La petite ritournelle de l'horreur

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Clodegrans 05/04/2024

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  C'est le premier livre de cet auteur que je lis et je n'ai pas été déçue. Cécile Cabannac a réussi le tour de force d'avoir écrit un polar sur un sujet extrêmement douloureux qui nous plonge dans les profondeurs du mal sans jamais être ni voyeur, ni complaisant. Tout commence par la découverte de trois corps d'enfants emmurés dans la cloison d'une maison achetée par Pio Achenza marié à Maria et avec qui il a plusieurs enfants et qui en attend un troisième. Et là, la descente aux enfers commence. L'enquête est confiée au commandant Sevran, une flic énergique, empathique, ô combien humaine et sensible et qui essaie de cacher sa vulnérabilité sous une épaisse carapace. Cécile Cabannac dénonce dans ce thriller très noir la violence faite aux enfants confiés à l'aide sociale à l'enfance, l'indifférence de certains soi-disant professionnels et la responsabilité qu'a la société toute entière envers ces laissés pour compte qui n'intéressent personne. L'équipe du commandant Sevran va être mise à rude épreuve et va y laisser quelques plumes. Les chapitres consacrés à plusieurs personnages, sont relativement courts, ce qui donne au roman un rythme soutenu. Le suspense reste entier jusqu'à la fin . Pour qui aime ce genre, n'hésitez pas, et écoutez cette petite ritournelle.C'est le premier livre de cet auteur que je lis et je n'ai pas été déçue. Cécile Cabannac a réussi le tour de force d'avoir écrit un polar sur un sujet extrêmement douloureux qui nous plonge dans les profondeurs du mal sans jamais être ni voyeur, ni complaisant. Tout commence par la découverte de trois corps d'enfants emmurés dans la cloison d'une maison achetée par Pio Achenza marié à Maria et avec qui il a plusieurs enfants et qui en attend un troisième. Et là, la descente aux enfers commence. L'enquête est confiée au commandant Sevran, une flic énergique, empathique, ô combien humaine et sensible et qui essaie de cacher sa vulnérabilité sous une épaisse carapace. Cécile Cabannac dénonce dans ce thriller très noir la violence faite aux enfants confiés à l'aide sociale à l'enfance, l'indifférence de certains soi-disant professionnels et la responsabilité qu'a la société toute entière envers ces laissés pour compte qui n'intéressent personne. L'équipe du commandant Sevran va être mise à rude épreuve et va y laisser quelques plumes. Les chapitres consacrés à plusieurs personnages, sont relativement courts, ce qui donne au roman un rythme soutenu. Le suspense reste entier jusqu'à la fin . Pour...

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• Sarate78 04/04/2024

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  "La petite ritournelle de l'horreur" est le deuxième livre que je lis de cette auteure: Cécile CABANAC. Tout comme "Le chaos dans nos veines", j'ai apprécié la prose de l'autrice où chaque chapitre, ici, est dédié à un personnage. Ainsi, nous pouvons retrouver, au cours des 522 pages (au format Pocket): Pio ACHENZA (qui découvre des corps emmurés dans une ancienne bâtisse), la commandant Virignie SEVRAN, le lieutenant DOMBARD (qui mènent l'enquête) mais aussi d'autres protagonistes tous en lien avec la vieille demeure... Ainsi, les chapitres s'entremêlent parfaitement pour nous tenir en haleine jusqu'à la dernière phrase, le dernier mot! Livre addictif, je recommande.
• Lire-une-passion 31/03/2024

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  Ça faisait beaucoup trop longtemps qu'une de mes collègues me l'avait prêté, alors il était temps que je le lise ! Je vous avoue qu'il me faisait autant envie que peur. Résultat : je n'ai pas réussi à m'arrêter de le lire une fois commencé ! La tension dans ce polar est présente du début à la fin. On va d'horreur en horreur et en même temps, on se prend vite d'affection pour les personnages, surtout ceux qui mènent l'enquête (non, parce que bon, les tueurs, pas trop hein...) Je pense que le pire qu'on puisse lire dans un polar c'est le sujet d'enfants tués. Même si on n'est pas parents, on ne peut que avoir l'estomac retourné, des palpitations et beaucoup, beaucoup d'empathie et de tristesse. Et l'autrice a parfaitement su retranscrire toutes ces émotions et nous faire vivre de véritables montagnes russes. Un ascenseur émotionnel très addictif qui nous pousse à toujours vouloir en savoir plus. Quant aux enquêteurs, ils ne sont pas non plus au bout de leur surprises et vont frôler de près l'âme humaine la plus noire. L'autrice nous offre une histoire haletante, où elle va chercher au plus profond de la noirceur. En somme, un polar qui m'aura tenue éveillée et en apnée tout du long. Quant à la fin, elle m'a brisé le coeur. Je ne m'attendais pas à ce retournement de situation. Je l'avoue, j'ai pleuré. En tout cas, c'était le premier de l'autrice que je lisais, mais pas le dernier !Ça faisait beaucoup trop longtemps qu'une de mes collègues me l'avait prêté, alors il était temps que je le lise ! Je vous avoue qu'il me faisait autant envie que peur. Résultat : je n'ai pas réussi à m'arrêter de le lire une fois commencé ! La tension dans ce polar est présente du début à la fin. On va d'horreur en horreur et en même temps, on se prend vite d'affection pour les personnages, surtout ceux qui mènent l'enquête (non, parce que bon, les tueurs, pas trop hein...) Je pense que le pire qu'on puisse lire dans un polar c'est le sujet d'enfants tués. Même si on n'est pas parents, on ne peut que avoir l'estomac retourné, des palpitations et beaucoup, beaucoup d'empathie et de tristesse. Et l'autrice a parfaitement su retranscrire toutes ces émotions et nous faire vivre de véritables montagnes russes. Un ascenseur émotionnel très addictif qui nous pousse à toujours vouloir en savoir plus. Quant aux enquêteurs, ils ne sont pas non plus au bout de leur surprises et vont frôler de près l'âme humaine la plus noire. L'autrice nous offre une histoire haletante, où elle va chercher au plus profond de la noirceur. En somme, un polar qui...

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• Cath_perrin 25/03/2024

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  Pio Achenza s’attaque à la rénovation d’une maison isolée. Il est fatigué, n’en a pas envie, mais sa femme, Maria, ne lui laisse aucun répit#8201;; ils attendent leur quatrième enfant et l’appartement est trop petit. En détruisant un mur, il fait une macabre découverte : les corps de trois enfants ont été emmurés. La commandant Sevran et son coéquipier sont chargés de l’enquête. Après avoir interrogé Pio, ils souhaitent entendre l’ancienne propriétaire, Madeleine Duflot, mais elle est morte quinze jours auparavant. L’intrigue est excellente et je n’ai pas lâché le roman. En revanche, à force de rebondissements et d’horreur, l’histoire devient peu crédible. L’horreur est bien présente, mais l’auteur ne s’appesantit pas sur les meurtres. Même si vous n’aimez pas les livres violents (ce qui est mon cas), vous ne devriez pas avoir de difficultés à le lire. Si vous aimez les intrigues puissantes, La petite ritournelle de l’horreur de Cécile Cabanac est fait pour vous. Même si vous préférez plonger dans un univers inhabituel et bien décrit, que les personnages soient approfondis, vous aurez plaisir à lire ce livre, sans pour autant avoir le désir de renouveler l’expérience.
• ehmmaco 24/03/2024

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  Fan de polars, le thème de celui-ci m’a tout de suite rendue sceptique : la mort d’enfants donne toujours un sentiment particulier. Si l’on va au-delà de cette sensibilité, le roman est très bien écrit et nous voulons à tout prix savoir qui est l’auteur de ces horribles crimes… peut-être pour faire, nous aussi, justice à ces petits. Je recommande fortement ce captivant polar et cette auteure qui est une découverte pour moi