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Meurtre au château
Collection : Terres de France
Date de parution : 04/10/2012
Éditeurs :
Presses de la cité

Meurtre au château

Collection : Terres de France
Date de parution : 04/10/2012

A l’aube du XXe siècle, près de Falaise en Normandie, un fait divers qui suscita l’émotion et un énorme scandale.

Avec leur manoir et leur généalogie flatteuse, les Ménard...

A l’aube du XXe siècle, près de Falaise en Normandie, un fait divers qui suscita l’émotion et un énorme scandale.

Avec leur manoir et leur généalogie flatteuse, les Ménard de Couvrigny présentent l’image d’une famille respectable. Nul ne peut imaginer les scènes de débauche qui ont lieu derrière les...

A l’aube du XXe siècle, près de Falaise en Normandie, un fait divers qui suscita l’émotion et un énorme scandale.

Avec leur manoir et leur généalogie flatteuse, les Ménard de Couvrigny présentent l’image d’une famille respectable. Nul ne peut imaginer les scènes de débauche qui ont lieu derrière les murs de la grosse bâtisse, et dans lesquelles madame la baronne elle-même, toute honte bue, entraîne à sa suite enfants et domestiques.
Un seul obstacle à ces dépravations : le père, homme d’une autre époque, aimé de tout le village mais haï par les siens.

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EAN : 9782258100633
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258100633
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • DODONONO 24/07/2023
    Dans « Meurtre au château », Yves Jacob nous relate un fait divers qui défraya la chronique à l’aube du XX éme siècle, tout près de la ville de Falaise en Normandie. Un meurtre hors du commun, au sein d’une famille de châtelain, les Ménard de Couvrigny, apparemment respectable, mais au sein de laquelle, dans un château à l’ambiance sombre et crasseuse, il se passait des scènes de débauche et d’inceste. Sans dévoilé toute l’intrigue et son dénouement fatal, le baron Maxime Ménard de Couvrigny avait épousé en juste noce sa cousine germaine Marguerite Amélie Hélie de Trépel. Jolie femme du temps de sa jeunesse, Marguerite de Couvrigny est devenue au fil du temps une baronne sale, alcoolique et dépravée, qui se livrait sur ses jolies domestiques à des activités sexuelles sans retenues. Maxime de Couvrigny, honnête homme et apprécié hors les murs de son château, était accablé de dettes, une descente aux enfers accentuée par les dépenses en boissons de son auguste épouse et les trafics illicites de celle-ci. Une histoire de famille effroyable, que nous raconte avec moult détails l’écrivain Yves Jacob. Il faut lire « Meurtre au château », le récit terrifiant de la vie de la famille des Ménard de Couvrigny, qui se termine par un assassinat. Dans « Meurtre au château », Yves Jacob nous relate un fait divers qui défraya la chronique à l’aube du XX éme siècle, tout près de la ville de Falaise en Normandie. Un meurtre hors du commun, au sein d’une famille de châtelain, les Ménard de Couvrigny, apparemment respectable, mais au sein de laquelle, dans un château à l’ambiance sombre et crasseuse, il se passait des scènes de débauche et d’inceste. Sans dévoilé toute l’intrigue et son dénouement fatal, le baron Maxime Ménard de Couvrigny avait épousé en juste noce sa cousine germaine Marguerite Amélie Hélie de Trépel. Jolie femme du temps de sa jeunesse, Marguerite de Couvrigny est devenue au fil du temps une baronne sale, alcoolique et dépravée, qui se livrait sur ses jolies domestiques à des activités sexuelles sans retenues. Maxime de Couvrigny, honnête homme et apprécié hors les murs de son château, était accablé de dettes, une descente aux enfers accentuée par les dépenses en boissons de son auguste épouse et les trafics illicites de celle-ci. Une histoire de famille effroyable, que nous raconte...
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  • MichelZ 13/01/2018
    Les faits réels, surtout lorsqu'ils sont glauques, ne font pas forcément de très bons romans.
  • pika50 05/03/2015
    On ne ressort pas indemne de ce livre. Que de cruauté ! C'est une histoire authentique du début du 20ème siécle où sont évoqués des crimes sexuels (inceste mère/fils et fils/sœur) de manière très naturel et puis, il y a le fameux crime. Ce crime qui parait une évidence dans la vie de ces châtelains. J'ai beaucoup aimé ce livre qui se déroule du côté de Falaise (14) : bien écrit, fluide, chapitres pas trop long, ...
  • YvPol 14/11/2012
    Yves Jacob part d'un fait réel. Un meurtre au château de Fresné-la-Mère, en 1912. Il reproduit même certaines lettres, certains passages avérés. Il n'invente rien sur les faits minutieusement décrits. Là où son rôle de romancier intervient, c'est dans les personnages. Il se glisse tour à tour dans la peau des uns et des autres pour tenter de recréer l'atmosphère du moment, pour cerner les tentations et les raisonnements qui vont pousser au meurtre. A la manière d'un numéro de l'émission de télévision Faites entrer l'accusé, il raconte les circonstances, l'environnement, tous ces petits événements qui, mis bout à bout mènent certains à l'assassinat. Mais, Yves Jacob évite le côté pesant de l'émission. Au contraire, il pose son oeil et sa plume alertes (un oeil alerte ???) et ironiques pour décrire des scènes pathétiques. Il vole dans la première partie du roman une certaine légèreté en opposition au thème du bouquin, qui s'échappe totalement dès qu'on entre un peu plus dans le château. On l'attend le meurtre annoncé dans le titre. On l'attend car il tarde à venir. Mais sans impatience, car en son absence, on a notre lot d'aventures, de coucheries, d'aléas de la vie d'une famille de châtelains désargentée avec madame la baronne en pochtronne en chef ! On en est presque à redouter qu'il survienne ce meurtre et à émettre des hypothèses sur le nom de la future victime : le baron ? la baronne ? Rouillère, le journalier ? la petite bonne délurée ? Robert, le fils aîné ? Et quid de l'agresseur ? J'aurais pu m'éviter toutes ces interrogations en lisant la quatrième de couverture, qui bien que peu explicite donne un indice certain sur le nom de la victime, mais c'est une chose que je ne fais que rarement, ce qui, comme vous pouvez le constater, me procure du suspense supplémentaire. Et puis, le meurtre survient. Après une préparation active pour que le tueur soit efficace. Puis l'enquête et le procès. Un petit bémol quand même au milieu de ces compliments ? Celui-ci peut-être : plus j'avançais dans ma lecture, plus je pensais que l'auteur exagérait un peu et qu'il caricaturait ses personnages : la baronne en alcoolique finie, aux moeurs débridées (et c'est un euphémisme), Robert le fils aîné, haineux en proie à des pulsions sexuelles, Marie-Louise, la jeune bonne délurée, le baron un homme apprécié par les gens (hormis sa famille) pour sa bonté, sa bonhommie et sans doute par pitié aussi. Mais que nenni ! Car, dès que j'ai refermé le livre, je me suis précipité (enfin, point trop rapidement quand même, pas échauffé, je pourrais me faire du mal) sur Internet pour y fair des recherches sur ce meurtre, et là, quelle ne fut pas ma surprise de lire que les personnages auxquels Yves Jacob redonne vie étaient tels qu'ils les décrit. Certes, il prévient bien le lecteur dans un préambule, mais le voir écrit dans des documents d'époque (un article du Petit Parisien, notamment) l'innocente totalement du délit d'exagération. Je n'ai donc plus rien à reprocher à Yves Jacob ; il vous reste donc à lire cet excellent roman qui montre qu'il n'est parfois point besoin d'aller chercher bien loin les idées pour construire une histoire policière sordide mais passionnante. Une telle histoire inventée par l'auteur et on crierait à l'incroyable, au manque de véracité.Yves Jacob part d'un fait réel. Un meurtre au château de Fresné-la-Mère, en 1912. Il reproduit même certaines lettres, certains passages avérés. Il n'invente rien sur les faits minutieusement décrits. Là où son rôle de romancier intervient, c'est dans les personnages. Il se glisse tour à tour dans la peau des uns et des autres pour tenter de recréer l'atmosphère du moment, pour cerner les tentations et les raisonnements qui vont pousser au meurtre. A la manière d'un numéro de l'émission de télévision Faites entrer l'accusé, il raconte les circonstances, l'environnement, tous ces petits événements qui, mis bout à bout mènent certains à l'assassinat. Mais, Yves Jacob évite le côté pesant de l'émission. Au contraire, il pose son oeil et sa plume alertes (un oeil alerte ???) et ironiques pour décrire des scènes pathétiques. Il vole dans la première partie du roman une certaine légèreté en opposition au thème du bouquin, qui s'échappe totalement dès qu'on entre un peu plus dans le château. On l'attend le meurtre annoncé dans le titre. On l'attend car il tarde à venir. Mais sans impatience, car en son absence, on a notre lot d'aventures, de coucheries, d'aléas de la vie d'une famille de châtelains désargentée...
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