« C'est la construction d'une identité politique et ouvrière qu'Astolfi raconte, l'histoire d'une lutte sociale et ses désillusions, parachevées par le scandale sanitaire de l'amiante. Avec en toile de fond une ode à la camaraderie. »
Marianne
« Christian Astolfi revisite un chapitre de la désindustrialisation française et ses conséquences sur des hommes et des femmes en lutte pour leur dignité. »
Livres Hebdo
« L'histoire ouvrière chevillée au corps. »
L'Humanité
« Ce roman, beau comme une chanson de geste, inscrit la glorieuse et tragique histoire ouvrière dans la légende des siècles. »
Le Figaro littéraire
« C'est une histoire à la fois collective et révolue que retrace le poignant De notre monde emporté. Des années 1970 à 2015, Christian Astolfi met une forme de solennelle simplicité au service de ses personnages, de leurs luttes, de leurs espoirs déçus, de leur dignité. »
Le Monde des livres
« Dans ce roman tout en sobriété, loin de tout manichéisme, Christian Astolfi s'appuie sur une chronologie précise, les dates posées comme autant de jalons sur le bord d'un chemin qui se découvre escarpé. Retraçant l'histoire politique, sociale, syndicale de la France de 1968 à nos jours à travers le prisme de la désindustrialisation, il interroge ce qu'il reste de cet héritage ouvrier transmis de père en fils, de ces années de lutte pour garder intacte une nécessaire dignité, de cette volonté de maintenir un monde solidaire qui sombre inexorablement. »
La Croix
« Entre documentaire et fiction, De notre monde emporté raconte dans un style plein et resserré la perte de l'identité d'un monde ouvrier fier et digne face aux responsables du scandale de l'amiante. »
Le matricule des anges
« D'une écriture sobre et touchante, l'auteur plonge le lecteur au coeur d'une époque révolue. Mais aussi à la genèse d'un drame, toujours d'actualité. »
Ouest France
C'est ce "monde emporté" de feu, de fer, de graisse, de sueur, de cris et de fureur que restitue avec justesse et intelligence Christian Astolfi.
Le Canard enchaîné
« Poignant. »
Corse-matin
« Une magnifique plongée dans le monde ouvrier, une chronologie politique passionnante, un scandale jamais assez raconté, des émotions pudiques, une écriture simple et fluide. Un énorme coup de cœur ! »
Librairie Mots et Images
« Un texte puissant sur les combats sociaux avec de très beaux portraits des personnages. »
Librairie Le Passeur de l'Isle
« Je me suis plongée avec délice dans cette lecture. L’écriture est d’une richesse incroyable et me transporte dans ce monde passé mais pourtant si proche… c’est somptueux. Sur un sujet sensible et difficile l’auteur écrit avec beaucoup de nuances une histoire passionnante. »
Librairie Pierre Loti
« Parfait équilibre entre la fierté du monde ouvrier et sa perte de repère et le destin personnel du narrateur. Vraiment un excellent livre. »
Librairie Du côté de chez Gibert
« Un très bel hommage à ces hommes et une juste dénonciation de la façon dont ils ont été traités. »
Librairies de Port-Maria
« À la fois fresque sociale et récit intime, De notre monde emporté est un roman puissant et bouleversant. »
Librairie Les mots retrouvés
« Ça nous a beaucoup ému, presque par surprise. C’est la langue d’Astolfi, tenue, pudique, brillante et précise quand il s’agit de décrire le geste ouvrier, la dignité de ces hommes, leur verticalité, leur passion et la solidarité singulière qui fut le socle de leur amitié. De notre monde emporté est quelque part davantage la trace de la disparition orchestrée de ces liens affectifs, professionnels et politiques, crus indéfectibles. C’est la mélancolie ouvrière. »
Librairie Le Pied à terre
« Magnifique hommage rendu au monde ouvrier des chantiers navals de La Seyne-sur-mer. Ce livre est aussi le récit d’une époque, celle des années 80, d’une famille, à travers ses hommes, d’une fierté, balayée par le capitalisme, la maladie et le cynisme et d’un combat, celui de l’amiante. Immense coup de cœur ! »
Librairie Pantagruel
« Il y a des livres qui vous attrapent comme ça dès les premières lignes. On lit vite grâce au style de l’auteur, on y voit toute la chaleur humaine, l’observation précise et sensible de soi et de ses semblables… et quand une invitée surprise accable les acteurs de ce monde emporté, alors on s’assoit et on se dit qu’on a lu un livre poignant, utile, indispensable. Respect. »
Librairie Pleine Lune
« Un texte qui vient des tripes, comme un cri à entendre ! Roman bouleversant d’un monde révolu et d’une génération sacrifiée avec laquelle on fraie fraternellement le temps de quelques pages qui se tournent. Un grand chef-d'œuvre de littérature prolétarienne ! Beau comme le combat d’une vie. »
Librairie Cordeliers
« A la manière de Joseph Ponthus, Christian Astolfi donne sa voix à ceux que l'on veut faire taire, ceux que l'on entend jamais. Un roman puissant et émouvant ! »
Librairie Page et plume