Lisez! icon: Search engine
La dynastie des Forsyte - tome 1 Le propriétaire
Camille Mayran (traduit par)
Date de parution : 12/09/2018
Éditeurs :
Archipoche

La dynastie des Forsyte - tome 1 Le propriétaire

Camille Mayran (traduit par)
Date de parution : 12/09/2018
Le premier tome d'un roman culte des lettres britanniques, de nouveau disponible au format de poche : la saga des Forsyte, hommes inséparables de leur famille et de leur milieu, dont les péripéties courent de l'époque victorienne aux roaring twenties."
À l’occasion des fiançailles de sa petite-fille June avec l’architecte Philip Bosinney, le doyen de la famille Forsyte réunit, dans sa maison londonienne, tous ses proches. Soames, un Forsyte de... À l’occasion des fiançailles de sa petite-fille June avec l’architecte Philip Bosinney, le doyen de la famille Forsyte réunit, dans sa maison londonienne, tous ses proches. Soames, un Forsyte de la seconde génération, se rend à la réception accompagné d’Irène, sa très belle épouse.

D’emblée, Irène et Bosinney se plaisent. Soames...
À l’occasion des fiançailles de sa petite-fille June avec l’architecte Philip Bosinney, le doyen de la famille Forsyte réunit, dans sa maison londonienne, tous ses proches. Soames, un Forsyte de la seconde génération, se rend à la réception accompagné d’Irène, sa très belle épouse.

D’emblée, Irène et Bosinney se plaisent. Soames charge le jeune architecte de lui construire une belle demeure à proximité de Londres. Irène, qui ne s’est jamais vraiment éprise de Soames, finit par lui avouer l’amour qu’elle porte à Bosinney ; de son côté, l’architecte rompt ses fiançailles avec June.

Ivre de jalousie et blessé dans son orgueil, Soames va intenter un procès à Bosinney, compromettant ainsi sa situation financière, et exercer de façon impitoyable ses droits conjugaux.

Premier tome d’une fresque courant de l’ère victorienne à l’entre-deux-guerres, ce roman met en relief le caractère familial essentiel des Forsyte, ce « quelque chose d’indestructible » qu’est l’instinct de propriété.
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782377351947
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 473
Format : 110 x 179 mm
EAN : 9782377351947
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 473
Format : 110 x 179 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Lecteur_75015 17/12/2023
    Après être tombé sur plusieurs tomes de cet auteur dans une bibliothèque familiale pourtant peu fournie, j’ai acquis le premier tome espérant y retrouver le sel d’autres sagas familiales comme celle de Druon. Je reste finalement sur ma faim : les personnages, à l’exception de quelques-uns, manquent cruellement d’incarnation.
  • Madeleine1947 05/09/2023
    Sans sa coquille, un Forsyte est inconcevable, il serait comme un roman sans intrigue ce qui est reconnu pour une anomalie. Ce que j'appelle un Forsyte, c'est un homme qui sait ce qui est bon, il sait ce qui est sûr et à prise sur tout ce qu'il possède - maison, argent, réputation, c'est ce qui fait sa marque. Toute cette saga se situe dans le Londres de la fin du XIXeme siècle où les mœurs sont rigides et le castes sociales importantes Dans ce premier tome, nous faisons connaissance avec la famille Forsyte avec ses caractéristiques et ses valeurs, sa manière de vivre qui font d'elle un "clan". Ensuite nous découvrons le patriarche Jolyon et ses frères et sœurs avec leurs singularités. Dans la génération suivante, 2 neveux se distinguent particulièrement, Jolyon le jeune , banni pour avoir fui avec sa maîtresse laissant derrière lui sa femme et son enfant. Il y a aussi Soames, le plus brillant, marié avec la jolie Irène Soames a décidé de se faire construire une maison à la campagne. Pour ce faire, il engage Bosiney jeune architecte prometteur et fiancé à sa nièce June mais bientôt Irène et Bosiney se sentent attirés l'un vers l'autre....Sans sa coquille, un Forsyte est inconcevable, il serait comme un roman sans intrigue ce qui est reconnu pour une anomalie. Ce que j'appelle un Forsyte, c'est un homme qui sait ce qui est bon, il sait ce qui est sûr et à prise sur tout ce qu'il possède - maison, argent, réputation, c'est ce qui fait sa marque. Toute cette saga se situe dans le Londres de la fin du XIXeme siècle où les mœurs sont rigides et le castes sociales importantes Dans ce premier tome, nous faisons connaissance avec la famille Forsyte avec ses caractéristiques et ses valeurs, sa manière de vivre qui font d'elle un "clan". Ensuite nous découvrons le patriarche Jolyon et ses frères et sœurs avec leurs singularités. Dans la génération suivante, 2 neveux se distinguent particulièrement, Jolyon le jeune , banni pour avoir fui avec sa maîtresse laissant derrière lui sa femme et son enfant. Il y a aussi Soames, le plus brillant, marié avec la jolie Irène Soames a décidé de se faire construire une maison à la campagne. Pour ce faire, il engage Bosiney jeune architecte prometteur...
    Lire la suite
    En lire moins
  • sylvaine 29/05/2023
    Comment reconnait-on un Forsyte? -" A leur instinct de propriété. Un Forsyte a sur les choses un point de vue pratique, un point de vue de sens commun pourrait-on dire et un point de vue pratique sur les choses a pour base l'instinct de propriété." p 263 C'est en 1906 que parait le premier tome de la dynastie des Forsyte fort judicieusement appelée le propriétaire. Les Forsyte sont dix, six frères et quatre soeurs. Ils amassent, font fructifier leurs avoirs, et ne craignent qu'une chose le qu'en dira t'on du monde dans lequel ils vivent. le roman s'ouvre sur les fiançailles de June Forsyte et de Philip Bosinney. le grand-père de June, Jolyon Forsyte n'est pas enthousiaste, le jeune architecte n'a aucun revenu mais il lui est impossible de résister à son intrépide et fantasque petite fille!. June présente à Phil Irène l'épouse de son oncle Soames, fils ainé de James le deuxième frère de Joylon... De fil en aiguille la famille va commencer à subir les premiers soubresauts du drame à venir. Mais le silence est d'or , de la maison de Timothy le frère cadet rien ne doit filtrer à l'extérieur.. Et ce qui doit arriver arrive .... Il m'aura fallu patienter fort longtemps, trop longtemps certainement, pour me lancer dans cette fresque immortalisée en son temps par une splendide adaptation TV. Mais quel régal . Passées les premières pages et engrangés les noms des différents protagonistes, au demeurant fort nombreux, je me suis attachée à certains, ai conspué d'autres, et me suis vue tourner les pages avec délectation. Hohn Galsworthy, priX Nobel 1932, offre à ses lecteurs un portrait plus vrai que nature de la société bourgeoise nantie de l'Angleterre au temps du règne de la reine Victoria. C'est un monde suranné qui nous apparait, un monde qui a cependant apporté à l'Angleterre stabilité et richesse et vu les prémices de l'effondrement de l'Empire colonial. La seconde génération semble s'éloigner un peu de certains codes sauf bien sur de l'instinct de propriété . Avant de plonger dans Aux aguets, la lecture de l'Interlude, Dernier été, qui clôt le premier tome est un petit bijou. Comment reconnait-on un Forsyte? -" A leur instinct de propriété. Un Forsyte a sur les choses un point de vue pratique, un point de vue de sens commun pourrait-on dire et un point de vue pratique sur les choses a pour base l'instinct de propriété." p 263 C'est en 1906 que parait le premier tome de la dynastie des Forsyte fort judicieusement appelée le propriétaire. Les Forsyte sont dix, six frères et quatre soeurs. Ils amassent, font fructifier leurs avoirs, et ne craignent qu'une chose le qu'en dira t'on du monde dans lequel ils vivent. le roman s'ouvre sur les fiançailles de June Forsyte et de Philip Bosinney. le grand-père de June, Jolyon Forsyte n'est pas enthousiaste, le jeune architecte n'a aucun revenu mais il lui est impossible de résister à son intrépide et fantasque petite fille!. June présente à Phil Irène l'épouse de son oncle Soames, fils ainé de James le deuxième frère de Joylon... De fil en aiguille la famille va commencer à subir les premiers soubresauts du drame à venir. Mais le silence est d'or , de la maison de Timothy le frère cadet rien ne doit filtrer à l'extérieur.. Et ce qui doit arriver arrive .... Il...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Kio971 13/04/2023
    A l'occasion des fiançailles de June, 17 ans, la petite fille du vieux Jolyon Forsyte, avec Philippe, jeune architecte de 25 ans, ce dernier fait la connaissance d'Irène, la très jolie et encore toute jeune tante de June, épouse de l'avocat Soames Forsyte. Philippe tombe rapidement amoureux d'Irène, qui, engluée dans un mariage sans amour avec un homme qu'elle avait finalement accepté d'épouser au bout de sa cinquième demande en mariage - et après la promesse qu'il lui rendrait sa liberté si leur couple ne fonctionnait pas - répond rapidement et tout aussi passionnément à l'amour du jeune homme. Soames Forsyte décide de son côté de confier au jeune architecte la construction d'une immense maison à la campagne, espérant ainsi que cette nouvelle vie loin de Londres sauvera son mariage, et désirant par la même occasion se faire construire une magnifique demeure à moindre coût, le jeune architecte débutant dans le métier ne pouvant prétendre aux mêmes honoraires que ses collègues plus expérimentés. Autour de cette intrigue, premier volume de La saga des Forsyte, John Galsworthy nous dresse le portrait d'une famille de la grande bourgeoisie anglaise de la fin du XIXè (son roman commence en 1886) dont les ancêtres n'étaient encore que de tout petits propriétaires terriens quelques générations plus tôt. Les Forsyte semblent réunir tous les travers et les excès de cette classe sociale qui aura été à l'origine du socialisme : John Galsworthy nous décrit des personnages dont la position sociale pouvait paraître enviable à leurs contemporains, mais qui ne sont en fait que des individus médiocres, arrogants, profondément cyniques, avaricieux et égocentriques. Les membres de la famille Forsyte sont toujours à chercher ce qui pourrait faire le plus d'effet tout en leur coûtant le moins cher possible, s'étonnent de la pauvreté des classes populaires et de leurs domestiques en particulier, alors qu'ils paient ces derniers chichement et, dans cette grande famille de près de trente personnes, essaient constamment de se rendre mutuellement jaloux et envieux, avec qui des nouveaux chevaux pour sa calèche, ou qui une prétentieuse sculpture de marbre pour l'ornementation de son salon. Ce premier volume, intitulé "Le propriétaire", de la saga vaut plus selon moi pour la description de cette famille et de ses comportements que pour l'intrigue, somme toute banale, dont on comprend qu'elle a surtout servi de prétexte à John Galsworthy pour nous présenter cette classe de nouveaux riches, si typiques de l'Angleterre victorienne.A l'occasion des fiançailles de June, 17 ans, la petite fille du vieux Jolyon Forsyte, avec Philippe, jeune architecte de 25 ans, ce dernier fait la connaissance d'Irène, la très jolie et encore toute jeune tante de June, épouse de l'avocat Soames Forsyte. Philippe tombe rapidement amoureux d'Irène, qui, engluée dans un mariage sans amour avec un homme qu'elle avait finalement accepté d'épouser au bout de sa cinquième demande en mariage - et après la promesse qu'il lui rendrait sa liberté si leur couple ne fonctionnait pas - répond rapidement et tout aussi passionnément à l'amour du jeune homme. Soames Forsyte décide de son côté de confier au jeune architecte la construction d'une immense maison à la campagne, espérant ainsi que cette nouvelle vie loin de Londres sauvera son mariage, et désirant par la même occasion se faire construire une magnifique demeure à moindre coût, le jeune architecte débutant dans le métier ne pouvant prétendre aux mêmes honoraires que ses collègues plus expérimentés. Autour de cette intrigue, premier volume de La saga des Forsyte, John Galsworthy nous dresse le portrait d'une famille de la grande bourgeoisie anglaise de la fin du XIXè (son roman commence en 1886) dont les ancêtres n'étaient...
    Lire la suite
    En lire moins
  • hanyrhauz 23/01/2023
    Fortes de notre LC au long cours de la saga des Cazalet et ayant envie de retrouver les méandres d'une famille anglaise, @clairethefrenchbooklover @noemiekjegueure et moi-même avons décidées de nous tourner du côté des Forsyte. Un prix Nobel de littérature, il nous fallait bien ça pour terminer l'année ! Le premier tome a pour titre Le propriétaire. Le ton est donné, c'est un monde d'hommes et d'argent qui s'ouvre à nous. Tout est ici question de statut social. L'image que l'on donne de soi aux autres. L'image que notre famille renvoie de nous. Les frères ne s'entendent pas, les enfants ne sont pas à la hauteur des espérances, les mesalliances fleurissent. Ça grince, c'est sarcastique, et j'aime bien cette ironie cruelle (même si le texte original doit être encore plus savoureux, j'ai comme l'impression que la traduction ne lui rend pas hommage). J'ai particulièrement aimé l'analogie entre une salle de bal et un champ de bataille. Chacun sa guerre. L'histoire centrale de ce premier tome tourne autour de June fraîchement fiancée à Bosinney, architecte brillant assez vite surnommé le Brigand. Ce dernier va croiser Irène, l'épouse élégante et glaciale de Soames Forsyte. Quelque chose se noue entre eux malgré les conventions. Tous les personnages revêtent un aspect intéressant de cette histoire somme toutes assez banale. Et j'ai été émue par la dignité de June, ma fougue d'Irène et cette engouement sans limite de Bosinney. Et Jolyon le vieux, un peu dépassé, un peu Scrooge sur les bords. Même si je ne me suis pas attachée aux personnages comme j'aurais aimé le faire, j'ai malgré tout toujours gardé un intérêt constant pour toute cette petite société on ne peut plus suffisante. Et puis, il y a une scène et ses répercussions surtout, qui montrent toute la modernité du texte. Une scène de viol conjugal, absolument pas banalisée. C'est un tournant dans l'histoire et un tourment inconsolable. La dernière partie, un interlude, est d'une grande tendresse. Il contrebalance beaucoup de choses et sa douce lumière estivale permet de terminer ce tome en donnant très envie de lire le suivant. Qui va rejoindre ma pal. Fortes de notre LC au long cours de la saga des Cazalet et ayant envie de retrouver les méandres d'une famille anglaise, @clairethefrenchbooklover @noemiekjegueure et moi-même avons décidées de nous tourner du côté des Forsyte. Un prix Nobel de littérature, il nous fallait bien ça pour terminer l'année ! Le premier tome a pour titre Le propriétaire. Le ton est donné, c'est un monde d'hommes et d'argent qui s'ouvre à nous. Tout est ici question de statut social. L'image que l'on donne de soi aux autres. L'image que notre famille renvoie de nous. Les frères ne s'entendent pas, les enfants ne sont pas à la hauteur des espérances, les mesalliances fleurissent. Ça grince, c'est sarcastique, et j'aime bien cette ironie cruelle (même si le texte original doit être encore plus savoureux, j'ai comme l'impression que la traduction ne lui rend pas hommage). J'ai particulièrement aimé l'analogie entre une salle de bal et un champ de bataille. Chacun sa guerre. L'histoire centrale de ce premier tome tourne autour de June fraîchement fiancée à Bosinney, architecte brillant assez vite surnommé le Brigand. Ce dernier va croiser Irène, l'épouse élégante et glaciale de Soames Forsyte. Quelque chose se noue entre eux malgré les conventions....
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la Newsletter Lisez!, la Newsletter qui vous inspire !
Découvrez toutes les actualités de nos maisons d'édition et de vos auteurs préférés