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  • Lecture d'été : le polar s'invite dans vos valises

    Sonatine Lizzie Fleuve éditions Le bruit du monde Pocket Belfond

    Cet été, glissez un peu de suspense dans vos valises avec notre sélection de polars à lire en vacances ! Meurtres en huis clos, enquêtes haletantes, thrillers psychologiques ou mystères à résoudre sous le soleil : ces romans noirs se dévorent entre deux baignades ou lors des longues soirées d’été. Que vous soyez fan de détectives charismatiques, d'intrigues tordues ou de rythmes effrénés, vous trouverez forcément le polar qui fera monter la tension… même en pleine canicule ! Des pages qui tournent toutes seules, pour un été sous haute tension.

    Sélection

  • Face à face : deux romans en quête de vérité

    Fleuve éditions

    Les écrivains se sont depuis longtemps emparés du thème de la maladie mentale. Franck Thilliez, avec le captivant À retardement, nous embarque au sein même d’un hôpital spécialisé.

    News

  • Face à face : vos lectures de l'été

    Pocket Sonatine Belfond Fleuve éditions Editions Récamier

    Roman à savourer les pieds dans le sable ou polar pour les longues soirées d'été... Glissez entre vos mains des histoires qui font battre le cœur, voyager l’esprit, frissonner ou rêver.

    Sélection

  • Découvrez l'Arkansas d'Eli Cranor

    Sonatine
    Eli Cranor est de ces auteurs que nous sommes farouchement, obstinément et âprement fiers de défendre chez Sonatine car, au-delà d’un solide talent, il est issu de ces marges qu’il prend pour sujet. Et Chiens des Ozarks rappelle une évidence qu’on aurait tendance à oublier : la littérature a encore un pouvoir social, celui de la critique. Ses dénonciation subtiles ne passent jamais par la contestation ouvertement énoncée, mais se jouent dans un léger décalage : l’enrayage de la belle mécanique américaine.
    Interview

  • Découvrez l'Arkansas d'Eli Cranor

    Sonatine
    Eli Cranor est de ces auteurs que nous sommes farouchement, obstinément et âprement fiers de défendre chez Sonatine car, au-delà d’un solide talent, il est issu de ces marges qu’il prend pour sujet. Et Chiens des Ozarks rappelle une évidence qu’on aurait tendance à oublier : la littérature a encore un pouvoir social, celui de la critique. Ses dénonciation subtiles ne passent jamais par la contestation ouvertement énoncée, mais se jouent dans un léger décalage : l’enrayage de la belle mécanique américaine.
    Interview