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L'Amour, la Mort
Monique Lebailly (traduit par)
Date de parution : 28/01/2021
Éditeurs :
Pocket

L'Amour, la Mort

Monique Lebailly (traduit par)
Date de parution : 28/01/2021
Entre vieilles légendes sioux, bas-fonds de Bangkok, futur dystopique et passé recomposé, Éros et Thanatos dansent ensemble pour mieux révéler les fêlures humaines. Quand l’horreur se pare de douceur, que... Entre vieilles légendes sioux, bas-fonds de Bangkok, futur dystopique et passé recomposé, Éros et Thanatos dansent ensemble pour mieux révéler les fêlures humaines. Quand l’horreur se pare de douceur, que le fantasme se fait fantastique et cruel, que la drogue du passé tue pour oublier le présent… Cinq nouvelles qui... Entre vieilles légendes sioux, bas-fonds de Bangkok, futur dystopique et passé recomposé, Éros et Thanatos dansent ensemble pour mieux révéler les fêlures humaines. Quand l’horreur se pare de douceur, que le fantasme se fait fantastique et cruel, que la drogue du passé tue pour oublier le présent… Cinq nouvelles qui montrent toute la palette d’écriture de l’auteur d’Hyperion, de Terreur et de L’Échiquier du mal.
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EAN : 9782266298063
Code sériel : 17706
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 512
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266298063
Code sériel : 17706
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 512
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Le dernier recueil de nouvelles de l'écrivain américain est impressionnant. Cinq nouvelles. Toutes les cinq sont aussi talentueuses, aussi fortes, aussi impressionnantes. » Jean-Claude Vantroyen
Le Soir

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lehibook 19/08/2021
    5 nouvelles assez inégales dans l’intérêt et hétérogène dans les sujets . « Mourir à Bangkok » et « Coucher avec des femmes dentues » ont en commun de lier fantastique et sexe par le biais d’un vampirisme particulier et freudien ( propre à faire frémir le mâle) . « Le Grand Amant » est un récit de guerre très réaliste (la bataille/massacre de la Somme) surlequel se surimpose assez artificiellement un élément fantastique. Les deux meilleures à mon goût sont « Le lit de l’entropie à minuit » qui crée un climat angoissant à partir de presque rien. Et « Flash-back » nouvelle très Dickienne dans une Amérique soumise aux japonais et tiers-mondisée par l’addiction massive à une drogue jouant sur la perception du temps.
  • Maks 12/03/2021
    Plutôt que nouvelles, je dirais que ce sont 5 novellas qui composent ce recueil, dédié comme le titre le dit, à l'amour et à la mort, ce dans chacune des histoires. Toutes dans des genres différents, du fantastique à la sf en passant par l'horreur, il y en a pour tous les goûts, tout en gardant cette thématique de la mort et de l'amour comme une entité inséparable l'une de l'autre. Par contre une des nouvelles, "Mourrir à Bangkok", bien que géniale et d'ailleurs la meilleure histoire du livre à mon goût, n'est pas à mettre entre toutes les mains, car certaines scènes peuvent vraiment choquer. (j'ai retrouvé l'ambiance que notre cher "Thomas Day" avait réussi à mettre dans "Dragon" ou dans "La cité des crânes", deux textes que j'adore. J'ai beaucoup aimé également le texte "Flash-back" dont on ne décroche pas du début à la fin. Les trois autres textes sont aussi intéressants mais m'ont moins passionnés, attention, la qualité est tout de même au rendez-vous. L'écriture de Dan Simmons est toujours aussi forte, il a l'art du suspense, l'art de l'amour, l'art de la mort, l'art de nous transporter par ses mots et ses idées.
  • Stelphique 28/02/2021
    #9760;️Ce que j’ai ressenti🌹 Écoutez-moi. Je vais vous dire quelque chose avant que je ne perde le temps et la force, avant que La Mort, ou pire L’amour, se ramène avec ses charmes, j’aimerai vous dire quelque chose… Ce n’est pas tellement les fous, les cadavres, la salive ou les temps maudits. Ce n’est pas tellement minuit, Bangkok, la drogue, les Sioux ou la guerre. C’est quelque chose en 5 temps, en 500 pages, et ça se lit avec passion…C’est L’Amour, la Mort…C’est l’exigence à les prendre en considération. Plutôt 5 fois qu’une….Parce qu’un jour, tard dans la nuit, il se peut que les deux s’invitent…Au-delà de vos rêves, de vos attentes, de vos fantasmes, ses nouvelles sont là pour vous rappeler que l’heure est venue…L’heure de l’horreur selon Dan Simmons. C’est efficace. Efficace pour pouvoir affirmer, que tous les enfers sont bel et bien sur Terre, mais que si, par malheur, vous laissiez vos esprits ouverts, ils pourraient s’y engouffrer aussi…Et alors monstres, fantômes, vampires, chaos, poètes et Dame prendraient tout l’espace, dans une danse sensuelle…La destination finale est la même pour tout le monde, mais ici, on va pouvoir découvrir l’entropie, la recomposition, des batailles, des légendes, l’effroyable fatalité, l’incontrôlable désir, se mêler de près ou de loin, au pouvoir de séduction irrésistible et fascinant de l’Amour et de sa partenaire, la Mort…Le voyage en valait le détour… Je ne désire pas la Mort, pas plus l’Amour, mais il me reste moins de huit secondes pour vous dire qu’il faut vous découvriez ce livre! Je ne vais pas pouvoir vous dire quelque chose de plus, Le Grand Amant me fait un sourire, en déclamant son dernier poème…Et comme lui, je peux écrire dans une lettre que je vous adresse, avant la fin, J’aime la Vie d’amour… « Croyez-moi si vous voulez, je sais exactement à quoi la Mort ressemble. »#9760;️Ce que j’ai ressenti🌹 Écoutez-moi. Je vais vous dire quelque chose avant que je ne perde le temps et la force, avant que La Mort, ou pire L’amour, se ramène avec ses charmes, j’aimerai vous dire quelque chose… Ce n’est pas tellement les fous, les cadavres, la salive ou les temps maudits. Ce n’est pas tellement minuit, Bangkok, la drogue, les Sioux ou la guerre. C’est quelque chose en 5 temps, en 500 pages, et ça se lit avec passion…C’est L’Amour, la Mort…C’est l’exigence à les prendre en considération. Plutôt 5 fois qu’une….Parce qu’un jour, tard dans la nuit, il se peut que les deux s’invitent…Au-delà de vos rêves, de vos attentes, de vos fantasmes, ses nouvelles sont là pour vous rappeler que l’heure est venue…L’heure de l’horreur selon Dan Simmons. C’est efficace. Efficace pour pouvoir affirmer, que tous les enfers sont bel et bien sur Terre, mais que si, par malheur, vous laissiez vos esprits ouverts, ils pourraient s’y engouffrer aussi…Et alors monstres, fantômes, vampires, chaos, poètes et Dame prendraient tout l’espace, dans une danse sensuelle…La destination finale est la même pour tout le monde, mais ici, on va pouvoir découvrir l’entropie, la recomposition, des batailles, des légendes, l’effroyable fatalité, l’incontrôlable...
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  • Gwelan 20/06/2019
    Une suite de nouvelles - pas toutes égales.
  • bilodoh 01/09/2015
    Une série plutôt disparate, de longues nouvelles, avec des Morts de toutes sortes, avec des fantasmes sexuels ou amoureux et avec un peu d’horreur et de fantastique. La première nouvelle, « Le lit de l’entropie à minuit », c’est l’inéluctable hasard de l’accident, l’amour n’y peut rien, même l’amour des parents. Quelques anecdotes amusantes de l’agent d’assurances qui indemnise les victimes d’accidents parfois cocasses. La deuxième c’est « Mourir à Bangkok » des soldats américains en permission, qui tentent d’assouvir leurs fantasmes. Avec des descriptions de sexualité tout à fait explicites, je ne suis pas sûre que cet orgasme mortel puisse être qualifié d’amour… La troisième nouvelle s’intitule « Coucher avec des femmes dentues ». Sous le couvert des légendes indiennes, il s’agit aussi d’une histoire de sexualité plutôt que d’amour, avec le fantasme (éculé?) de femmes au vagin pourvu de dents, un piège mortel. Heureusement que le décor sauve l’histoire, c’est le Dakota, une région que j’ai eu le bonheur de visiter, avec les Black Hills et les Badlands. L’auteur se permet même d’ajouter les visages de pierre du mont Rushmore. Surprenant toutefois que Simmons ne cite pas la Devils Tower, un imposant monolithe de la même région, monument important pour les tribus indiennes du coin, c’est la montagne qu’on voit dans « Rencontres du troisième type ». La quatrième, « Flash-back », une version courte d’un roman que j’ai lu récemment (zut, pas de suspens pour moi). Il s’agit d’une dystopie où une société américaine décadente utilise une drogue qui permet de revivre un moment de sa vie. Une civilisation qui dégénère, trop occupée avec le passé pour s’occuper du présent. Des voyous peuvent même tuer pour créer des sensations fortes qu’ils pourront récupérer sans fin dans leurs « Flash-back ». J’arrive à la cinquième nouvelle un peu déçue de mes lectures jusqu'ici, en me disant qu’il ne me reste qu'une centaine de pages pour terminer… Mais voilà, « Le grand amant » me ramène le Dan Simmons que j’avais apprécié dans Terreur, un montage de personnages et d’émotions, sur une base d’événements historiques. Le contexte c’est celui de la « Bataille de la Somme », un carnage qui a fait plus d’un million de victimes et Simmons le raconte à travers les yeux d’un poète, en citant de véritables poèmes d’auteurs de l’époque. C’est vraiment l’horreur, des têtes qui tombent, des rats et des mouches, avec un peu d’amour fantastique pour compléter le thème. Un recueil diversifié, un mesclun intéressant pour qui aime la variété… Une série plutôt disparate, de longues nouvelles, avec des Morts de toutes sortes, avec des fantasmes sexuels ou amoureux et avec un peu d’horreur et de fantastique. La première nouvelle, « Le lit de l’entropie à minuit », c’est l’inéluctable hasard de l’accident, l’amour n’y peut rien, même l’amour des parents. Quelques anecdotes amusantes de l’agent d’assurances qui indemnise les victimes d’accidents parfois cocasses. La deuxième c’est « Mourir à Bangkok » des soldats américains en permission, qui tentent d’assouvir leurs fantasmes. Avec des descriptions de sexualité tout à fait explicites, je ne suis pas sûre que cet orgasme mortel puisse être qualifié d’amour… La troisième nouvelle s’intitule « Coucher avec des femmes dentues ». Sous le couvert des légendes indiennes, il s’agit aussi d’une histoire de sexualité plutôt que d’amour, avec le fantasme (éculé?) de femmes au vagin pourvu de dents, un piège mortel. Heureusement que le décor sauve l’histoire, c’est le Dakota, une région que j’ai eu le bonheur de visiter, avec les Black Hills et les Badlands. L’auteur se permet même d’ajouter les visages de pierre du mont Rushmore. Surprenant toutefois que Simmons ne cite pas la Devils Tower, un imposant monolithe de la même région, monument important pour les tribus indiennes du...
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