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Paris-Venise
Date de parution : 17/01/2019
Éditeurs :
Pocket

Paris-Venise

Date de parution : 17/01/2019
Une bonne pâte, ce Roman. Une bonne tête. Un peu mou, mais honnête, comme le bon pain. Pas étonnant qu’il déniche ce boulot idéal : garçon de cabine dans le... Une bonne pâte, ce Roman. Une bonne tête. Un peu mou, mais honnête, comme le bon pain. Pas étonnant qu’il déniche ce boulot idéal : garçon de cabine dans le Paris-Venise – train-couchettes. De quoi redonner le sourire à Mlle Pajot, sa banquière. Et à lui le goût du voyage.... Une bonne pâte, ce Roman. Une bonne tête. Un peu mou, mais honnête, comme le bon pain. Pas étonnant qu’il déniche ce boulot idéal : garçon de cabine dans le Paris-Venise – train-couchettes. De quoi redonner le sourire à Mlle Pajot, sa banquière. Et à lui le goût du voyage. Car il s’en passe, la nuit, dans ce monde en perpétuel mouvement : les objets perdus qu’on empoche, les clandestins qu’on planque moyennant finances, les combines en loucedé… C’est qu’il en faut, de l’argent, quand on est amoureux et qu’on roule vers Venise. Et Roman est amoureux…

« L’écriture dans le sang et la vanne au bord des lèvres. » Sophie Delassein – L’Obs

« Il devient ardu de savoir quoi acheter en librairie pour lire tout en riant à gorge déployée. Florent Oiseau pourrait bien être la solution. » Nicolas Ungemuth – Le Figaro Magazine

« L’humour le dispute à l’ironie au gré de chaque voyage. » L’Express
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EAN : 9782266286978
Code sériel : 17375
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 208
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266286978
Code sériel : 17375
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 208
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Florent Oiseau c’est l’écriture dans le sang et la vanne au bord des lèvres. Il arrive à nous passionner avec cette histoire, ça doit s’appeler le talent ! » Sophie Delassein, L’Obs
« Il devient ardu de savoir quoi acheter en librairie pour lire tout en riant à gorge déployée. Florent Oiseau pourrait bien être la solution. » Nicolas Ungemuth – Le Figaro Magazine
« Par la grâce de son narrateur, doté d’un formidable sens de l’autodérision et prompt à filer des métaphores désopilantes, l’humour le dispute à l’ironie au gré de chaque voyage. » L’Express


 
XXX

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • benoitlejeune 26/10/2023
    Venise est un miroir ou l' occident et l'orient se reflete. Depuis des siècles le commerce la tient debout, dans cet Orinet-Express low cost qu'est le Paris-Venise la tradition de tout les trafics perdure, de l'expresso fadasse de train international au trafic d'êtres humains ...c'est ce qu'on appelle le libre échange.
  • kateginger63 27/09/2023
    Une heureuse découverte que ce court roman truculent et doux-amer dans le monde ferroviaire - de nuit s il vous plait. Est-ce une autobiographie ? Un lecture intéressante. L anti-heros est très bien croqué, ses expériences tout bonnement crédibles. Pour une soirée tranquille, plongez vous dans ce train de nuit.
  • Mamyrouge 14/06/2023
    Paris-Venise, en train, c'est le lieu du travail que Roman a enfin trouvé ! Travail tranquille en apparence dans les wagons couchette et restaurant. Au fur et à mesure de ces voyages il va découvrir que le travail ne reste pas honnête très longtemps, il trouvera l amour, l amitié. Je m attendais à mieux,l écriture est sympa. Certains passages sont drôles
  • Alphawolf 29/09/2021
    Florent Oiseau confirme avec ce deuxième roman dans lequel on retrouve cette écriture douce-amère, corrosive et drôle qui faisait la force de Je vais m'y mettre. Il parvient encore une fois à mettre sa capacité d'observation au service de ses personnages et situations, qu'il dépeint avec beaucoup de sensibilité et de justesse. Seul bémol, comme dans son précédent opus : une conclusion un peu bancale.
  • AnitaMillot 07/03/2021
    Roman n’est pas un garçon très compliqué, il a juste quelques difficultés à conserver ses emplois (relativement précaires) et a – du coup – un peu de mal à gérer son budget, au grand dam de sa banquière. Jusqu’au jour où un « pote » va lui parler d’un job sur le train de nuit Paris-Venise. (Bon, c’est sûr, ce n’est pas vraiment le luxe du prohibitif « Orient-Express » d’Agatha Christie !…) Au cours de son premier voyage, Roman va se retrouver en binôme avec Demba, qui se chargera de lui transmettre toutes les petites « astuces » du métier (des magouilles « borderline » qui arrondissent les fins de mois … ) Les voyages suivants, il lui faudra également faire avec le chef, Légende, nettement moins sympathique … Florent Oiseau nous décrit un quotidien plutôt inattendu, un travail que l’on aurait pu imaginer plus idyllique … La détresse des voyageurs les plus misérables (ceux relégués tout au bout du train pour qu’ils ne dérangent pas la première classe et le restaurant) y est exprimée avec des mots justes par l’auteur, qui mélange habilement désarroi et cocasserie avec un humour un peu féroce … (pour l’anecdote, Florent Oiseau a été – dans une autre vie – employé sur le train de nuit Paris-Venise) Didier, le voisin qui sait tout sur tout, la femme de ce dernier : Marie-Odile / Shirley qui ne craint pas le ridicule, Mademoiselle Pajot la banquière, Juliette qui a remué son coeur d’artichaut … Florent Oiseau soigne ses personnages … Un petit moment de lecture-détente où se mêlent rire et mélancolie … Roman n’est pas un garçon très compliqué, il a juste quelques difficultés à conserver ses emplois (relativement précaires) et a – du coup – un peu de mal à gérer son budget, au grand dam de sa banquière. Jusqu’au jour où un « pote » va lui parler d’un job sur le train de nuit Paris-Venise. (Bon, c’est sûr, ce n’est pas vraiment le luxe du prohibitif « Orient-Express » d’Agatha Christie !…) Au cours de son premier voyage, Roman va se retrouver en binôme avec Demba, qui se chargera de lui transmettre toutes les petites « astuces » du métier (des magouilles « borderline » qui arrondissent les fins de mois … ) Les voyages suivants, il lui faudra également faire avec le chef, Légende, nettement moins sympathique … Florent Oiseau nous décrit un quotidien plutôt inattendu, un travail que l’on aurait pu imaginer plus idyllique … La détresse des voyageurs les plus misérables (ceux relégués tout au bout du train pour qu’ils ne dérangent pas la première classe et le restaurant) y est exprimée avec des mots justes par l’auteur, qui mélange habilement désarroi et cocasserie avec un humour un peu féroce … (pour l’anecdote, Florent Oiseau a été...
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