La pelouse

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• bobtazar 08/12/2022

  Signaler
  A Juan-les-Pins, Jean-Marie Valaise, un jeune homme sans histoire, tombe amoureux fou de Marjorie, une jeune anglaise mariée mais malheureuse (ce qui n'est pas incompatible). Il part la rejoindre à Edimbourg. Là bas, rien ne se passe comme prévu. La belle, contre toute attente, est accompagnée de son mari jaloux et une longue errance va commencer dans les rues pluvieuses de la capitale écossaise. Une errance qui va emmener Jean-Marie à commettre l’irréparable, même si, avec Frédéric Dard, les apparences sont souvent trompeuses.
• koalas 25/05/2020

  Signaler
  Fâché avec Denise, Jean-Marie prend l'air sur la Côte d'Azur à Juan les Pins dans une chambre d'hôtel. En sortant du resto, il retrouve assise dans son cabriolet, Marjorie une jeune anglaise pleine de tâches de rousseur. le courant marin passe tout de suite avec la lovely English et quand elle lui demande de venir la rejoindre dans quelques jours au pays du kilt et de la cornemuse, il frétille comme un Westie... Ce petit polar de Frédéric Dard fait l'effet d' une bonne douche écossaise. On suit sourire aux lèvres le jeune amouraché bronzé errant comme Ivanhoé dans le froid, la grisaille et la pluie battante de Prince Street à la recherche de sa princesse rouquine ...Tout l'air d'un pigeon voyageur qui cherche sa mie en tendant le cou. La pelouse de Frédéric Dard n'est pas un poil rase-motte. On découvre la face cachée de la ville d'Edimbourg , ses ruelles sombres et ses grands jardins où un jeune richard au coeur de lion, crinière au vent, court comme un damné dans ce dédale en creusant peu à peu son trou... Pas de temps morts ni le loisir d'une petite visite commentée du château de Marie Stuart, c'est du roman noir bien trempé sonnant et rebondissant comme je les aime. Fâché avec Denise, Jean-Marie prend l'air sur la Côte d'Azur à Juan les Pins dans une chambre d'hôtel. En sortant du resto, il retrouve assise dans son cabriolet, Marjorie une jeune anglaise pleine de tâches de rousseur. le courant marin passe tout de suite avec la lovely English et quand elle lui demande de venir la rejoindre dans quelques jours au pays du kilt et de la cornemuse, il frétille comme un Westie... Ce petit polar de Frédéric Dard fait l'effet d' une bonne douche écossaise. On suit sourire aux lèvres le jeune amouraché bronzé errant comme Ivanhoé dans le froid, la grisaille et la pluie battante de Prince Street à la recherche de sa princesse rouquine ...Tout l'air d'un pigeon voyageur qui cherche sa mie en tendant le cou. La pelouse de Frédéric Dard n'est pas un poil rase-motte. On découvre la face cachée de la ville d'Edimbourg , ses ruelles sombres et ses grands jardins où un jeune richard au coeur de lion, crinière au vent, court comme un damné dans ce dédale en creusant peu à peu son trou... Pas de temps morts ni le loisir d'une petite visite commentée du château de Marie Stuart, c'est du roman...

  Lire la suite

  En lire moins
• SIRON 09/10/2015

  Signaler
  J'ai relu récemment ce roman de Frédéric Dard. Autant je n'accroche pas du tout à ce qu'il a écrit sous le pseudo de San Antonio, autant, j'adore ses autres œuvres. Ces livres sont inclassables. Contrairement à ce que disent certains, ce ne sont pas des polars. Aujourd'hui, on pourrait appeler ça des thrillers. Drame, suspense, sentiments, personnages souvent banals fort bien décrits à qui il arrive des histoires peu ordinaires : tous les ingrédients y sont pour établir un bon scénario. Et que dire de cette écriture limpide où aucun mot n'est en trop ? Des romans qu'on a envie de lire d'une seule traite tant ils sont palpitants mais qu'on regrette d'avoir terminés tant on voudrait qu'ils ne s'arrêtent jamais. Un des grands auteurs du XXe siècle.