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Ilium
Jean-Michel Breque (traduit par)
Date de parution : 13/09/2007
Éditeurs :
Pocket

Ilium

,

Jean-Michel Breque (traduit par)
Date de parution : 13/09/2007

Les dieux de l’Olympe vivent sur Mars et se déplacent librement dans le temps et l’espace grâce à leurs pouvoirs quantiques. Leur plus grand plaisir, c’est la guerre de Troie. Pour y...

Les dieux de l’Olympe vivent sur Mars et se déplacent librement dans le temps et l’espace grâce à leurs pouvoirs quantiques. Leur plus grand plaisir, c’est la guerre de Troie. Pour y mettre un peu plus de piment, ils envoient des érudits terriens modifier les événements à leur gré, en gardant toutefois...

Les dieux de l’Olympe vivent sur Mars et se déplacent librement dans le temps et l’espace grâce à leurs pouvoirs quantiques. Leur plus grand plaisir, c’est la guerre de Troie. Pour y mettre un peu plus de piment, ils envoient des érudits terriens modifier les événements à leur gré, en gardant toutefois le récit d’Homère comme référence. Mais en orbite autour de Mars, de petits observateurs surveillent les jeux divins…

« Avec cette œuvre, Dan Simmons redéfinit les canons de la SF au XXIe siècle. » Peter F. Hamilton

« Il y a tant d'idées dans Ilium qu'elles pourraient servir à une génération d'écrivains. » Philippe Curval – Le Magazine littéraire

Cet ouvrage a reçu le prix Locus 2004

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EAN : 9782266149150
Code sériel : 5858
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 896
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266149150
Code sériel : 5858
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 896
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Avec cette œuvre, Dan Simmons redéfinit les canons de la S.-F. au XXIe siècle. »

Peter F. Hamilton

« Il y a tant d’idées dans Ilium qu’elles pourraient servir à une génération d’écrivains. »

Philippe Curval – Le Magazine littéraire

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • treblam 11/02/2023
    Un roman sublime qui se démarque par son originalité et ses idées brillantes. De mon point de vue, c'est une œuvre que je qualifierais d'intégrale car elle concentre en 800 pages tout ce que j'aime : # De la fiction "planet opera", mais pas soap pour autant, de la bonne SF bourrée de trouvailles fichtrement bien inspirées. # De la Science, parfois pointue, mais rendue soluble et accessible grâce à l'habilité de Simmons. On valse entre le pont Eisntein-Rosen (trou de vers), les nanotechnologies, les branes, les savants fous qui bricolent de l'ADN (les ARNistes), ou des champs quantiques qui s'affolent. Quand on est friand de vulgarisation scientifique, on apprécie. # De la littérature, et là Simmons nous sert de la friandise : * Du Homère avec L'Iliade qu'il revisite et réussit à rendre digeste, un vrai coup de maître. * Du Shakespeare à travers ses sonnets ou la Tempête. Si on aime cet auteur, ce qui est mon cas, on est plus que servi. * Du Proust, Simmons semble avoir lu notre Marcel national, rien que pour ça, il mérite ma gratitude. * Une palanquée de références diverses telles Wells (The Time Machine) ou les Romantiques (anglais) que Simmons affectionne. * Une touche de grec ancien, Simmons s'est fait plaisir, on aime. Ce qui frappe surtout, c'est l'imagination foisonnante de l'auteur qui éparpille au vent une ribambelle d'idées percutantes et séduisantes : Les scholiastes qui bossent pour des post humains déifiés goinfrés aux nanotechnos; Les moravecs avec Mahnmut "le petit robot" ou son acolyte Orphu "le crabe"; Le turin, une sorte de casque VR avant l'heure; Les Eloi, cette humanité décervelée qui s'épanouit dans le luxe et le stupre (rappelle un peu le "Brave New World" de Huxley) En somme, un livre insolite, d'une originalité exemplaire, qui ratisse large pour notre plus grand bonheur. A lire absolument.Un roman sublime qui se démarque par son originalité et ses idées brillantes. De mon point de vue, c'est une œuvre que je qualifierais d'intégrale car elle concentre en 800 pages tout ce que j'aime : # De la fiction "planet opera", mais pas soap pour autant, de la bonne SF bourrée de trouvailles fichtrement bien inspirées. # De la Science, parfois pointue, mais rendue soluble et accessible grâce à l'habilité de Simmons. On valse entre le pont Eisntein-Rosen (trou de vers), les nanotechnologies, les branes, les savants fous qui bricolent de l'ADN (les ARNistes), ou des champs quantiques qui s'affolent. Quand on est friand de vulgarisation scientifique, on apprécie. # De la littérature, et là Simmons nous sert de la friandise : * Du Homère avec L'Iliade qu'il revisite et réussit à rendre digeste, un vrai coup de maître. * Du Shakespeare à travers ses sonnets ou la Tempête. Si on aime cet auteur, ce qui est mon cas, on est plus que servi. * Du Proust, Simmons semble avoir lu notre Marcel national, rien que pour ça, il mérite ma gratitude. * Une palanquée de références diverses telles Wells (The Time Machine) ou les Romantiques (anglais) que Simmons affectionne. * Une...
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  • Armance_around_the_corner 20/01/2023
    Je suis une fan inconditionnelle des romans de Dan Simmons. Sa saga Hypérion et Endymion est MA saga SF préférée de tout l'univers et j'ai déjà lu deux fois son roman fantastique L'échiquier du mal qui est également pour moi un chef d'oeuvre. Et heureusement, il me reste encore plein d'autres de ses ouvrages à découvrir. Cela faisait déjà quelques années que j'avais sa duologie Ilium et Olympos. Je m'étais lancée dans Ilium aussitôt après ma première lecture d'Hypérion et Endymion et comme c'est totalement différent, je n'étais pas parvenue à m'accrocher. Recommencer et finir cette duologie était un de mes objectifs 2023. Imaginez que les dieux de l'Olympe vivent sur Mars. Ils se déplacent dans le temps et l'espace grâce à leurs pouvoirs quantiques. Leur plus grand plaisir, c'est la guerre de Troie qui se joue sous leurs yeux. Pour y mettre un peu plus de piment, ils envoient des érudits terriens modifier les évènements à leur gré, avec le récit d'Homère comme référence. Mais en orbite autour de Mars, de petits observateurs surveillent les jeux divins. Comment vais-je parvenir à vous parler de gigantesque roman ??? Oui car même s'il comprend 2 tomes, c'est un seul et même roman car on ne peut se contenter de lire Ilium ! C'est gigantesque, colossal à l'image des dieux de l'Olympe imaginés par l'auteur ! C'est dense, complexe et la lecture demande concentration. Je l'ai faite pour les 2 tomes en audiobook et il m'a fallu régulièrement réécouter des passages pour mieux les assimiler. Des 3 axes narratifs proposés, j'ai préféré celui des humains à l'ancienne et celui des Moravecs (les échanges de Mahnmut et Orphu d'Io sont succulents !). J'ai aimé la partie avec les dieux grecs mais j'ai été moins emportée par les longues batailles d'Ilium. Mais la maîtrise du récit et la beauté de la plume sont tout simplement indéniables ! Je suis heureuse d'avoir repris et terminé cette duologie qui montre une nouvelle fois tout le talent de Dan Simmons avec un niveau d'exigence certain. Cependant, elle ne détrône pas, à mes yeux, Hypérion et Endymion ! Je suis une fan inconditionnelle des romans de Dan Simmons. Sa saga Hypérion et Endymion est MA saga SF préférée de tout l'univers et j'ai déjà lu deux fois son roman fantastique L'échiquier du mal qui est également pour moi un chef d'oeuvre. Et heureusement, il me reste encore plein d'autres de ses ouvrages à découvrir. Cela faisait déjà quelques années que j'avais sa duologie Ilium et Olympos. Je m'étais lancée dans Ilium aussitôt après ma première lecture d'Hypérion et Endymion et comme c'est totalement différent, je n'étais pas parvenue à m'accrocher. Recommencer et finir cette duologie était un de mes objectifs 2023. Imaginez que les dieux de l'Olympe vivent sur Mars. Ils se déplacent dans le temps et l'espace grâce à leurs pouvoirs quantiques. Leur plus grand plaisir, c'est la guerre de Troie qui se joue sous leurs yeux. Pour y mettre un peu plus de piment, ils envoient des érudits terriens modifier les évènements à leur gré, avec le récit d'Homère comme référence. Mais en orbite autour de Mars, de petits observateurs surveillent les jeux divins. Comment vais-je parvenir à vous parler de gigantesque roman ??? Oui car même s'il comprend 2 tomes, c'est un seul et même roman car on...
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  • Crazynath 04/11/2022
    J’avais découvert Dan Simmons il y a quelque temps grâce à la saga Hyperion ainsi que sa suite Endymion. Le moins que je puisse dire c’est que j’avais été plus que favorablement impressionnée par l’imagination de cet auteur et la qualité de son écriture. Je me suis donc lancée sans aucun a priori dans la lecture d’une autre de ses œuvres, : Ilium. Ilium, qui est le nom latin de l’ancienne ville connue sous le nom de Troie, va servir en partie de décor à ce récit touffu, dont la lecture ne m’a pas laissée indifférente. Une histoire, ou plutôt, trois histoires, très denses, qui s’alternent et se succèdent à un rythme soutenu et haletant. J’ai d’ailleurs été surprise, au début de ma lecture, par la différence de ces trois histoires, ne voyant absolument pas le lien entre les différents protagonistes. Pour commencer, avec une première histoire, qui se déroule dans un Ilium assez semblable à ce que nous ont laissé les récits historiques, nous avons un narrateur absolument incroyable de par sa verve, j’ai nommé Hockenberry, un universitaire du vingtième siècle. Il se retrouve observateur d’une bien curieuse guerre de Troie. Comme seconde histoire, nous allons suivre deux robots, qui partent dans une mission d’exploration. J’avoue qu’au début, j’ai eu de la peine à m’intéresser à eux, mais cela n’a pas duré, au vu de l’évolution de leurs aventures… Et la dernière partie va être consacrée à relater les destins d’un petit groupe d’humains qui semblent venir d’un futur pas très réjouissant, il faut le dire… Une mention spéciale pour le personnage d’Odyseus, je n’en dirais pas plus… Une fois de plus, je ne peux que saluer l’imagination plus que fertile de Dan Simmons, mêlant érudition , aventure et rythme endiablé dans cette histoire qui m’a laissée sur ma faim, ce qui est normal , puisque je n’ai pas encore lu sa suite, Olympos… Challenge Pavés 2022 Challenge Mauvais Genres 2022 Challenge ABC 2022/2023 J’avais découvert Dan Simmons il y a quelque temps grâce à la saga Hyperion ainsi que sa suite Endymion. Le moins que je puisse dire c’est que j’avais été plus que favorablement impressionnée par l’imagination de cet auteur et la qualité de son écriture. Je me suis donc lancée sans aucun a priori dans la lecture d’une autre de ses œuvres, : Ilium. Ilium, qui est le nom latin de l’ancienne ville connue sous le nom de Troie, va servir en partie de décor à ce récit touffu, dont la lecture ne m’a pas laissée indifférente. Une histoire, ou plutôt, trois histoires, très denses, qui s’alternent et se succèdent à un rythme soutenu et haletant. J’ai d’ailleurs été surprise, au début de ma lecture, par la différence de ces trois histoires, ne voyant absolument pas le lien entre les différents protagonistes. Pour commencer, avec une première histoire, qui se déroule dans un Ilium assez semblable à ce que nous ont laissé les récits historiques, nous avons un narrateur absolument incroyable de par sa verve, j’ai nommé Hockenberry, un universitaire du vingtième siècle. Il se retrouve observateur d’une bien curieuse guerre de Troie. Comme seconde histoire, nous allons suivre deux robots, qui partent dans une...
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  • JeDeLire 17/09/2022
    Typiquement le livre que je conseille vivement d'essayer, mais dont je pense qu'il ne faut pas se forcer à le finir. Fidèle à son style, Simmons transpose un univers de fantasy en science-fiction (comme Hypérion). Dans le cas d'Ilium, c'est très intéressant de voir comment il dévoile l'univers qu'il a construit, comment il justifie l'énormité de ce qu'il a imaginé (des dieux grecs sur mars !!!). Passé cette découverte (menée de main de maître), l'avenir des personnages et l'évolution de la situation sont finalement assez anecdotiques (protagonistes loufoques mais peu attachants). On peut donc se passer (je trouve) des 400 pages restantes et d'une suite éventuelle.
  • dagoba04 25/10/2021
    " Je suis en admiration devant Dan Simmons" a dit Stephen King. Et bien voyez vous moi aussi. Bon ç'est sur quand c' est moi qui le dit vous vous ruez pas comme des fous a la librairie acheter le livre ! Sans rancune je vous en veux pas. D' ailleurs je suis plus qu' en admiration devant Simmons,je suis en addiction complète. Il y a des auteurs qui arrivent a écrire dans leur vie LEUR chef d'oeuvre. Et c' est déjà énorme. Et il y a des Simmons pour qui écrire un chef d' œuvre devient routinier. Je pense à "L' Échiquier du Mal" bien sûr." Un des trois meilleurs livres de horreur jamais écrit", toujours selon Stephen King. Et Les Cantos d' Hyperion bien sûr , la plus grande fresque SF jamais écrite ( ça c' est moi qui le dit, pas notre bon vieux Stephen). Alors voyez vous quand j' ai démarré cet "Ilium" je ne m' attendais pas du tout à prendre une si grosse claque. Et pour tout vous dire je le sentais pas... Les dieux de l' Olympe qui se refont la guerre de Troie en direct de la planète Mars ça me faisait un peu peur. Je connais le grand talent de l' auteur mais là je me suis dit que il avait fumé des trucs trop puissants... Mais ça marche ! Parce que Simmons a plus que du talent,il a du génie. Nous voilà avec les dieux de l'Olympe qui font joujou sur Mars en se refaisant l'iliade . On retrouvera également un érudit de notre époque ressuscité pour sa connaissance de l'épopée d' Homère, un robot immense en forme de crabe amoureux de Proust ami avec un autre robot passionné des sonnets de Shakespeare ! Rien que là on se dit simplement que Dan Simmons a forcé sur l'extasy. Mais ç'est pas fini !! Soyons fous et que le personnel s' amuse ! Simmons va nous mettre des petits hommes verts,des dinosaures,des robots mystérieux,des humains bizarres et va nous entraîner dans une monumentale fresque ou se mêleront aventures,action, intrigues, littérature et poésie. En résumé on en prend plein la gueule a chaque page. Il y a le "pop- corn movie" au cinéma,il y a maintenant le "pop-corn Book" avec Simmons. Alors ne soyez pas refroidi par le pitch assez " aware" de la quatrième de couv' et partez sur Mars et sur la plaine de Troie sans crainte, c' est comme sur la planète Hyperion, vous en aurez pour votre argent. Simmons est un génie qui vous donne envie de lire L' Iliade et Proust ainsi que de découvrir Shakespeare et John Keats. " Ilium" est de la même trempe que "L'échiquier du Mal" ou " Hyperion" : Des chefs-d'œuvre de la SF mais aussi des grandes oeuvres littéraires. Et oui je suis vraiment "Dan Simmons addict". Stephen King fut ma référence dans ma première vie de lecteur,Dan Simmons est ma référence dans la seconde. Je dois vous laisser maintenant. Je pars pour Olympos... " Je suis en admiration devant Dan Simmons" a dit Stephen King. Et bien voyez vous moi aussi. Bon ç'est sur quand c' est moi qui le dit vous vous ruez pas comme des fous a la librairie acheter le livre ! Sans rancune je vous en veux pas. D' ailleurs je suis plus qu' en admiration devant Simmons,je suis en addiction complète. Il y a des auteurs qui arrivent a écrire dans leur vie LEUR chef d'oeuvre. Et c' est déjà énorme. Et il y a des Simmons pour qui écrire un chef d' œuvre devient routinier. Je pense à "L' Échiquier du Mal" bien sûr." Un des trois meilleurs livres de horreur jamais écrit", toujours selon Stephen King. Et Les Cantos d' Hyperion bien sûr , la plus grande fresque SF jamais écrite ( ça c' est moi qui le dit, pas notre bon vieux Stephen). Alors voyez vous quand j' ai démarré cet "Ilium" je ne m' attendais pas du tout à prendre une si grosse claque. Et pour tout vous dire je le sentais pas... Les dieux de l' Olympe qui se refont la guerre de Troie en direct de la planète Mars ça me faisait un peu peur. Je connais le grand talent de l'...
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