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Le cas Victor Sommer
Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 25/05/2022
Éditeurs :
L'Archipel

Le cas Victor Sommer

Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 25/05/2022
Faut-il commettre l'irréparable pour être enfin quelqu'un ?
À 33 ans, Victor Sommer mène une vie monotone qui lui pèse. Secrètement, il aspire à devenir quelqu’un. Une ambition entravée par sa mère, infirme autoritaire et possessive qui l’empêche... À 33 ans, Victor Sommer mène une vie monotone qui lui pèse. Secrètement, il aspire à devenir quelqu’un. Une ambition entravée par sa mère, infirme autoritaire et possessive qui l’empêche de prendre son envol.
Le jour où celle-ci disparaît de façon mystérieuse, Victor est confronté à un monde qu’il n’a jamais...
À 33 ans, Victor Sommer mène une vie monotone qui lui pèse. Secrètement, il aspire à devenir quelqu’un. Une ambition entravée par sa mère, infirme autoritaire et possessive qui l’empêche de prendre son envol.
Le jour où celle-ci disparaît de façon mystérieuse, Victor est confronté à un monde qu’il n’a jamais appris à connaître…
 
« J’ai lu Le Cas Victor Sommer avec plaisir. Un livre à mi-chemin entre les Évangiles et Psychose d’Alfred Hitchcock. Une réussite ! » Amélie Nothomb
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EAN : 9782809844764
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782809844764
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • MalouD 11/03/2024
    A l’occasion du jury 1eres lignes de ma ville de PAU, j’ai eu l’occasion de lire ce roman « Le cas Victor SOMMER. » Petit livre à découvrir vraiment, cependant je ne suis pas d’accord avec l’accroche d' d’Amelie Nothomb dont par ailleurs j’adore les bouquins. Ce n’est pas un mix entre Psychose et les Evangiles ; pas assez tragique ni gore même si le propos ; un homme jeune (33 !) vivant seul avec sa mère incestueuse sur les bords mais surtout manipulatrice et castratrice va essayer de prendre une sorte d’envol vers la liberté…est tragique…ou plutôt pathétique. En l’espace de 3 semaines vont se dérouler les journées qui conduiront au grand final que j’aurais souhaité plus fun…. Le ton est comique bien écrit fluide et les personnages joyeusement croqués !!!
  • CecTessaLiam 14/02/2024
    Bonjour à toutes et tous! Aujourd'hui je vous parle de Le cas Victor Sommer du très talentueux Vincent Delareux paru en 2020 chez l'Archipel. Dans ce premier roman, découvrez la vie de Victor, ce trentenaire qui vit complètement aux dépens de sa mère un peu trop possessive.. Un jour celle-ci disparaît mystérieusement mais Victor va-t-il arriver à se débrouiller tout seul, lui qui ne l'a jamais été jusqu'ici ? Comment vivre et avancer avec tant de mystères autour de soi-même, un père absent et dont on ne parle pas, une mère un peu trop présente et qui vous empêche littéralement de vivre. À travers la poésie des mots de Vincent, avancez au fil de l'histoire et voyez les ravages que la toxicité entraîne, la puissance des non dits et des secrets familiaux qui vont peser leur poids dans votre existence. Vincent signe ici une histoire sombre mais tellement prenante et maîtrisée ! Des chapitres courts, un roman que vous aurez du mal à lâcher ! Un auteur a lire et à suivre que je vous recommande les yeux fermés !!!
  • Nath_Des_livres_et_un_peu_de_moi 07/01/2024
    𝙌𝙪𝙖𝙣𝙙 𝙡'𝙖𝙢𝙤𝙪𝙧 𝙚𝙨𝙩 𝙢𝙖𝙡𝙖𝙙𝙚 𝙚𝙩 𝙡𝙚 𝙥𝙖𝙨𝙨𝙚#769; 𝙩𝙧𝙤𝙥 𝙡𝙤𝙪𝙧𝙙, 𝙘𝙤𝙣𝙨𝙩𝙧𝙪𝙞𝙧𝙚 𝙡'𝘼𝙫𝙚𝙣𝙞𝙧 𝙚𝙨𝙩-𝙞𝙡 𝙚𝙣𝙘𝙤𝙧𝙚 𝙥𝙤𝙨𝙨𝙞𝙗𝙡𝙚 ? J'ai eu un #8450;𝕠𝕦𝕡 𝕕𝕖 #8450;œ𝕦𝕣 pour ce livre et la plume de son auteur ! Dans ce roman psychologique sombre, Vincent DELAREUX nous entraîne au cœur du fonctionnement du cerveau, dans ses zones les plus sombres et complexes. Il nous amène à redécouvrir la psychanalyse à travers un texte bien documenté dont la plume fluide donne une facilité d'accès à tous et nous immerge dans son intrigue dont les rebondissements plairont sans aucun doute aux amateurs de suspense Je vous le pitche rapidement : Jeudi. Pour Victor, c'est le jour du rendez-vous chez son psychiatre, le Dr Bernard Adam. Victor a 33 ans. Il vit toujours chez sa mère, une mère étouffante, envahissante, tentaculaire, à laquelle il ne parvient pas à échapper. Elle l'empêche d'avoir des amis ou de travailler, sous prétexte de prendre soin de lui et de savoir ce dont il a besoin. Victor aime sa mère et il est coincé dans cet amour, torturé, aux prises avec une forte ambivalence, entre son devoir de prendre soin d'elle et ses pensées et désirs d'émancipation. Ces dernières le font l'attaquer et en pensées ou dans ses rêves, allant jusqu'à souhaiter qu'elle soit morte. Mais, "Maman est toujours en vie", comme le rappelle inlassablement Victor à son psychiatre. Dans ce couple mère-fils, personne n'est jamais venu faire tiers jusqu'à présent. Pas d'homme, pas de père, pas de grands-parents. Juste Victor et "Maman". Pas étonnant alors que le seul homme présent dans sa vie, le Dr Adam, puisse incarner ce père inconnu, dont il pourrait avoir les traits, des traits entre-aperçus quelques secondes sur une photo lorsqu'il avait 10 ans. Et puis son travail c'est justement de l'aider à s'individualiser ! Enfin, dans cette amorce de séparation, une autre personne va venir bousculer les choses, Eugénie, l'autre femme... Et alors que des évolutions sont perceptibles, alors que c'est le jour de l'anniversaire de "Maman", elle disparaît soudainement... Dans ce roman, raconté à la 1ère personne, et qui s'échelonne sur un peu plus de 3 semaines, on suit Victor et ce qu'il écrit de ses journées dans un cahier. On accède ainsi à l'évolution de sa pensée, de ses décisions. Le choix de ce type de narration est très pertinent car il permet d'interpeller immédiatement le lecteur à cette place de témoin visuel du déroulement des faits 𝘢 𝘱𝘰𝘴𝘵𝘦𝘳𝘪𝘰𝘳𝘪. C'est efficace et on se connecte très vite à Victor qui va générer des sentiments ambivalents chez nous, en miroir des siens. Au fil des chapitres, des journées, on se sent de plus en plus empêtré dans une toile d'araignée dont on ne sait comment on va pouvoir se sortir. La fin n'est pas réellement une surprise, on peut la pressentir dès le début. Mais la force de ce roman est sa capacité à accompagner la montée en puissance des ressentis de son personnages principal et notamment de sa sensation d'étouffement et de son angoisse. C'est la compréhension du mécanisme qu'il permet qui fait de ce livre tout son intérêt, jusqu'à en donner des frissons au lecteur. Confrontation au réel, construction fantasmatique, pulsions de vie et pulsions de mort, Œdipe, passages à l'acte, objet contraphobique, rituels, confrontations aux affects, manipulation ou encore déni, tant de concepts freudiens réunis dans un même texte, dans un même cas. Quand les parents s'emmêlent et s'en mêlent, quand la réalité se construit sur des confusions de places, des problèmes de limites, que la toute-puissance d'un parent fait intrusion dans le moi en construction de l'enfant et que s'installe alors, pas après pas, baiser après baiser, en lieu et place de la sécurité et de l'estime de soi, une certitude plus forte encore, un dysfonctionnement inquiétant, une lutte pour la Vie... Un coup de cœur pour ce 1er roman, tant pour son histoire que sa structuration. J'attends la suite des romans de Vincent sur la famille Sommer avec impatience !𝙌𝙪𝙖𝙣𝙙 𝙡'𝙖𝙢𝙤𝙪𝙧 𝙚𝙨𝙩 𝙢𝙖𝙡𝙖𝙙𝙚 𝙚𝙩 𝙡𝙚 𝙥𝙖𝙨𝙨𝙚#769; 𝙩𝙧𝙤𝙥 𝙡𝙤𝙪𝙧𝙙, 𝙘𝙤𝙣𝙨𝙩𝙧𝙪𝙞𝙧𝙚 𝙡'𝘼𝙫𝙚𝙣𝙞𝙧 𝙚𝙨𝙩-𝙞𝙡 𝙚𝙣𝙘𝙤𝙧𝙚 𝙥𝙤𝙨𝙨𝙞𝙗𝙡𝙚 ? J'ai eu un #8450;𝕠𝕦𝕡 𝕕𝕖 #8450;œ𝕦𝕣 pour ce livre et la plume de son auteur ! Dans ce roman psychologique sombre, Vincent DELAREUX nous entraîne au cœur du fonctionnement du cerveau, dans ses zones les plus sombres et complexes. Il nous amène à redécouvrir la psychanalyse à travers un texte bien documenté dont la plume fluide donne une facilité d'accès à tous et nous immerge dans son intrigue dont les rebondissements plairont sans aucun doute aux amateurs de suspense Je vous le pitche rapidement : Jeudi. Pour Victor, c'est le jour du rendez-vous chez son psychiatre, le Dr Bernard Adam. Victor a 33 ans. Il vit toujours chez sa mère, une mère étouffante, envahissante, tentaculaire, à laquelle il ne parvient pas à échapper. Elle l'empêche d'avoir des amis ou de travailler, sous prétexte de prendre soin de lui et de savoir ce dont il a besoin. Victor aime sa mère et il est coincé dans cet amour, torturé, aux prises avec une forte ambivalence, entre son devoir de prendre soin d'elle et ses pensées et désirs d'émancipation. Ces dernières le font l'attaquer et en pensées ou dans ses rêves, allant...
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  • Lecigne 07/01/2024
    J'avais une petite panne de lecture mais ce roman m'a bien aidée. Je l'ai dévoré. Victor est victime d'une mère pathogène. Ce trentenaire vit seul avec cette femme infirme. L'héritage qu'elle a perçu permet aux deux de vivre sans travailler. Il permet surtout à cette bonne femme de maintenir serrés les liens. Victor n'est rien sans sa mère. Il n'existe qu'au travers d'elle. Les chapitres défilent. J'ai été happée dès les premières lignes. Vincent Delarieux est un magicien des mots. La plume est splendide, fluide et poétique. Ce thriller psychologique est captivant. Suivre l'histoire du point de vue de Victor est un régal. On voudrait lui indiquer la voie, le secouer, mais il est pris au piège. Nous aussi! L'homme cherche à s'emparer du monde qui l'entoure. À exister. C'est à la fois oppressant et inspirant. Ce livre est un coup de cœur. J'ai hâte de lire Les pyromanes, le second de l'auteur.
  • Likoune 29/12/2023
    Ce roman n'est ni un polar, ni un thriller, mais une tranche de vie, sombre et glaçante, de la famille Sommer. Victor est un Tanguy malgré lui, que sa mère a formaté à un quotidien auprès d'elle. Sournoisement, elle joue sur l'affect pour immiscer ses idées et sa perception du monde, enfermant son fils dans une relation toxique qu'il cautionne jusque là. L'auteur dépeint magnifiquement bien ces moments scellés par la répétition et l'usure, qui cadenassent toute rébellion. Les petits bourgs ruraux, loin de la frénésie des grandes villes sont plus enclin à accueillir ce type de relation familiale. Dépendants l'un de l'autre, les journées s'égrènent au rythme de l'achat du journal et des tisanes au thym de la mère. Mais Victor aspire à un minimum de liberté, ne serait-ce que financière. Lorsqu'il s'essaie à un job proche de chez lui, sans l'approbation de sa mère, et que le destin pose une ancienne camarade de classe sur sa route, la chrysalide se fend. Les certitudes de Victor se brouillent et sa perception de l'inconnu évolue. Une seule évidence se profile alors : l'attachement insecure de sa mère l'étouffe, il sature. Le lecteur est un réel spectateur. Nous suivons l'évolution presque inévitable de cette trame. Démunis de toute intervention, les pages se tournent toutes seules, pour s'enfoncer toujours plus dans le dramatique de la situation. Cela aurait-il pu se terminer autrement avec le si peu de clé en main ? À vos analyses 😉 Le personnage fictif de Victor est sûrement loin d'être un cas isolé, et cela laisse à réfléchir sur l'éducation, l'isolement et la prise en charge familiale. Ce roman n'est ni un polar, ni un thriller, mais une tranche de vie, sombre et glaçante, de la famille Sommer. Victor est un Tanguy malgré lui, que sa mère a formaté à un quotidien auprès d'elle. Sournoisement, elle joue sur l'affect pour immiscer ses idées et sa perception du monde, enfermant son fils dans une relation toxique qu'il cautionne jusque là. L'auteur dépeint magnifiquement bien ces moments scellés par la répétition et l'usure, qui cadenassent toute rébellion. Les petits bourgs ruraux, loin de la frénésie des grandes villes sont plus enclin à accueillir ce type de relation familiale. Dépendants l'un de l'autre, les journées s'égrènent au rythme de l'achat du journal et des tisanes au thym de la mère. Mais Victor aspire à un minimum de liberté, ne serait-ce que financière. Lorsqu'il s'essaie à un job proche de chez lui, sans l'approbation de sa mère, et que le destin pose une ancienne camarade de classe sur sa route, la chrysalide se fend. Les certitudes de Victor se brouillent et sa perception de l'inconnu évolue. Une seule évidence se profile alors : l'attachement insecure de sa mère l'étouffe, il sature. Le lecteur est un réel spectateur. Nous suivons l'évolution presque...
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