteur de L’Affaire Narumi, un crime sans corps

    Tout d’abord, qui était la jeune Narumi Kurosaki ?

    Narumi était une brillante étudiante japonaise de 21 ans, à qui l’avenir tendait les bras. Issue d’un milieu très modeste, elle rêvait de poursuivre ses études en Europe. Narumi, présentée comme solaire et généreuse, faisait l’unanimité. Elle avait une attitude très « occidentale », ouverte sur le monde et sur les gens, à rebours des us et coutumes nippons.

    Interview
  • Découvrez l'Arkansas d'Eli Cranor

    Eli Cranor est de ces auteurs que nous sommes farouchement, obstinément et âprement fiers de défendre chez Sonatine car, au-delà d’un solide talent, il est issu de ces marges qu’il prend pour sujet. Et Chiens des Ozarks rappelle une évidence qu’on aurait tendance à oublier : la littérature a encore un pouvoir social, celui de la critique. Ses dénonciation subtiles ne passent jamais par la contestation ouvertement énoncée, mais se jouent dans un léger décalage : l’enrayage de la belle mécanique américaine.
    Interview
  • Découvrez l'Arkansas d'Eli Cranor

    Eli Cranor est de ces auteurs que nous sommes farouchement, obstinément et âprement fiers de défendre chez Sonatine car, au-delà d’un solide talent, il est issu de ces marges qu’il prend pour sujet. Et Chiens des Ozarks rappelle une évidence qu’on aurait tendance à oublier : la littérature a encore un pouvoir social, celui de la critique. Ses dénonciation subtiles ne passent jamais par la contestation ouvertement énoncée, mais se jouent dans un léger décalage : l’enrayage de la belle mécanique américaine.
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