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Tout un poème
Corinna Gepner (traduit par)
Collection : Sang d'Encre
Date de parution : 03/11/2015
Éditeurs :
Presses de la cité

Tout un poème

Corinna Gepner (traduit par)
Collection : Sang d'Encre
Date de parution : 03/11/2015
Le tueur était sur les réseaux sociaux
Deux corps sans vie sont découverts au bord d’un lac, à Salzbourg. Un jeune homme et une jeune femme. Leur seul lien : un groupe de poésie sur Facebook.
Beatrice Kaspary, inspecteur...
Deux corps sans vie sont découverts au bord d’un lac, à Salzbourg. Un jeune homme et une jeune femme. Leur seul lien : un groupe de poésie sur Facebook.
Beatrice Kaspary, inspecteur expert en nouveaux médias, est déterminée à percer ce mystère. Sous pseudonyme, elle ne tarde pas à remarquer sur la...
Deux corps sans vie sont découverts au bord d’un lac, à Salzbourg. Un jeune homme et une jeune femme. Leur seul lien : un groupe de poésie sur Facebook.
Beatrice Kaspary, inspecteur expert en nouveaux médias, est déterminée à percer ce mystère. Sous pseudonyme, elle ne tarde pas à remarquer sur la Toile quelques usagers suspects postant des bribes de poèmes, qui, selon toute vraisemblance, constituent des messages codés. Mais quelle en est la clé ? Alors que la liste des cadavres ne fait qu’augmenter, Beatrice se retrouve au cœur d’une machination des plus singulière…
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EAN : 9782258133419
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258133419
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Ericdesh 05/10/2018
    Un bon roman, doté de personnages interessants, à l'intrigue originale et prenante. Le roman se lit vite tant on a envie de connaître la raison de l'enchaînement des meurtres. Un roman de qualité donc mais avec néanmoins un petit bémol. En effet, les 3/4 du roman exploitent à fond l'idée du groupe d'amateurs de poésie sur facebook mais au final, quand on prend connaissance de l'intégralité des tenants et aboutissants de l'intrigue, je m'aperçois que le thème de la poésie prend une part trop importante par rapport au thème, bien plus important, révélé en fin de roman. Je ressens donc comme un petit goût d'inachevé. Pour autant, ce roman mérite qu'on s'y intéresse.
  • AudreyMarie 05/07/2017
    Je viens de terminer de lire la dernière page il y a à peine trois minutes. Et ce livre est surprenant, déroutant et époustouflant. J'ai beaucoup aimé le fait que l'intrigue se déroule autour de Facebook. On a l'impression de suivre le fil d'actualité en direct, d'attendre que les messages arrivent, que les commentaires affluent. C'est comme si nous étions un membre du groupe, et que l'on était en mesure de tout suivre, cela rend l'intrigue accessible, interactive, divertissante, vivante et réelle et en même temps extrêmement dérangeante. J'ai eu parfois l'impression de regarder à travers une serrure, d'être un voyeur quelconque, et j'ai ressenti comme un sentiment de malaise, car justement tout parait à portée de main. Ce livre nous permet de franchir une barrière invisible entre page d'un livre, mot, virtualité, réalité. Je suis abasourdie par toutes les émotions que procure ce livre. J'ai imaginé, (et je pense du coup que j'aurai préféré) un autre dénouement du point de vue de l'enquête. Mais ce livre est vraiment bien pensé, il rend complètement accro. Et j'aime la relation entre Florin et Béatrice. Une très bonne lecture!
  • Zi 20/01/2016
    Ursula Poznanski nous propose ici une très bonne histoire, intrigante et nous emmenant de manière originale vers un dénouement inattendu. Les personnages sont particulièrement attachants et c'est avec plaisir qu'on les suit dans leur enquête sur un groupe facebook qui semble être lié à une série de meurtre. Seule leur appartenance à ce groupe de poésie relie les victimes. Pour la police il y a forcément "anguille sous roche". Est-ce le terrain de chasse d'un nouveau prédateur ? Les poèmes diffusés recèlent-ils un sens cachés ? Les héros sont apparus pour la 1ère fois dans le titre Cinq, mais l'histoire peut se lire de manière indépendante bien que l'on regrette de prendre en route celle des personnages.
  • manue14 22/11/2015
    J’ai vraiment beaucoup aimé ce roman. Ursula Poznanski nous fait partager le quotidien d’un groupe de poésie sur Facebook, le célèbre réseau social. Au début du roman on ne comprend pas très bien ce qui relie toutes ces personnes qui se font tuer ou qui se suicident. Petit à petit l’auteure dénoue le fil de ses idées et « emprisonne » ses lecteurs dans la toile, dans cette enquête et dans cette histoire hors du commun. Les personnages sont sensibles, émouvants et plus on avance dans l’histoire plus on se prend d’amitié pour certains d’entre eux. Ce qui peut plaire mais aussi être frustrant c’est que l’auteure fait parfois allusion à son premier roman. Personnellement j’ai trouvé cela très bien mais j’ai été frustrée de ne pas l’avoir lu auparavant. Et ainsi cela me donne très envie de découvrir les premières enquêtes du duo Beatrice et Florin. Les idées sont intéressantes, s’enchaînent bien et je les ai trouvées aussi réalistes. En effet je n’avais encore jamais lu un roman qui mêlait des faits réalistes et le réseau social Facebook. Je pense que lorsqu’on a fini de lire ce roman on ne peut plus voir les groupes de ce site de la même manière qu’avant. J’aurais souhaité un peu plus de descriptions. Il y en a de très bonnes mais j’aurais souhaité en avoir un peu plus concernant les personnages. Quant aux sentiments et aux lieux, l’auteure arrive assez facilement à nous faire éprouver les émotions de ses protagonistes et à nous mettre dans l’ambiance de la plupart de leurs situations. J’ai beaucoup aimé le point de vue du tueur, le seul à être interne afin de donner vraiment une autre dimension à l’histoire. J’ai beaucoup apprécié les poèmes que l’on peut lire dans le groupe, ils sont vraiment très bien écrits. Cela nous permet de connaître des auteurs et des poèmes que l’on n’aurait peut-être jamais lus. Le duo Beatrice/ Florin est attachant et l’auteur nous fait aussi partager leur quotidien sans évidemment oublier l’enquête. C’est aussi ce que j’ai beaucoup aimé, il y a des moments d’intimité mais l’enquête est toujours très présente. J’ai beaucoup apprécié le huis clos de la fin entre les trois personnages. Ce moment pendant lequel tout nous est expliqué où on comprend tout. Il est vraiment émouvant et plein de sincérité. La fin est un petit peu trop romancée pour moi, j’aurais peut-être aimé avoir un petit rappel de l’enquête c’est presque le seul bémol que je ferais à ce roman mais ce n’est rien par rapport au plaisir que j’ai ressenti en le lisant. En résumé un roman avec une histoire touchante dont on ressort forcément changé. Un roman dont on tire forcément une leçon de vie. J’ai vraiment beaucoup aimé ce roman. Ursula Poznanski nous fait partager le quotidien d’un groupe de poésie sur Facebook, le célèbre réseau social. Au début du roman on ne comprend pas très bien ce qui relie toutes ces personnes qui se font tuer ou qui se suicident. Petit à petit l’auteure dénoue le fil de ses idées et « emprisonne » ses lecteurs dans la toile, dans cette enquête et dans cette histoire hors du commun. Les personnages sont sensibles, émouvants et plus on avance dans l’histoire plus on se prend d’amitié pour certains d’entre eux. Ce qui peut plaire mais aussi être frustrant c’est que l’auteure fait parfois allusion à son premier roman. Personnellement j’ai trouvé cela très bien mais j’ai été frustrée de ne pas l’avoir lu auparavant. Et ainsi cela me donne très envie de découvrir les premières enquêtes du duo Beatrice et Florin. Les idées sont intéressantes, s’enchaînent bien et je les ai trouvées aussi réalistes. En effet je n’avais encore jamais lu un roman qui mêlait des faits réalistes et le réseau social Facebook. Je pense que lorsqu’on a fini de lire ce roman on ne peut plus voir les groupes de ce site de la même manière qu’avant. J’aurais souhaité un peu...
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  • angelita.manchado 05/11/2015
    Elle est enfermée dans le coffre d’une voiture à côté d’un homme. Elle sait qu’elle va mourir. Bea et Florin sont appelés suite à la découverte de deux cadavres. Il semblerait que l’homme ait tué la femme avant de se suicider. Sauf que certains éléments gênent Bea. Je ne sais pour quelle raison j’ai mis du temps à me plonger en temps réel dans ce roman. Pourtant, j’étais plus que ravie de lire à nouveau cet auteur. Mais le début et les 100 premières pages ne m’ont pas fait plus d’effet que ça. Il me tardait que cela se mette réellement en route. Malgré les meurtres, les questionnements de Bea, la sauce ne prenait pas. Pourtant, entre 5 et Tout un poème, du temps s’est écoulé à mon niveau. Tout un poème peut être considéré comme une suite à 5 puisque l’action se passe quelques mois seulement après la grosse enquête de Bea. En tous les cas, passées ces pages qui ne sont pas d’un ennui total, l’auteur réussit un véritable tour de force. Nous plonger dans l’enquête avec tous ces personnages et nous dévoiler, strictement à la fin, le pourquoi du comment. D’ailleurs, je me suis demandée quel est le véritable but poursuivi mais en lisant les confessions des uns et des autres, j’en comprends toute l’ampleur. Le groupe de poésie sur Facebook, la quête inlassable de victimes de bourreaux, en tous les cas, le sujet est bien trouvé. Même avec des groupes fermés sur le Net, les échanges ne sont pas toujours ce qu’ils sont. Il faut lire entre les lignes pour tenter de comprendre, sauf si certains messages s’adressent à des personnes spécifiques qui ne sont pas toujours connectées en temps voulu. Il peut y avoir de belles choses sur les réseaux sociaux, certes, mais les dangers du Net sont bel et bien là et ce n’est pas parce que l’on se cache derrière un écran que tout est tranquille. Il faut également tirer la part du vrai et du faux, de personnes qui sont mal et qui tentent des appels à l’aide. Ursula Poznanski nous invite donc à faire attention. A l’heure du Net, du smartphone, il est très facile de montrer, en temps réel, ce qui se passe, comme un cadavre… J’espère ne pas avoir à vivre une telle situation. De toutes façons, je n’ai pas l’envie d’être un voyeur et je préfère laisser la police faire son travail. Au niveau des personnages, nous retrouvons Bea et Florin, son supérieur. Bea semble mieux s’entendre avec son ex-mari, mais la situation est difficile car elle est un flic qui peut être appelée n’importe quand. On sent une tension entre Bea et Florin, qui lui est en couple. Plus que de l’amitié. Les gestes tendres les mettent mal l’un et l’autre. Personne ne franchit le pas pour le moment. Malgré la hiérarchie, ils sont très proches et puis il y a également les rumeurs qui pourraient être vite montées en épingle si le rapprochement était trop flagrant. Ils vivent difficilement cette situation. Se décantera-t-elle un jour ou l’autre ? L’auteur entretiendra le suspense jusqu’au bout. Bea a de nombreuses intuitions mais elle sait qu’elle doit faire attention car ce n’est pas sûr que cela fonctionne réellement. Se baser sur des faits, sur des preuves mais elle arrive à faire le boulot proprement dit et sur ses heures libres avancer sur ses intuitions. C’est un travail de longue haleine. Nous retrouvons également des personnages rencontrés précédemment, notamment Hoffmann, le grand chef mais lui doit faire face à une situation familiale compliquée donc il lâche un peu l’animosité ressentie envers Bea, malgré quelques piques. L’auteur nous offre quelques passages en italique où j’ai dû revenir dessus car ils m’ont fait me poser des questions. Peu d’indices laissés quoique… Il y a également de nombreux passages de conversations et puis ces nombreux poèmes partagés pour lesquels il peut y avoir des sens cachés. Cela a été la partie la plus dure pour moi. Elle est enfermée dans le coffre d’une voiture à côté d’un homme. Elle sait qu’elle va mourir. Bea et Florin sont appelés suite à la découverte de deux cadavres. Il semblerait que l’homme ait tué la femme avant de se suicider. Sauf que certains éléments gênent Bea. Je ne sais pour quelle raison j’ai mis du temps à me plonger en temps réel dans ce roman. Pourtant, j’étais plus que ravie de lire à nouveau cet auteur. Mais le début et les 100 premières pages ne m’ont pas fait plus d’effet que ça. Il me tardait que cela se mette réellement en route. Malgré les meurtres, les questionnements de Bea, la sauce ne prenait pas. Pourtant, entre 5 et Tout un poème, du temps s’est écoulé à mon niveau. Tout un poème peut être considéré comme une suite à 5 puisque l’action se passe quelques mois seulement après la grosse enquête de Bea. En tous les cas, passées ces pages qui ne sont pas d’un ennui total, l’auteur réussit un véritable tour de force. Nous plonger dans l’enquête avec tous ces personnages et nous dévoiler, strictement à la fin, le pourquoi du comment. D’ailleurs, je me suis...
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