Seuls dans l'univers

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Shan_Ze 06/07/2023

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  Dans Seuls dans l'univers Sara Seager raconte sa vie depuis la découverte de sa passion pour l'espace et son métier d'astronome en passant par son quotidien bouleversé avec son mari Mike, la découverte de sa maladie et ses deux enfants. Il peut parfois être un peu dur de suivre la vie d'une autre personne mais Sara Seager sait trouver les bons mots : elle parle de sa façon d'être qui peut parfois dérouter certains, du parallèle qu'elle voit parfois entre sa relation aux autres et sa perception de l'univers... Elle raconte sa passion, ses idées pour arriver à enfin arriver à trouver des êtres vivants dans l'univers. Au début, on voit rapidement qu'il est question de deuil, d'arriver à le surmonter, d'arriver à être une mère solo. Sa rencontre avec les Veuves de Concord est aussi très touchante. La révélation de son autisme viendra finalement assez tard même si certains indices sont semés. Sa représentation d'elle-même semble assez juste même si certains épisodes manquent parfois un peu de précision mais j'ai aimé ce portrait quelques fois un peu brouillon qui montre une femme qui arrive à surmonter les différentes épreuves qui lui sont imposées. Magnifique !
• mathildewm 31/10/2022

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  Dans cet écrit à nul autre pareil, Sara se livre : ses études pour découvrir des exoplanètes, à une époque où elles relèvent encore a moitié de la science-fiction pour la communauté scientifique, ses difficultés dna sle milieu académique, mais aussi sa vie de famille, sa vie de couple, la maladie de son mari, son veuvage à trente ans à peine... Ses difficultés à s'exprimer dans les tâches quotidiennes, son Asperger diagnostiqué à quarante ans... Toute une vie de hauts et de bas en quelques centaines de pages. J'ai été très touchée par les tribulations de cette femme qui se livre avec simplicité, qui montre sa passion pour son métier autant que son amour pour sa famille. On sent son enthousiasme pour l'astrophysique (une discipline encore maintenant dominée par la gent masculine), son désespoir à la mort de son mari, cette sensation de perdre pied face aux petits soucis quotidiens que "tout le monde" semble résoudre si aisément. Et pourtant, au fil des pages, de cette lecture émerge un vibrant hommage à la Vie !! J'ai été émue par cette femme, épouse, mère et scientifique, qui réussit à porter à bout de bras ses multiples rôles sans oublier de vivre. Si c'était un roman, j'aurais dit que c'était trop "trop" pour être vrai ! 😉 Comme quoi, parfois, la réalité dépasse la fiction !! Une superbe lecture que je recommande à tous et à toutes !!Dans cet écrit à nul autre pareil, Sara se livre : ses études pour découvrir des exoplanètes, à une époque où elles relèvent encore a moitié de la science-fiction pour la communauté scientifique, ses difficultés dna sle milieu académique, mais aussi sa vie de famille, sa vie de couple, la maladie de son mari, son veuvage à trente ans à peine... Ses difficultés à s'exprimer dans les tâches quotidiennes, son Asperger diagnostiqué à quarante ans... Toute une vie de hauts et de bas en quelques centaines de pages. J'ai été très touchée par les tribulations de cette femme qui se livre avec simplicité, qui montre sa passion pour son métier autant que son amour pour sa famille. On sent son enthousiasme pour l'astrophysique (une discipline encore maintenant dominée par la gent masculine), son désespoir à la mort de son mari, cette sensation de perdre pied face aux petits soucis quotidiens que "tout le monde" semble résoudre si aisément. Et pourtant, au fil des pages, de cette lecture émerge un vibrant hommage à la Vie !! J'ai été émue par cette femme, épouse, mère et scientifique, qui réussit à porter à bout de bras ses multiples rôles sans oublier de vivre. Si...

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• Piotelat 30/04/2022

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  Le livre "The smallest lights of the universe" de Sara Seager fait partie de ceux dont je lis régulièrement des éloges de la part d'astrophysiciens ou de personnes intéressées par SETI depuis sa sortie en 2020. J'ai été un peu surprise par la traduction du titre "Seuls dans l'univers", sans point d'interrogation. Sara Seager est l'une des astrophysiciennes les plus influentes au monde. J'avais complètement oublié l'époque où, quand on disait à quelqu'un qu'il n'y avait aucune raison pour que le soleil soit la seule étoile avec des planètes autour, on se heurtait à des regards hostiles. Sara Seager a débuté sa carrière à ce moment là. Elle décrit ses hésitations d'étudiante de troisième cycle avant de s'engager dans cette recherche de planètes. Dans le livre "Seuls dans l'univers", elle parle aussi beaucoup de la difficulté d'être femme. Pour obtenir un poste de professeurs, certains entretiens ont été difficiles. A la fin de sa carrière, on l'invite à faire partie de comités prestigieux à la NASA, mais avec des déplacements réguliers, ce qui est compliqué quand on a perdu son époux et que l'on doit gérer deux enfants. Sara Seager parle du deuil dès le début du livre. L'histoire des exoplanètes et celle de Mike s'entremêlent. Si on se place du côté ténébreux, le titre "Seuls dans l'univers" se comprend aisément. Elle évoque discrètement l'autisme détecté alors qu'elle avait une quarantaine d'années. Elle a beaucoup de recul sur le deuil, ce qui rend certains passages hilarants. Les veuves de Concord sont géniales et plusieurs scènes relèvent de la comédie ! Les mémoires de Sara Seager sont surtout un vibrant hommage à Mike. Elle lui donne vie à travers les pages, on a l'impression de le connaître, l'impression qu'on pourrait le voir demain descendre une rivière en canoë. Sa quête de vie dans l'univers est aussi une réflexion sur la mort. Le livre "The smallest lights of the universe" de Sara Seager fait partie de ceux dont je lis régulièrement des éloges de la part d'astrophysiciens ou de personnes intéressées par SETI depuis sa sortie en 2020. J'ai été un peu surprise par la traduction du titre "Seuls dans l'univers", sans point d'interrogation. Sara Seager est l'une des astrophysiciennes les plus influentes au monde. J'avais complètement oublié l'époque où, quand on disait à quelqu'un qu'il n'y avait aucune raison pour que le soleil soit la seule étoile avec des planètes autour, on se heurtait à des regards hostiles. Sara Seager a débuté sa carrière à ce moment là. Elle décrit ses hésitations d'étudiante de troisième cycle avant de s'engager dans cette recherche de planètes. Dans le livre "Seuls dans l'univers", elle parle aussi beaucoup de la difficulté d'être femme. Pour obtenir un poste de professeurs, certains entretiens ont été difficiles. A la fin de sa carrière, on l'invite à faire partie de comités prestigieux à la NASA, mais avec des déplacements réguliers, ce qui est compliqué quand on a perdu son époux et que l'on doit gérer deux enfants. Sara Seager parle du deuil dès le début du livre. L'histoire des...

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