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Lysistrata
Date de parution : 04/06/2020
Éditeurs :
Pocket

Lysistrata

Date de parution : 04/06/2020
La guerre, toujours la guerre… Des années que le Péloponnèse voit s’affronter Athéniens et Spartiates. Faut-il que les hommes soient idiots à la fin ! Les femmes grecques, en attendant,... La guerre, toujours la guerre… Des années que le Péloponnèse voit s’affronter Athéniens et Spartiates. Faut-il que les hommes soient idiots à la fin ! Les femmes grecques, en attendant, souffrent en silence. Alors que la solution est là, sous leur nez – ou bien plutôt sous leurs draps… Sur... La guerre, toujours la guerre… Des années que le Péloponnèse voit s’affronter Athéniens et Spartiates. Faut-il que les hommes soient idiots à la fin ! Les femmes grecques, en attendant, souffrent en silence. Alors que la solution est là, sous leur nez – ou bien plutôt sous leurs draps… Sur l’agora, Lysistrata a convoqué ses sœurs de toute la péninsule. Avec ce mot d’ordre : « Pour arrêter la guerre, mesdames, refusez-vous à vos maris ! ».
Aussitôt la rumeur s’élève. La grève du sexe aura-t-elle lieu ?




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EAN : 9782266306775
Code sériel : 17807
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 96
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266306775
Code sériel : 17807
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 96
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Amatouni 06/04/2024
    J'ai jamais autant ri en lisant un bouquin, j'étais obligée de le poser pour essuyer mes larmes à chaque fois. J'ai envie de l'offrir à tout le monde autour de moi, c'est vraiment à se pisser dessus.
  • MarionJL 10/01/2024
    Relecture de ce classique où les femmes d’Athènes s’unissent aux femmes des autres cités grecques pour imposer la paix. Elles prennent la citadelle d’Athènes où se trouve le trésor de la cité et proclame la grève du sexe pour forcer leurs époux à entamer des pourparlers de paix. Aristophane traite de façon burlesque et obscène ce sujet qui lui tient à cœur : faire cesser la guerre avec les autres cités grecques alors que les barbares sont aux frontières de la Grèce. Il écorche au passage Euripide en reprenant des vers de ses pièces où il considère que les femmes sont uniquement des mégères dangereuses et revanchardes et montre que la solidarité dans l’action militante à des chances d’aboutir. J’ai été, encore plus que pour d’autres pièces d’Aristophane, surprise du ton licencieux et des blagues graveleuses, sûrement accompagnées de gestes, qui émaillent toute la pièce. Il y a une grande liberté de parole. Par ailleurs, je n’ai pas compris nombre d’allusions qui ont trait à la politique de l’Athènes antique et je suis je pense passée à côté de nombreuses blagues. ça reste une lecture divertissante, entre autre par l’exotisme du ton et de la liberté des blagues.
  • AnneSparrow 13/12/2023
    Les pièces d'Aristophane sont la preuve que l'humour peut fonctionner à travers les siècles, que nos aïeux antiques n'étaient pas forcément pudibonds et que la question du rapport femmes-hommes est un sujet fortement débattu depuis la nuit des temps ! Une comédie fraîche, caustique et décalée avec des personnages qui n'ont pas leur langue dans leur poche !
  • LeCercleDeVenus 21/07/2023
    Pièce de théâtre qui aborde avec beaucoup d'humour le sujet de la sexualité comme monnaie d'échange. Cette traduction est très agréable à lire. J'ai aimé que les femmes soient présentées comme plus sages et malines que les hommes , à une époque où ce ne devait pas être la pensée courante ! C'est une lecture très plaisante. On se représente bien le jeu des acteurs.
  • frandj 22/06/2021
    Je connaissais le thème de cette comédie d'Aristophane: fatiguées par les guerres incessantes que se livrent les Grecs, l'héroïne (Lysistrata) incite les épouses à faire la grève des relations sexuelles; si leurs maris veulent les forcer, elles ne devront pas coopérer. C'est un "sacrifice" que les femmes, Athéniennes ou non, acceptent difficilement. Mais elles se décident et il s'ensuit des scènes drolatiques qu'on n'attend pas vraiment de la part d'un auteur antique. C'est réellement comique, à peine graveleux, même s'il faut bien appeler un chat un chat et… une quéquette une quéquette: je crois que le traducteur a dû bien s'amuser ! Mais le plus rigolo, c'est le dialecte laconien (c'est-à-dire de Sparte) transcrit un peu comme la langue d'un Allemand qui essaie de parler français. C'est une plaisante découverte pour moi…
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