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La concubine du Vatican
Catherine Barret (traduit par)
Date de parution : 09/06/2016
Éditeurs :
Presses de la cité

La concubine du Vatican

Catherine Barret (traduit par)
Date de parution : 09/06/2016
Après Le Serpent et la Perle, Kate Quinn poursuit son récit des aventures de Giulia, de son garde à la langue bien pendue, Leonello, et de sa cuisinière et confidente, Carmelina. 
De retour à Rome, Giulia Farnese, maîtresse officielle du pape et désormais mère d’une petite fi lle, doit faire face aux nouveaux dangers qui menacent son clan. Sa cuisinière et... De retour à Rome, Giulia Farnese, maîtresse officielle du pape et désormais mère d’une petite fi lle, doit faire face aux nouveaux dangers qui menacent son clan. Sa cuisinière et confidente, Carmelina, est rattrapée par son secret : le couvent dont elle s’est enfuie pourrait bientôt la retrouver et elle... De retour à Rome, Giulia Farnese, maîtresse officielle du pape et désormais mère d’une petite fi lle, doit faire face aux nouveaux dangers qui menacent son clan. Sa cuisinière et confidente, Carmelina, est rattrapée par son secret : le couvent dont elle s’est enfuie pourrait bientôt la retrouver et elle n’est plus en sécurité.
Son garde du corps Leonello est quant à lui bien décidé à mettre fin à la série de meurtres qui, étrangement, secoue de nouveau la ville depuis le retour des Borgia. Anna était sa seule amie et il refuse de laisser son crime impuni sous prétexte qu’elle était une simple servante.
L’étau se resserre autour de nos trois héros qui ne peuvent compter que les uns sur les autres.
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EAN : 9782258136519
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258136519
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Marion_piou 20/11/2023
    Deuxième tome qui ne m'a pas déçue ! Les personnages se complexifient et ont plus de "profondeur" je dirais. L'auteur n'oublie pas le contexte historique bien documenté. J'ai pris vraiment du plaisir à suivre les personnages jusqu'au dénouement final. Le personnage central, Giulia, n'éclipse pas les autres. J'ai bien aimé que les chapitre alternent les points de vue de chacun Giulia, Leo, Carmellina
  • coraliel59 30/05/2023
    Pour ce deuxième épisode nous retrouvons Giulia Farnese, toujours accompagnée de sa cuisinière Carmelina et de son garde du corps le nain Leonello, après leur prise d'otages par les Français. Les personnages évoluent. Leonello poursuit son enquête sur les meurtres de prostituées et va prendre de grands risques pour cela. Carmelina, toujours menacée par son secret, va devoir composer avec lui pour trouver le bonheur. Giulia quant à elle se rend compte qu'elle subit la dictature de la famille Borgia. Autant d'éléments qui font évoluer nos personnages pour le pire ou pour le meilleur. Nous crousons toujours la famille Borgia mais aussi d'autres personnages célèbres tels Savonarolle et Botticcelli. J'avoue ne pas avoir été totalement convaincue par le dénouement concernant Giulia et Leonello mais pour le reste j'ai pris plaisir à découvrir cette époque et ces personnages.
  • sarah-blum 18/12/2022
    Un roman historique comme je les aime! J’ai en effet été très rapidement « happée » par l’histoire tout en apprenant des choses sur la période en question en particulier sur la « petite » histoire. J’avais lu le premier tome il y a un moment déjà, mais ça ne m’a pas gênée dans la compréhension de ce tome. L’histoire se déroule à la fin du 15ème siècle sous le règne du pape Borgia et de sa famille qu’il adore. Ce dernier entretient une liaison, malgré le fait qu’il soit pape, avec la belle Giulia Farnese. Sa cour n’est qu’intrigues, violences et népotisme. Comment survivre dans un tel contexte? J’ai beaucoup aimé le fait qu’il y ait trois narrateurs (Giulia Farnese, son garde du corps le nain Leonello et Carmelina, maestria de cuisine). Cela donne du rythme à l’histoire et permets au lecteur ou à la lectrice d’appréhender les choses de différents points de vue. C’est intéressant de voir comment vivaient les puissants mais ça l’est aussi d’apprendre ce qui se passait en coulisses! Seul petit bémol pour moi (mais qui n’en est pas vraiment un en fait), la fin un peu tirée par les cheveux (mais je n’en dévoilerai pas davantage pour ne pas « spoilier »)
  • JML38 15/01/2021
    Après avoir pris un grand plaisir à découvrir la saga de la famille Borgia dans le Rome de la Renaissance avec « Le serpent et la perle », j'attendais beaucoup de cette suite et fin de l'histoire, et j'avoue ne pas avoir été déçu. Malgré un démarrage à peine laborieux, l'aspect épique reprend rapidement, le récit apportant son lot de complots, intrigues, assassinats. La narration est à nouveau répartie entre les trois mêmes personnages, celui réel de Giulia Farnese, la maîtresse du pape, « l'épouse du Christ », et ceux fictifs de Leonello, le garde du corps de la « Bella », et de Carmelina, préposée aux cuisines et confidente. Giulia, toujours aussi détestée et enviée à la fois, reste le personnage solaire du roman, attirant un maximum d'empathie par son humanité. Leonello prend encore plus d'importance, mettant son expérience du maniement des couteaux au service de causes diverses, n'oubliant pas celle qui lui tient à coeur depuis son arrivée dans l'entourage des Borgia. C'est peut-être les péripéties concernant Carmelina, qui m'ont le moins convaincu dans cette suite. L'évolution des membres de la famille Borgia est savoureuse. Rodrigo, « le taureau », devenu le pape Alexandre VI, est un protagoniste incontournable de la scène politique Italienne et Européenne. Il a créé une véritable dynastie en donnant à son fils César, « le serpent », un poste d'importance dans la hiérarchie ecclésiastique, et en plaçant Juan, son fils préféré, « le tigre », à la tête des armées pontificales. Les relations ambiguës qui s'installent entre les enfants de Rodrigo Borgia sont un pur régal, mélange d'hypocrisie et de coups bas derrière les sourires de façade, avec malgré tout la volonté de ne pas nuire à l'image De La Famille, et de maintenir intacte sa toute-puissance. Kate Quinn avoue dans sa postface avoir pris quelques libertés avec L Histoire, dans les événements et dans les dates. Elle reconnaît également que le règne des Borgia est du pain bénit pour les romanciers, notamment à travers ce qu'elle nomme le « népotisme aveugle » de Rodrigo Borgia né d'une affectation sans bornes pour ses enfants, et de la démesure de l'ambition et de l'orgueil de César. L'auteure a su piocher dans les faits et les rumeurs contradictoires pour faire du mythe Borgia un magnifique moment de lecture en deux parties. Après avoir pris un grand plaisir à découvrir la saga de la famille Borgia dans le Rome de la Renaissance avec « Le serpent et la perle », j'attendais beaucoup de cette suite et fin de l'histoire, et j'avoue ne pas avoir été déçu. Malgré un démarrage à peine laborieux, l'aspect épique reprend rapidement, le récit apportant son lot de complots, intrigues, assassinats. La narration est à nouveau répartie entre les trois mêmes personnages, celui réel de Giulia Farnese, la maîtresse du pape, « l'épouse du Christ », et ceux fictifs de Leonello, le garde du corps de la « Bella », et de Carmelina, préposée aux cuisines et confidente. Giulia, toujours aussi détestée et enviée à la fois, reste le personnage solaire du roman, attirant un maximum d'empathie par son humanité. Leonello prend encore plus d'importance, mettant son expérience du maniement des couteaux au service de causes diverses, n'oubliant pas celle qui lui tient à coeur depuis son arrivée dans l'entourage des Borgia. C'est peut-être les péripéties concernant Carmelina, qui m'ont le moins...
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  • MARVILLE 01/11/2020
    C'est la suite (et fin) du « Le serpent et la perle », qui retrace la vie des Borgia à travers les aventures de 3 narrateurs, Guilia Farnèse la maîtresse du Pape Rodrigo Borgia et deux anonymes, Léonello son garde du corps nain et Carmelina sa cuisinière. Ce tome commence sur des chapeaux de roue directement après la capture de Guilia par l’armée française, et le rythme ne faiblira pas jusqu’à fin. Plein de péripéties, on suit le quotidien des Borgia et de leurs familiers, leurs intrigues politiques, l’hypocrisie de la Chrétienté, les guerres et le sort peu enviable des femmes dans un moyen-âge admirablement bien dépeint. La succession des 3 narrateurs donne du rythme et permet un éclairage différent sur chaque grand évènement par leur caractère très dissemblable. On ne s’ennuie pas une minute jusqu’à une fin un peu abracadabrante mais si positive pour les 3 héros auxquels on s’est attaché qu’on ne peut que l’apprécier. Une superbe duologie, très vivante et instructive, même si romancée. J’ai beaucoup aimé.
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