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Philomena
Judi Dench (préface de), Marion Roman (traduit par)
Date de parution : 23/01/2014
Éditeurs :
Presses de la cité
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Philomena

Judi Dench (préface de), Marion Roman (traduit par)
Date de parution : 23/01/2014

 
Philomena retrace le destin bouleversant d’une mère et de son fils qui, séparés leur vie entière, ont tout fait pour se retrouver. 
 
Lorsqu’elle tombe enceinte, en 1951, Philomena Lee n’est qu’une...
Philomena retrace le destin bouleversant d’une mère et de son fils qui, séparés leur vie entière, ont tout fait pour se retrouver. 
 
Lorsqu’elle tombe enceinte, en 1951, Philomena Lee n’est qu’une adolescente. Dans l’Irlande d’alors, avoir un enfant hors mariage est un péché. Rejetée par les siens, elle est envoyée au...
Philomena retrace le destin bouleversant d’une mère et de son fils qui, séparés leur vie entière, ont tout fait pour se retrouver. 
 
Lorsqu’elle tombe enceinte, en 1951, Philomena Lee n’est qu’une adolescente. Dans l’Irlande d’alors, avoir un enfant hors mariage est un péché. Rejetée par les siens, elle est envoyée au couvent de Roscrea. Pendant trois ans, Philomena travaille à la blanchisserie et ne peut voir son fils Anthony qu’une heure par jour. Une heure de soleil au milieu du labeur quotidien. Mais le 18 décembre 1955, Anthony lui est enlevé et part avec sa famille adoptive – de riches Américains.
 
Philomena a malgré tout voué les cinquante années suivantes de son existence à chercher son fils, se heurtant sans cesse au silence de l’Eglise. Elle ignore que, de son côté, celui-ci a entrepris la même quête. Rebaptisé Michael Hess, le garçon est devenu un avocat réputé avant de travailler au sein du parti républicain sous les administrations Reagan et Bush. Il cache des années durant son homosexualité, puis sa séropositivité, à son entourage. Condamné par la maladie, il décide de partir pour l’Irlande, sur les traces de sa mère. Pour se heurter lui aussi au mutisme des religieuses… 
 
Cette histoire a été magnifiquement portée à l’écran par Stephen Frears, avec Judi Dench et Steve Coogan dans les rôles principaux.
 
Traduit de l’anglais par Marion Roman
 
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EAN : 9782258108868
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • ceciledetinne 20/08/2023
    Philomena jeune femme acouche d'un petit garçon dans un couvent sinistre tenu par des religieuses en Irlande. Elle vivra trois ans à ses côtés avant que celui-ci ne soit adopté par une famille américaine. Des années plus tard elle cherchera à retrouver celui qui lui manque. ayant beaucoup aimé le film, mené par l'excellente Judy Dench, j'avais vraiment envie de me replonger, en lecture cette fois dans cet univers. La première partie de l'ouvrage est vraiment abominable. L'histoire de Philomena et de ses années de servitude au couvent prend vraiment aux tripes. La seconde et dernière partie est consacrée à Anthony, alias Michael, le fils de Philomena. De son enfance avec sa sœur adoptive également, Mary jusqu'à son décès dû au sida, en passant par sa carrière politique et son homosexualité. La personne est très touchante. On sent dès l'enfance la problématique de son adoption, le manque et l'incompréhension lié à celui-ci d'autant plus que l'attitude de son père adoptif n'est pas vraiment safe. On sent la personne très à fleur de peau, même si j'avoue avoir été aussi très agacée par le personnage, par sa tendance à saboter ses relations personnelles. J'ai été très surprise également de ne pas suivre l'enquête en direct de la recherche d'Anthony. Philomena est finalement assez peu présente, si ce n'est dans la première partie du livre. https://www.facebook.com/unhiboudanslabibliotheque https://www.instagram.com/un_hibou_dans_la_bibliotheque/ Philomena jeune femme acouche d'un petit garçon dans un couvent sinistre tenu par des religieuses en Irlande. Elle vivra trois ans à ses côtés avant que celui-ci ne soit adopté par une famille américaine. Des années plus tard elle cherchera à retrouver celui qui lui manque. ayant beaucoup aimé le film, mené par l'excellente Judy Dench, j'avais vraiment envie de me replonger, en lecture cette fois dans cet univers. La première partie de l'ouvrage est vraiment abominable. L'histoire de Philomena et de ses années de servitude au couvent prend vraiment aux tripes. La seconde et dernière partie est consacrée à Anthony, alias Michael, le fils de Philomena. De son enfance avec sa sœur adoptive également, Mary jusqu'à son décès dû au sida, en passant par sa carrière politique et son homosexualité. La personne est très touchante. On sent dès l'enfance la problématique de son adoption, le manque et l'incompréhension lié à celui-ci d'autant plus que l'attitude de son père adoptif n'est pas vraiment safe. On sent la personne très à fleur de peau, même si j'avoue avoir été aussi très agacée par le...
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  • LeCoindAudrey 16/06/2019
    Je suis encore tellement bouleversée par ce roman, que je ne sais pas encore par où commencer ma chronique. L'histoire peut-être ? Du temps où l'Eglise régnait sur les décisions du gouvernement, avoir un enfant hors mariage était pointé du doigt, tellement déshonorant, les jeunes filles étaient des pécheresses (et les messieurs alors ? Mise à part Marie, aucune femme n'a réussi à faire des bébés toutes seules !!) se réfugiant donc chez les Soeurs dans une abbaye. Ce fut le cas de Philomena, hélas une jeune fille parmi tant d'autres, 18 ans alors, bouleversée mais une fois son enfant, Anthony, dans ses bras, les émotions d'une maman lui vint tout naturellement. Malheureusement, elle n'était pas dupe, elle savait que cet enfant allait lui être retiré, à l'âge de ses trois ans, comme pour toutes les jeunes filles de l'époque, adopté par une famille de l'autre côté de l'Atlantique. Premier déchirement. Par la suite, nous suivons l'évolution d'Anthony, rebaptisé Michael, comme son "père" adoptif et Mary, une petite fille née dans le même abbaye qu'il considère comme sa soeur de coeur, sa confidente. Anthony grandit donc en gardant en tête un vague souvenir de sa vraie mère et une fois l'âge adulte atteint, il décide de retourner sur ses terres natales pour la revoir et lui demander pourquoi elle ne voulait plus de lui. L'Eglise se taisant sur son passé, le SIDA le rongeant de plus en plus, l'aventure n'aura pas le goût qu'Anthony aura imaginé ... Rien que d'y repenser, je lutte pour ne pas pleurer. Etant jeune maman, je me suis tout de suite identifiée à Philomena, ce sentiment lorsque l'on prends pour la première fois son petit, cette joie quand on le regarde dormir ou même sourire, m'imaginer qu'on me la retire comme pour Anthony, j'avais le coeur qui se serrait, une boule au ventre et l'envie de hurler en même temps que Philomena ! Martin Sixsmith a réussi à recueillir des informations percutantes et l'une m'a choquée plus que d'autres ... Lorsque Anthony Mary sont dans leur nouvelle famille, ce dernier a comme paroles : " - Tu te souviens de ta maman ? Pas celle de maintenant mais la vraie. Mary se mit à sucer son pouce et contempla son frère, les yeux écarquillés. - Nos vraies mamans, elles ne voulaient pas de nous, parce qu'on était méchants. " Même si Anthony arrive plus ou moins à s'adapter à cette vie en ayant fait des études d'avocat, en ayant une vie de couple, un peu tabou d'ailleurs car il a caché de son mieux son homosexualité, son enfance n'a pas été rose. Persécuté par ses "frères" aînés, une mère adoptive limite surprotectrice, un père regrettant ses adoptions ... Même Mary ne trouve pas sa place et part sur un chemin de mauvaise discipline. Le souvenir de leurs mères étant présent jusqu'au bout, les sentiments se mélangent : manque de confiance en soit, incompréhension, colère ... L'auteur utilise des mots très simples et les explications qu'il donne sont un plus énorme pour la compréhension de l'histoire, qu'elle soit politique (car oui, il y a quelques touches politiques) ou celle des personnages. Les 506 pages se dévorent en très peu de temps. Je m'étais dit : " Bon, si tu lis tant par jour, tu peux le faire en tant de jours." Au final, une soirée/nuit m'a suffit à engloutir plus de 400 pages ! La seule petite chose que je peux "reprocher" à l'auteur est de ne pas avoir fait, en parallèle, un ou deux chapitres sur Philomena après sa sortie de l'abbaye, voir également son évolution après cette tragédie (Appelons un chat, un chat). Mais je pense qu'il n'a pas pu trouver toutes ses informations à temps ou alors il n'a pas voulu enfoncer le couteau dans la plaie encore bien vive après tant d'années ! Ce roman étant adapté au cinéma, j'irai avec grand plaisir (et trois bons paquets de mouchoirs) me glisser dans le noir, le temps de voir toutes mes pensées sur pellicule. Pour conclure, je ne peux que vous conseillez de plonger la tête dans ce bouquin. Avec une écriture aussi fluide, aussi vraie qui reflète extrêmement bien les ressentis des personnages ... Je ne sais pas si ce sera un agréable moment vu la poigne du côté dramatique mais si vous n'en sortez pas le coeur peiné, c'est que vous n'avez pas du tout accroché ! Je suis encore tellement bouleversée par ce roman, que je ne sais pas encore par où commencer ma chronique. L'histoire peut-être ? Du temps où l'Eglise régnait sur les décisions du gouvernement, avoir un enfant hors mariage était pointé du doigt, tellement déshonorant, les jeunes filles étaient des pécheresses (et les messieurs alors ? Mise à part Marie, aucune femme n'a réussi à faire des bébés toutes seules !!) se réfugiant donc chez les Soeurs dans une abbaye. Ce fut le cas de Philomena, hélas une jeune fille parmi tant d'autres, 18 ans alors, bouleversée mais une fois son enfant, Anthony, dans ses bras, les émotions d'une maman lui vint tout naturellement. Malheureusement, elle n'était pas dupe, elle savait que cet enfant allait lui être retiré, à l'âge de ses trois ans, comme pour toutes les jeunes filles de l'époque, adopté par une famille de l'autre côté de l'Atlantique. Premier déchirement. Par la suite, nous suivons l'évolution d'Anthony, rebaptisé Michael, comme son "père" adoptif et Mary, une petite fille née dans le même abbaye qu'il considère comme sa soeur de coeur, sa confidente. Anthony grandit donc en gardant en tête un vague souvenir de sa vraie mère et une fois l'âge adulte...
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  • Liraddict 20/04/2019
    L'Irlande accepte enfin de parler des destins des enfants nés hors mariage - 1951
  • enoline 28/02/2018
    si le film parle essentiellement de la maman qui recherche son fils. Le livre , lui raconte dans les détails le parcours du fils. "Pour aller de l'avant il faut savoir d"'où l'on vient" ; ce proverbe résume assez cette touchante histoire. Irlande / année 50. Le lieu et le temps pourrait se passer en France ; de nos jours .... La cupidité, la perversité de certains membres du clergé ; sont je pense toujours d'actualité !! Un peu long.
  • Pixis 06/02/2017
    Une histoire vraie bien triste, lugubre, et pas en l'honneur des religieux catholiques. Dommage que l'on insiste longuement sur l'homosexualité de Michaël, c'est certes très important mais de là à tomber dans les détails... et pas assez sur la vie de la mère. Bref, le livre est déséquilibré, l'histoire de la recherche de la mère et de sa souffrance manque vraiment.
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