Lisez! icon: Search engine
Le Chant de Kali
Bernadette Emerich (traduit par)
Date de parution : 11/10/2018
Éditeurs :
Pocket

Le Chant de Kali

Bernadette Emerich (traduit par)
Date de parution : 11/10/2018
Rédacteur dans une revue de poésie, Robert Luczak est mandaté par sa maison d'édition pour une mission bien particulière. Il doit se rendre à Calcutta pour mettre la main sur... Rédacteur dans une revue de poésie, Robert Luczak est mandaté par sa maison d'édition pour une mission bien particulière. Il doit se rendre à Calcutta pour mettre la main sur la prétendue nouvelle œuvre de Das. Mais le plus célèbre des poètes indiens est mort. Dès son arrivée, Robert est... Rédacteur dans une revue de poésie, Robert Luczak est mandaté par sa maison d'édition pour une mission bien particulière. Il doit se rendre à Calcutta pour mettre la main sur la prétendue nouvelle œuvre de Das. Mais le plus célèbre des poètes indiens est mort. Dès son arrivée, Robert est tiraillé entre une irrésistible attraction un désir croissant de quitter ce lieu malfaisant. Il se perd chaque jour un peu plus loin dans les méandres méphitiques de la ville. Jusqu'à ce que son chemin croise celui des Kapalikas, adorateurs de la sanglante et destructrice Kali.
Robert devra aller jusqu'au bout de l'enfer, où la frontière entre la vie et la mort se fait floue et poreuse. Il y perdra bien plus que son âme...

Le premier roman de l'auteur de L'Échiquier du mal et du Cycle d'Hypérion, prix World Fantasy
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782266290418
Code sériel : 7262
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 368
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266290418
Code sériel : 7262
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 368
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Letizia6358 26/02/2024
    Une histoire qui se déroule dans les rues de Calcutta. Le descriptif de cette ville nous permet d'accompagner les personnages principaux. Histoire triste et mélancolique qui n'est pas dans mes lectures habituelles mais le style m'a beaucoup intéressé. Laissez-vous guider par le chant de Kali.
  • Jo_read_and_geek 30/06/2023
    Une excellente lecture ici avec un auteur chouchou : Dan Simmons. Bien que la couverture le classe en « épouvante » je l’ai trouvé assez soft par rapport à d’autres œuvres de l’auteur. Nous sommes ici avec un One shot , en Inde (à Calcutta), fin des années 70. Oui rien que le décor pourrait être qualifié d’épouvantable en soi il est vrai. On suit donc un journaliste qui se rend sur place pour un article, à la chasse au poète disparu… Nouvellement papa , il est accompagné de sa femme et de son enfant. Évidemment ça ne va pas se passer comme prévu, surtout avec avoir mis le doigt sur une secte adoratrice de la déesse Kali. J’ai adoré. Je l’ai dévoré en un après-midi, ne voyant absolument pas passer les 300 et quelques pages. Pas de temps mort, des rebondissements, de l’action mais pas que. C’était également très intéressant de se retrouver en Inde post-colonialisme, personnellement cette thématique était inédite pour moi en lecture. Et puis le côté thriller horrifique encore une fois magnifiquement réussi. L’auteur est clairement maître en la matière même si mon seul regret ici sera de ne pas avoir ressenti réellement « l’épouvante » . Alors oui il y a des passages horribles au sens strict du terme mais … à peine plus aurait été parfait.Une excellente lecture ici avec un auteur chouchou : Dan Simmons. Bien que la couverture le classe en « épouvante » je l’ai trouvé assez soft par rapport à d’autres œuvres de l’auteur. Nous sommes ici avec un One shot , en Inde (à Calcutta), fin des années 70. Oui rien que le décor pourrait être qualifié d’épouvantable en soi il est vrai. On suit donc un journaliste qui se rend sur place pour un article, à la chasse au poète disparu… Nouvellement papa , il est accompagné de sa femme et de son enfant. Évidemment ça ne va pas se passer comme prévu, surtout avec avoir mis le doigt sur une secte adoratrice de la déesse Kali. J’ai adoré. Je l’ai dévoré en un après-midi, ne voyant absolument pas passer les 300 et quelques pages. Pas de temps mort, des rebondissements, de l’action mais pas que. C’était également très intéressant de se retrouver en Inde post-colonialisme, personnellement cette thématique était inédite pour moi en lecture. Et puis le côté thriller horrifique encore une fois magnifiquement réussi. L’auteur est clairement maître en la matière même si mon seul regret ici sera de ne pas avoir ressenti réellement « l’épouvante » . Alors oui il y a des passages...
    Lire la suite
    En lire moins
  • lehibook 26/08/2022
    Robert Luczak ,poète et journaliste littéraire est envoyé à Calcutta à la recherche d'un mystérieux poète indien disparu depuis huit ans et qui semble avoir réapparu . Il s'y rend avec sa femme d'origine indienne et sa petite fille. Mais sa mission va le confronter aux mystères du pays et de la ville sur laquelle plane l'ombre de Kali et de ses sectateurs. Les descriptions des bas-fonds de Calcutta sont assez prenantes et effrayantes avec une complaisance assez marquée sur le sordide , le macabre et le morbide . Mais la mise en place de l'intrigue est trop longue , trop riche en détails peu utiles, l'action se concentre dans le dernier tiers du livre . Simmons a fait mieux.
  • Fon95 09/06/2021
    Quelle atmosphère! Premier roman de Dan Simmons, Le chant de Kali est un sacré voyage, qui ne vous laissera pas indifférent. L'ambiance est malsaine, malaisante même. On plonge dans les bas-fonds de Calcutta, sur les traces d'un poète et de son nouveau manuscrit. Sauf que ledit poète est censé avoir passé l'arme à gauche 8 ans auparavant. On suit donc Robert Luczak et sa famille s'enfoncer dans ce cauchemar de maladies, de pauvreté, et de rites autant sauvages que mystiques. On suffoque, le rythme cardiaque s'emballe au fil du récit, mais on en redemande malgré tout. L'histoire est prenante, les personnages soignés, et pour ce qui est du style, c'est du Simmons, fluide et haletant.
  • bwarnas 17/09/2020
    Edition originale : 1985 Première édition française : 1989 Temps de lecture : environ 4h30 pour un lecteur moyen (300 m/m) Un mot sur l’auteur : Dan Simmons est un auteur de fantastique / SF / Horreur américain né en 1948. il est relativement connu, notamment pour les Cantos d’Hyperion, saga SF, et pour d’autres romans fantastiques et d’horreur tels que « terreur » ou « l’échiquier du mal ». Synopsis : [masquer] Robert Luczak, un journaliste, part à Calcutta avec sa femme et sa fille pour faire un article sur la surprenante réapparition d’un poète indien disparu des années plus tôt. C’est le début d’une plongée dans l’horreur humide, puante et visqueuse des tréfonds de cette ville tentaculaire, de ses mœurs et de ce mystérieux culte à la déesse de la mort, Kali. [/masquer] Que faut-il en retenir ? Il est évident que vous ne verrez plus Calcutta de la même façon. Le personnage sombre inexorablement dans les nuits de cette ville sinistre pour la plupart des personnes non préparées à la misère de l’Inde de cette fin de siècle. C’est, outre un bon roman d’horreur, une confrontation frontale et violente entre deux cultures que tout oppose. Pour conclure : premier roman de Simmons, ce texte recevra le prix World Fantasy Award en 1986. C’est étouffant, c’est moite, c’est gluant d’angoisse. La fin n’est pas un happy-end, tant s’en faut. Les lecteurs qui disent que ce texte leur rappelle HPL ne mentent pas : c’est une horreur lente et diffuse qui prend son temps. Une belle découverte (car j’admets ne pas avoir apprécié tous les ouvrages de l’auteur).Edition originale : 1985 Première édition française : 1989 Temps de lecture : environ 4h30 pour un lecteur moyen (300 m/m) Un mot sur l’auteur : Dan Simmons est un auteur de fantastique / SF / Horreur américain né en 1948. il est relativement connu, notamment pour les Cantos d’Hyperion, saga SF, et pour d’autres romans fantastiques et d’horreur tels que « terreur » ou « l’échiquier du mal ». Synopsis : [masquer] Robert Luczak, un journaliste, part à Calcutta avec sa femme et sa fille pour faire un article sur la surprenante réapparition d’un poète indien disparu des années plus tôt. C’est le début d’une plongée dans l’horreur humide, puante et visqueuse des tréfonds de cette ville tentaculaire, de ses mœurs et de ce mystérieux culte à la déesse de la mort, Kali. [/masquer] Que faut-il en retenir ? Il est évident que vous ne verrez plus Calcutta de la même façon. Le personnage sombre inexorablement dans les nuits de cette ville sinistre pour la plupart des personnes non préparées à la misère de l’Inde de cette fin de siècle. C’est, outre un bon roman d’horreur, une confrontation frontale et violente entre deux cultures que tout oppose. Pour conclure : premier roman de Simmons, ce texte recevra le prix World Fantasy Award en 1986. C’est étouffant, c’est moite, c’est...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la Newsletter Pocket pour trouver le livre dont vous rêvez !
Chaque semaine, riez, pleurez et évadez-vous au rythme de vos envies et des pages que nous vous conseillons.