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La Grande Course
Dominique Grandjean (préface de)
Collection : Aventure Humaine
Date de parution : 02/03/2017
Éditeurs :
Pocket

La Grande Course

Dominique Grandjean (préface de)
Collection : Aventure Humaine
Date de parution : 02/03/2017
Nicolas Vanier lâche son attelage. Devant lui, un défi immense : la Yukon Quest, la course de traîneaux à chiens la plus difficile au monde. 1 600 kilomètres entre le... Nicolas Vanier lâche son attelage. Devant lui, un défi immense : la Yukon Quest, la course de traîneaux à chiens la plus difficile au monde. 1 600 kilomètres entre le Canada et l’Alaska, le long de la route de la ruée vers l’or. Des températures glaciales qui dépassent les -... Nicolas Vanier lâche son attelage. Devant lui, un défi immense : la Yukon Quest, la course de traîneaux à chiens la plus difficile au monde. 1 600 kilomètres entre le Canada et l’Alaska, le long de la route de la ruée vers l’or. Des températures glaciales qui dépassent les - 50 degrés. Des vents qui vous renversent au premier relâchement. Un parcours accidenté exténuant.
Avec ses chiens, la fusion est totale. Très vite, pourtant, épuisé par le froid et l’absence de sommeil, il doit se séparer de cinq de ses compagnons. Il pense même abandonner. Mais sa rage est plus forte !
Onze jours plus tard, l’aventurier entre dans le cercle très fermé des plus grands « mushers » du monde.
Cet exploit, Nicolas Vanier le dédie à ses chiens, les vrais héros de cette aventure extrême.

« Un livre magnifique. » Patrice Boisfer – « La Grande Édition », L’Équipe 21

Inclus un cahier photos
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EAN : 9782266273527
Code sériel : 16887
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 312
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266273527
Code sériel : 16887
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 312
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Un livre magnifique » Patrice Boisfer, La Grande Édition-L’Équipe 21
« Vanier nous fait vivre cette aventure démente entre exaltation et peur blanche » Midi Libre

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • IsaLise 19/11/2021
    Un très bon moment en compagnie de Nicolas Vanier et ses chiens. Ce récit nous permet de découvrir les grandes courses nordiques. Je craignais l'ennui, les redondances, mais non, j'ai passé un très bon moment, tremblant parfois avec l'auteur. Par conséquent, je l'ai sélectionné en lecture suivie pour "mes collégiens".
  • isabelleisapure 07/07/2020
    Plus qu’un fabuleux récit d’aventure, j’ai lu une histoire d’amour d’un homme pour ses chiens, une histoire d’amour, de respect et de confiance d’un équipage canin pour son maître. Nicolas Vanier nous raconte dans « La grande course » sa participation à la mythique Yukon Quest, la course de chiens de traineau la plus difficile au monde. Que d’efforts, de courage, de volonté pour affronter des conditions météo extrêmes avec des températures de moins 50°, des tempêtes de neige rendant la visibilité quasi nulle. Quel bonheur de s’arrêter pour quelques brèves heures de repos où le musher doit s’occuper de ses chiens, les nourrir bien sûr, mais aussi les masser, soigner les petits ou gros bobos. Et plus que tout leur parler, les féliciter pour les voir « sourire », car Nicolas Vanier en est persuadé, ses compagnons sourient lorsqu’ils sentent qu’il est content. Cela lui procure également un formidable moment de détente : « Une bonne technique pour booster son moral est de libérer des endorphines en riant, ce que je fais fréquemment avec les chiens. » L’auteur nous fait partager ses moments de doute, de peur ou de bonheur : « Mais comment raconter en quelques mots ces heures qui durent des jours, ces jours qui durent des semaines… Ces moments d’euphorie et de déprime exagérée, cet état d’inconscience éveillée, cette symbiose avec les chiens ? » Ce livre est passionnant, j’ai fait avec Nicolas Vanier un fabuleux voyage, vécu une folle aventure. J’ai eu peur, j’ai eu froid, j’ai souri avec les chiens, j’ai partagé des moments privilégiés entre un homme et ses compagnons en union totale avec une nature hostile et majestueuse. Plus qu’un fabuleux récit d’aventure, j’ai lu une histoire d’amour d’un homme pour ses chiens, une histoire d’amour, de respect et de confiance d’un équipage canin pour son maître. Nicolas Vanier nous raconte dans « La grande course » sa participation à la mythique Yukon Quest, la course de chiens de traineau la plus difficile au monde. Que d’efforts, de courage, de volonté pour affronter des conditions météo extrêmes avec des températures de moins 50°, des tempêtes de neige rendant la visibilité quasi nulle. Quel bonheur de s’arrêter pour quelques brèves heures de repos où le musher doit s’occuper de ses chiens, les nourrir bien sûr, mais aussi les masser, soigner les petits ou gros bobos. Et plus que tout leur parler, les féliciter pour les voir « sourire », car Nicolas Vanier en est persuadé, ses compagnons sourient lorsqu’ils sentent qu’il est content. Cela lui procure également un formidable moment de détente : « Une bonne technique pour booster son moral est de libérer des endorphines en riant, ce que je fais fréquemment avec les chiens. » L’auteur nous fait partager ses moments de doute, de peur ou de bonheur : « Mais comment raconter en quelques mots ces heures qui durent des...
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  • Niele 14/04/2020
    Nicolas Vanier nous emmène de par les étendues enneigées du grand nord américain pour une course de chien de traîneaux : la Yukon Quest , il s’agit de la plus difficile au monde. Présenté comme cela, vous voyez déjà un récit passionnant, de l’aventure, des épreuves insurmontables, des ours, des loups, des crevasses… eh bien, non ! Vous rencontrerez quelques élans (ils peuvent quand même être dangereux), des chiens (forcément), des bûcherons, rien de bien palpitant. Nicolas Vanier nous partage incontestablement son carnet de voyage. Il est intéressant d’un point de vue pratique, on y apprend les soins à donner aux chiens, les règles de la course, les termes techniques… mais ça ne va pas plus loin. Un style un peu plus dynamique et vif aurait donné plus de vie à l’histoire. Je me suis un peu ennuyée malgré le sujet qui est riche en contenu.
  • patricelucquiaud 27/09/2019
    Plongez dans ce récit de La Grand Course, vous ne lâcherez plus le livre !… Dépaysement garanti, chaud et froid également, avec ce qu'il faut d’extrême pour bien sentir ce grand écart entre où vous êtes et là où s'effectue cette épopée au grand Nord conduisant du Canada à l'Alaska... plus qu'une aventure, c'est une véritable communion avec ce qu'il y a de plus pur et originel dans ce monde blanc, sous un ciel pur le jour, et illuminé d'aurores boréales la nuit mais aussi une communion s'effectuant surtout avec les chiens de traîneaux. Avec eux, Nicolas Vanier nous fait vivre sa grande complicité. Pour ses chiens il a une profonde admiration, il leur voue tout son amour et sa reconnaissance. Cela se perçoit tout au long du récit. L'intensité dramatique provient de la forme et de l'état de santé physique et mental de ses chiens qui priment ici, sur ceux de l'homme, le musher, sorte d'aurige sur char à patins... Ayant cité l’extrême, ce terme qualifie aussi les limites atteintes avec les frontières de la fatigue aux confins du grand manque de sommeil résultant du cumul d'heures passées à maîtriser un attelage parcourant des étapes de 120 à 160 kilomètres d'une seule traite... un « run » d'enfer où l'état de conscience éveillé ne doit jamais sombrer dans le « mirage blanc » par des température pouvant atteindre le -55° … Vous y apprenez des choses que vous auriez jugé tout à fait invraisemblables, comme par exemple : par ces températures polaires si basses, d'un froid mordant qui dans la seconde, pétrifie en glace la moindre goutte de sueur, de quitter une bonne partie de ses vêtements protecteurs pour affronter les ascensions de montagnes qui vous font exécuter une incroyable gymnastique à patiner sans cesse en poussant le traîneau pour soulager les chiens en traction, ceci, tout en effectuant une danse virevoltante sur les appuis hauts et bas du traîneau. Il ne faut pas que la transpiration résultant de ces efforts considérables, gèle sur votre corps mais qu'une température constante soit conservée... Par -55°, on éprouve alors ni froid ni chaud, seule, la fatigue conséquente des efforts, se ressent parfois très douloureusement dans tous les membres jusqu'à les tétaniser. Mais ce qui émerveille c'est, comme déjà mentionnée, la communion avec tous les chiens de son attelage. Nicolas Vanier, leur parle sans cesse, leur raconte même des histoires drôles, leur communique son enthousisame, sa gniac aussi. Les encourager même s'ls n'en n'ont pas besoin car ses chiens sont d'une trempe extraordinaire, faisant montre d'une tenacité, d'une résistance et d'une vélocité inimagiable. Ils peuvent filer au trot soutenu pendant plusieurs heures sur la bonne neige et sur le plat à une allure de 15 km/h en moyenne. Au galop, ils embarquent le traineau à une vitesse frisant les 22km/h. Tous, synchro dans l'effort, chacun prend du plaisir à courir dans le grand désert blanc. Aspirés par cette immensité, ils obéissent néanmoins aux ordres de leur maître, debout en équilbre à l'arrière du traineau. Lui aussi, doit avoir le regard portant loin devant, anticiper pour éviter les osbtacles car, dans cet univers qui semble tellement ouaté, ils sont nombreux, pouvant mettre en péril tout l'équipage : homme, chiens et traîneau. Il y a de nombreux pièges sur la route glacée !... Djee ! Est l'ordre de direction qui indique à droite... Yap ! Est l'ordre de direction qui indique à gauche... Les chiens de têtes les connaissent parfaitement et ne se trompent jamais exécutant la bonne manœuvre dès qu'ils ont entendu l'ordre. C'est ainsi que vous ferez connaissance avec Burka et Miwook chiens en tête d'attelage de Dark et de Wolf les « Wheel dogs » placés juste devant le traineau puis de Sidi la petite chienne infatigable grimpeuse qui communique à l'ensemble de l'attelage sa pugnacité lors de l'ascension du mythique Eagle Summit... Mais je ne vous raconterait pas tout le reste de cette formidable aventure, vous invitant maintenant à la découvrir en faisant la lecture de ce livre très bien écrit et docummenté en explications, croquis et photos. Un régal !…Plongez dans ce récit de La Grand Course, vous ne lâcherez plus le livre !… Dépaysement garanti, chaud et froid également, avec ce qu'il faut d’extrême pour bien sentir ce grand écart entre où vous êtes et là où s'effectue cette épopée au grand Nord conduisant du Canada à l'Alaska... plus qu'une aventure, c'est une véritable communion avec ce qu'il y a de plus pur et originel dans ce monde blanc, sous un ciel pur le jour, et illuminé d'aurores boréales la nuit mais aussi une communion s'effectuant surtout avec les chiens de traîneaux. Avec eux, Nicolas Vanier nous fait vivre sa grande complicité. Pour ses chiens il a une profonde admiration, il leur voue tout son amour et sa reconnaissance. Cela se perçoit tout au long du récit. L'intensité dramatique provient de la forme et de l'état de santé physique et mental de ses chiens qui priment ici, sur ceux de l'homme, le musher, sorte d'aurige sur char à patins... Ayant cité l’extrême, ce terme qualifie aussi les limites atteintes avec les frontières de la fatigue aux confins du grand manque de sommeil résultant du cumul d'heures passées à maîtriser un attelage parcourant des étapes de 120 à 160 kilomètres d'une...
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  • Christelle83230 04/05/2018
    Nicolas Vanier nous amène avec lui sur les pistes enneigées de la célèbre Yukon Quest, course de chiens de traîneaux, ralliant le Canada à l'Alaska, pour notre plus grand plaisir. Ce périple inouï que l'auteur nous narre dans un style épuré, noble et franc, nous fait voyager au sein d'un climat particulièrement austère, où la compétition fait rage. Mais ce récit met surtout en lumière les principes de vie tels que le dépassement de soi, les sacrifices et l'amour de la nature. Persévérance, constance et abnégation jalonnent ce parcours que l'on suit avec grande attention. Un ouvrage qui se veut enrichissant et fascinant, tout en étant didactique avec l'ajout du glossaire et des schémas détaillés. J'ai beaucoup apprécié le récit de cette prouesse de haut vol.
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