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Femmes de dictateur
Date de parution : 07/06/2018
Éditeurs :
Lizzie
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PRIX CONSEILLÉ
24.99 €

Femmes de dictateur

Date de parution : 07/06/2018

Ces épouses dans l’ombre des tyrans…

Elles s’appellent Inessa, Clara, Nadia, Magda… Ils s’appellent Lénine, Mussolini, Staline, Hitler… Ils les violentent et les adulent, mais se tournent invariablement vers elles. Épouses, compagnes, égéries, admiratrices, elles ont...

Elles s’appellent Inessa, Clara, Nadia, Magda… Ils s’appellent Lénine, Mussolini, Staline, Hitler… Ils les violentent et les adulent, mais se tournent invariablement vers elles. Épouses, compagnes, égéries, admiratrices, elles ont en commun d’être à la fois triomphantes, trompées et sacrifiées. À leurs hommes cruels, violents et tyranniques, elles font croire...

Elles s’appellent Inessa, Clara, Nadia, Magda… Ils s’appellent Lénine, Mussolini, Staline, Hitler… Ils les violentent et les adulent, mais se tournent invariablement vers elles. Épouses, compagnes, égéries, admiratrices, elles ont en commun d’être à la fois triomphantes, trompées et sacrifiées. À leurs hommes cruels, violents et tyranniques, elles font croire qu’ils sont beaux, charmeurs, tout-puissants. Car la sexualité est l’un des ressorts du pouvoir absolu.
Diane Ducret raconte par le menu les rencontres, les stratégies de séduction, les rapports amoureux, l’intervention de la politique et les destinées des femmes qui ont croisé le chemin et sont passées par le lit des dictateurs.

« Un livre passionnant de bout en bout, totalement original. » François Busnel – « La Grande Librairie »

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EAN : 9791036600173
Façonnage normé : MP3
Durée : 800 min
Lizzie
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • balloonvenus 09/02/2023
    Les grands tyrans de ce monde présentés sous l’angle de leurs relations avec les femmes, souvent houleuses et multiples, voire simultanées. Où Mussolini, grand séducteur du peuple, se révèle aussi aguicheur-mais surtout macho et tyrannique- derrière le rideau de sa politique, tant avec ses pasionarias politiques qu’avec les jeunes filles de bonne famille. Où Lénine, malgré une épouse et une maîtresse tout aussi engagées que lui, se dévoue entièrement à sa cause. Où Staline, malgré un physique ingrat et un comportement envers les femmes au-delà de la violence et du mépris, enchaîne mariages et conquêtes. Où Salazar, le Généralissime portugais, s’avère plus virulent dans sa manière d’exercer le pouvoir que dans ses amours, au point d’avoir nié toute forme d’engagement (marital). Où Bokassa, mégalomane ivre de pouvoir et de richesses, cumule concubines comme il amasse diamants, terrains et autres fantaisies (avec la grande complicité de la France). Où Mao, qui prône l’inutilité du mariage, aura tout de même quatre épouses et ne se gênera pas pour mettre en pratique la liberté sexuelle préconisée par sa vision du communisme, malgré une épouse virago et avide de pouvoir… et une hygiène déplorable. Où Ceausescu se fait complètement phagocyter par une épouse quasi illettrée mais possédant 74 doctorats, autoproclamée Mère du peuple, mais qui laissera les nombreux orphelins nés d’une politique supra-nataliste pourrir dans des mouroirs. Où Hitler, enfin, passe de jeune amoureux transi à « tonton » affectueux avec sa nièce, qui se suicidera par manque d’affection, pour finir avec Eva Braun, délicatement surnommée « ma petite bécasse », dans les conditions que l’on connaît. J’ai déjà chroniqué le tome 2 de ce livre, que j’avais particulièrement apprécié. Je réitère avec ce premier tome, qui s’attarde davantage sur les relations « amoureuses » que son successeur, peut-être en raison de la portée historique des dictateurs ici mentionnés (tout le monde a au moins appris au lycée les politiques de Staline, Mao ou Hitler). Ceux dont il est question dans le deuxième tome (« deuxième » parce que j’espère qu’il y en aura un troisième : avec Kadhafi, Bachar El-Assad et consorts, il y a encore de quoi faire…) sont encore proches de nous et les lecteurs n’ont peut-être pas encore assez de recul, ni de sources, pour faire (presque) complètement l’impasse sur le contexte historique, ici donc moins expliqué. Néanmoins, quel que soit l’homme derrière la(les) femme(s), ces dernières sont toujours celles qui, malgré une admiration et un amour indéfectibles (Clara Petacci, Eva Braun), ou malgré une participation active à la politique de leur mari (Elena Ceausescu, Jiang Qing ou Mira Milosevic notamment), ont le plus souffert de l’Histoire en marche.Les grands tyrans de ce monde présentés sous l’angle de leurs relations avec les femmes, souvent houleuses et multiples, voire simultanées. Où Mussolini, grand séducteur du peuple, se révèle aussi aguicheur-mais surtout macho et tyrannique- derrière le rideau de sa politique, tant avec ses pasionarias politiques qu’avec les jeunes filles de bonne famille. Où Lénine, malgré une épouse et une maîtresse tout aussi engagées que lui, se dévoue entièrement à sa cause. Où Staline, malgré un physique ingrat et un comportement envers les femmes au-delà de la violence et du mépris, enchaîne mariages et conquêtes. Où Salazar, le Généralissime portugais, s’avère plus virulent dans sa manière d’exercer le pouvoir que dans ses amours, au point d’avoir nié toute forme d’engagement (marital). Où Bokassa, mégalomane ivre de pouvoir et de richesses, cumule concubines comme il amasse diamants, terrains et autres fantaisies (avec la grande complicité de la France). Où Mao, qui prône l’inutilité du mariage, aura tout de même quatre épouses et ne se gênera pas pour mettre en pratique la liberté sexuelle préconisée par sa vision du communisme, malgré une épouse virago et avide de pouvoir… et une hygiène déplorable. Où Ceausescu se fait complètement phagocyter par une épouse quasi...
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  • titine_bouquine 05/02/2023
    L'auteure nous raconte Mussolini, Lénine, Staline, Salazar, Bokassa, Mao, Caeausecu et Hitler à travers leurs relations aux femmes. Difficile d'en imaginer certains comme des sex-symbol et pourtant ! Un document passionnant à découvrir malgré un style un peu confus.
  • BenedicteBiblio 28/09/2022
    Diane Ducret est une journaliste française, mais également une grande passionnée d’Histoire. En 2016, j’avais passé un bon moment de lecture en compagnie de Lady Scarface. Ce récit-documentaire nous proposait de plonger dans les années folles pour découvrir le quotidien de certaines épouses (ou fiancées) des grands noms de la mafia d’alors. Femmes de dictateur s’inscrit dans la même veine. L’autrice nous présente ici des portraits de femmes ayant côtoyé des personnalités peu fréquentables, des personnages sinistres qui ont tristement laissé leur marque dans l’Histoire : Mussolini, Hitler, Mao et tant d’autres. Qu’elles n’aient été que de passage ou qu’elles aient partagé la vie de ces dictateurs, toutes ont peut-être en commun ce côté violent et passionné, mais aussi le goût du sacrifice allié à un attrait puissant pour le pouvoir et l’argent. Si certaines (pas toutes) partageaient totalement l’idéologie de leur cher et tendre, nombreuses sont celles qui y laisseront la vie. Encore une fois, Diane Ducret nous livre ici un travail de documentation remarquable. Je dois vous avouer que je ne connaissais pas la plupart de ces femmes. J’ai été terrifiée par les époux Ceausescu (tant ils semblent unis jusque dans la folie), glacée par le portrait de Jiang Quing (la quatrième et dernière femme de Mao) qui n’hésite pas à éliminer ses détracteurs ou toute personne l’ayant connue de près ou de loin, faisant alors souvent appel à la torture. Mais avec ce récit aux allures de reportage, on apprend également que Mussolini était un grand séducteur et enchaînait les conquêtes, ou encore qu’Hitler reçut autant de lettres d’admiratrices que les Beatles et Mick Jagger réunis ! Malgré cette mine d’informations, je ressors de cette lecture un brin déçue. J’aurais souhaité y trouver plus de liant, plus d’analyse. Il me manque ce fil rouge qui fait que les chapitres s’enchaînent sans trop y penser. Les portraits de ces femmes se suivent un peu trop vite à mon goût, ce qui fait qu’ils ne se sont pas vraiment imprimés dans ma mémoire. J’aurais préféré que Diane Ducret n’en choisisse peut-être qu’un seul (le plus emblématique) pour chaque dictateur, et que le sujet soit davantage creusé (avec une analyse plus poussée, ou des liens esquissés entre ces différents portraits féminins qui se rejoignent pourtant forcément à un moment donné). Une lecture instructive donc, mais qui n’aura pas déclenché de coup de cœur pour ma part.Diane Ducret est une journaliste française, mais également une grande passionnée d’Histoire. En 2016, j’avais passé un bon moment de lecture en compagnie de Lady Scarface. Ce récit-documentaire nous proposait de plonger dans les années folles pour découvrir le quotidien de certaines épouses (ou fiancées) des grands noms de la mafia d’alors. Femmes de dictateur s’inscrit dans la même veine. L’autrice nous présente ici des portraits de femmes ayant côtoyé des personnalités peu fréquentables, des personnages sinistres qui ont tristement laissé leur marque dans l’Histoire : Mussolini, Hitler, Mao et tant d’autres. Qu’elles n’aient été que de passage ou qu’elles aient partagé la vie de ces dictateurs, toutes ont peut-être en commun ce côté violent et passionné, mais aussi le goût du sacrifice allié à un attrait puissant pour le pouvoir et l’argent. Si certaines (pas toutes) partageaient totalement l’idéologie de leur cher et tendre, nombreuses sont celles qui y laisseront la vie. Encore une fois, Diane Ducret nous livre ici un travail de documentation remarquable. Je dois vous avouer que je ne connaissais pas la plupart de ces femmes. J’ai été terrifiée par les époux Ceausescu (tant ils semblent unis jusque dans la folie), glacée par le portrait de Jiang Quing...
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  • Kaetxa 06/09/2022
    Femmes de dictateurs... Par choix, idolâtrie, ambition, de force, enlevées, asservies ou violées.. Elles l'ont été et ont laissé une trace indélébile, souvent à leur corps défendant. Certaines n'auraient échangé leur place pour rien au monde. D'autres ont préféré mourir. Toutes se sont trouvées sur la route de ces tyrans, qui avaient besoin des femmes pour prouver qu'ils existaient. Certaines ont vomi leur situation tandis que d'autres sont devenues identiques, si ce n'est pire que leur homme... On ne peut pas toutes les plaindre. C'est ce que montre ce livre.
  • Paroxetine 07/08/2022
    Si vous aussi vous souhaitez comprendre pourquoi des femmes, à priori intelligentes et sensées, sont tombées amoureuses de dictateurs, ce livre est pour vous ! Diane Ducret nous livre un portrait intime de dictateurs qui ont, malheureusement, marqués l’histoire...
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