Lisez! icon: Search engine
Road tripes
Date de parution : 05/02/2015
Éditeurs :
Pocket

Road tripes

Date de parution : 05/02/2015
Rattrapé par la poisse qui lui colle au corps, Vincent monte un jour dans la voiture de Carell, sociopathe bordelais. Pourquoi ? Mystère… Peut-être que distribuer des prospectus publicitaires par 40°... Rattrapé par la poisse qui lui colle au corps, Vincent monte un jour dans la voiture de Carell, sociopathe bordelais. Pourquoi ? Mystère… Peut-être que distribuer des prospectus publicitaires par 40° C à l’ombre n’est pas l’idée qu’on se fait d’une réussite sociale. Peut-être que brûler ces mêmes prospectus au fond... Rattrapé par la poisse qui lui colle au corps, Vincent monte un jour dans la voiture de Carell, sociopathe bordelais. Pourquoi ? Mystère… Peut-être que distribuer des prospectus publicitaires par 40° C à l’ombre n’est pas l’idée qu’on se fait d’une réussite sociale. Peut-être que brûler ces mêmes prospectus au fond d’une pinède l’est davantage. Surtout si cela permet d’assister au spectacle de dizaines d’hectares qui partent en fumée. Et voler des R16, c’est excitant. Et tout casser sur leur passage, de Bordeaux à Montélimar, quel pied. Une cavale gratuite, intense et foutraque : la vie, la vraie !
 
« Le polar humoristique et déjanté est un exercice exigeant, qui ne convient pas à toutes les plumes. Sébastien Gendron s’impose comme un Mozart du genre, avec ce Road Tripes furieusement franchouillard. » Philippe Blanchet – Le Figaro Magazine
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782266244152
Code sériel : 15727
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 264
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266244152
Code sériel : 15727
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 264
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Le polar humoristique et déjanté est un exercice exigeant, qui ne convient pas à tous les plumes. Sébastien Gendron s’impose comme un Mozart du genre, avec ce Road Tripes furieusement franchouillard. » Philippe Blanchet – Le Figaro Magazine
« Sébastien Gendron excelle dans cette simili-cavale de rebelles à la manque, scénarisée par un Tarantino qui se serait pris les pieds dans le tapis. Jubilatoire. » Le Point
« Entre déterminisme social, tourbillon de la vie et rou(t)e qui tourne, voici une plaquette de vitamines printanières. » Hubert Artus – 20 minutes
« Road Tripes ferait un excellent road-movie made in France. » Livres Hebdo
« Si vous souhaitez vous faire plaisir, vous dégripper les zygomatiques, partir sur les routes dans un voyage au long cours sans tête-à-queue ni tête, Road Tripes est fait pour vous. » Jérôme Dejean – Page des libraires
 

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Seraphita 26/11/2022
    D’un côté, Vincent qui vient tout juste de quitter sa femme et qui a besoin d’argent pour vivre ; d’un autre, Carell qui vient tout juste de signer pour le même travail que Vincent : distributeur de journaux ; entre les deux ? Au départ, ce travail ; et puis, on ne sait trop comment, Vincent va grimper dans la voiture de Carell. C’est le début d’un sacré périple entre Bordeaux et Montélimar, 4000 km, de la casse, beaucoup – incendies, meurtres, vols, … - un road tripes en somme, à cœur ouvert. « Road tripes » est un roman de Sébastien Gendron. Quand on s’y embarque, il vaut mieux avoir en tête qu’on va faire un voyage déjanté, à la fois sur les routes, mais aussi dans deux psychés pas des plus fraîches. Le point de vue narratif adopté ici est celui de Vincent qui se positionne en suiveur fataliste, victime d’une sorte de quiproquo, dont le seul tort a été d’accepter de grimper dans la voiture dudit Carell. Ce dernier a la tête bien chargée d’une mélasse de nouilles qui a le don de lui embrouiller l’esprit. Et l’auteur de nous décrire ses forfaits et petites habitudes par le menu : il vole régulièrement des voitures, dézingue à tout va, brûle sans vergogne quelques hectares de forêts. On l’a compris, nos deux protagonistes n’ont pas l’étoffe de héros. Ce sont deux bons gros losers, deux paumés pathologiques qui vont conjuguer chacun à leur manière leur absence de compétences. D’autres personnages se greffent sur le duo improbable, notamment des adeptes d’une secte qui se lancent à leur poursuite mus par on ne sait quel irrépressible appel. On ne s’ennuie pas au fur et à mesure des kilomètres qui s’ajoutent au compteur, de la route enquillée, des événements plus ou moins gores qui s’empilent. La plume caustique, un brin acide de l’auteur est particulièrement jouissive, la qualité de ses dialogues ciselés également. Et puis quand vient l’événement majeur, annoncé dès le début, l’intrigue prend une autre tournure avec quelques petits rebondissements plaisants qui donnent alors une autre épaisseur au personnage de Vincent. Un bon petit roman noir que l’humour caustique rend agréable à lire. Avec son road-trip déjanté, l’auteur sait nous mettre en boîte du début à la fin.D’un côté, Vincent qui vient tout juste de quitter sa femme et qui a besoin d’argent pour vivre ; d’un autre, Carell qui vient tout juste de signer pour le même travail que Vincent : distributeur de journaux ; entre les deux ? Au départ, ce travail ; et puis, on ne sait trop comment, Vincent va grimper dans la voiture de Carell. C’est le début d’un sacré périple entre Bordeaux et Montélimar, 4000 km, de la casse, beaucoup – incendies, meurtres, vols, … - un road tripes en somme, à cœur ouvert. « Road tripes » est un roman de Sébastien Gendron. Quand on s’y embarque, il vaut mieux avoir en tête qu’on va faire un voyage déjanté, à la fois sur les routes, mais aussi dans deux psychés pas des plus fraîches. Le point de vue narratif adopté ici est celui de Vincent qui se positionne en suiveur fataliste, victime d’une sorte de quiproquo, dont le seul tort a été d’accepter de grimper dans la voiture dudit Carell. Ce dernier a la tête bien chargée d’une mélasse de nouilles qui a le don de lui embrouiller l’esprit. Et l’auteur de nous décrire ses forfaits et petites habitudes par le...
    Lire la suite
    En lire moins
  • LectureChronique 17/05/2022
    Bonjour, Voici un roman à l'humour noir que je viens vous chroniquer en retour de lecture : "Road tripes" de Sébastien Gendron en éditions Pocket. J'ai rencontré l'auteur au salon du livre de Marmande le 7 mai. J'ai été tentée par la quatrième de ce livre. Bordeaux. Vincent Coste distribue des prospectus, c'est tout ce qu'il a trouvé comme emploi quand Marie l'a foutu à la porte de chez eux. Mais c'était sans compter sur Carell Lanusse qu'il rencontre dans l'agence de distribution ; il se présente comme celui qui va changer sa vie et l'entraîner dans un road tripes de fous ! Une escapade longue de 4 000 kilomètres qui vont mettre à mal nos deux héros. Entre Bordeaux et Montélimar, tout peut arriver et il va s'en passer de drôles de choses ! Autant vous mettre au parfum de suite : pour lire ce livre, il ne faut penser à rien et se laisser porter par le flux du voyage complètement loufoque en compagnie de deux gars sociopathes qui accumulent les bourdes jusqu'à la destination finale. Une déferlante de cagades en tout genre. Le lecteur se laisse embarquer dans des péripéties délirantes et des situations rocambolesques qui ne manquent pas de décaper cette piquante virée. Au fil des pages, on ne cherche même pas à se poser la question de savoir ce qui arrive par la suite aux deux protagonistes que ça leur tombe sur le coin de la face comme une merde de pigeon. C'est une aventure surréaliste qui est lancée sur les routes de France. Le nombre de voitures esquintées, c'est pire que dans la saga "Taxi". Mais il y en a une qui revient comme un boomerang et qui fait écho à toutes celles laissées sur le bas-côté : la Renaud 16. La star, c'est elle, portée par un "seiziste" complètement barré. L'imprévisible s'invite là comme s'il y était attendu. Vincent et Carell arrivent à rebondir et à se sortir de toutes les embuches dans lesquelles ils se retrouvent. Sans compter que les deux personnages sont d'avis et de culture totalement opposés, alors vous obtenez ce maelstrom de situations comiques, servies sur un plateau d'humour noir parsemé de cynisme. J'ai bien apprécié l'ensemble du road trip, je reconnais que les expressions bien franchouillardes de chez nous, ma petite voix dans la tête les a bien prononcées, "avé l'aquesang". Avec autant d'humour, il aurait été facile de tomber dans l'absurde ou encore la vulgarité mais l'auteur s'en tire avec brio en maniant avec intelligence humour et imaginaire déjantés. Laissez vous porter au travers des kilomètres avalés par cette aventure hors-norme qui m'a fait penser au film "Thelma et louise" ; rajoutez-y ce côté psychédélique, presque dérangé, que vous trouverez ici. Amateur du second degré et plus, vous êtes servis ! Bonne lecture, amis lecteurs ! Je remercie infiniment Sébastien pour la belle dédicace. Bonjour, Voici un roman à l'humour noir que je viens vous chroniquer en retour de lecture : "Road tripes" de Sébastien Gendron en éditions Pocket. J'ai rencontré l'auteur au salon du livre de Marmande le 7 mai. J'ai été tentée par la quatrième de ce livre. Bordeaux. Vincent Coste distribue des prospectus, c'est tout ce qu'il a trouvé comme emploi quand Marie l'a foutu à la porte de chez eux. Mais c'était sans compter sur Carell Lanusse qu'il rencontre dans l'agence de distribution ; il se présente comme celui qui va changer sa vie et l'entraîner dans un road tripes de fous ! Une escapade longue de 4 000 kilomètres qui vont mettre à mal nos deux héros. Entre Bordeaux et Montélimar, tout peut arriver et il va s'en passer de drôles de choses ! Autant vous mettre au parfum de suite : pour lire ce livre, il ne faut penser à rien et se laisser porter par le flux du voyage complètement loufoque en compagnie de deux gars sociopathes qui accumulent les bourdes jusqu'à la destination finale. Une déferlante de cagades en tout genre. Le lecteur se laisse embarquer dans des péripéties délirantes et des situations rocambolesques qui ne manquent pas de...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Cassiopee42 15/07/2021
    Et le perdant est…. Un Road Movie déjanté dû à une rencontre improbable ou comment se mettre dans la panade sans en avoir l’intention (heureusement !!!)… Vincent Coste a un travail, une femme (enceinte), un logement, une famille qui l’aime. On pourrait utiliser le raccourci tant galvaudé « Tout pour être heureux »… Mais tout un chacun sait bien que « pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué » ? Ce serait sans compter sur l’imagination débridée et sans fin d’un Sébastien Gendron déchaîné…. On aimera ou on n’aimera pas, il me semble que ce roman supportera difficilement la demi-mesure quoique… Notre homme va donc se retrouver à chercher un travail, histoire de maintenir son statut social et, d’accessoirement, prouver à son épouse qu’il se prend en mains. Il est donc embauché par une société de distribution de prospectus, pas de quoi pavoiser lorsqu’on a voulu être pianiste professionnel, mais au moins, il n’est pas à la rue, ni au chômage et il devrait recevoir un semblant de salaire pour peu qu’il respecte les consignes données par son employeur, à savoir, bien mettre les publicités dans les boîtes aux lettres de la zone qui lui a été allouée …. Tout ceci en attendant de trouver mieux, cela s’entend…. Ceci c’est la version lisse et expurgée d’un livre qui n’en aurait pas été un sans la coïncidence qui met notre pauvre héros en face de Carell Lanusse, embauché par le même patron…. Nous allons nous retrouver avec deux losers sur les bras car le duo va vite être face à des événements qu’ils gèreront en accumulant les erreurs, Carell emmenant Vincent toujours plus loin, toujours plus bas…. Il est nécessaire, si l’on veut prendre du plaisir, de lire cet opus au second degré sinon on pensera très vite que l’on a à faire à deux dépravés et que c’est une « honte d’oser écrire des choses pareilles » faisant, en quelque sorte, une banalisation de la violence. Car des morts, des blessés et du sang, il y en a à foison dans les pages qui racontent l’épopée de ces deux êtres en perdition. Vincent, sans trop savoir pourquoi, est monté dans la voiture de Carell et tout est parti de là. De kilomètres en kilomètres (l’intitulé des chapitres nous dit la plupart du temps le kilométrage parcouru), la spirale infernale deviendra de plus en plus profonde, de plus en plus rapide car lorsqu’on commence à être en marge de la société il est difficile de s’arrêter…. Les personnages enchaineront les erreurs, les bêtises (et pas des petites) jusqu’à la conclusion … On pourra penser que l’auteur aurait pu écourter ou rallonger son texte à souhait car il suffisait de mettre une entrevue de plus ou de moins …. Sur ce point là le dosage (du nombre de pages) est le bon. N’est pas Donald Westlake qui veut… Le trait m’a semblé parfois un peu lourd… et c’est sans doute dommage. Je n’ai pas ri autant que j’aurais pu le faire. Je reconnais malgré tout que l’écriture est acérée, mettant en dérision des actes qui sont graves dans les faits, mais qui, présentés comme ils le sont, portent à rire. Je pense aussi qu’il est plus difficile de faire rire que le contraire et l’écrivain a un talent indéniable (où est-il allé chercher tout ça ?,) les dialogues sont savoureux et amusants. Il glisse régulièrement des références musicales ou cinématographiques et cela étoffe le propos … De plus, si on va plus loin que la musculation des zygomatiques, ce livre nous montre combien est fragile cette barrière qui sépare la normalité d’une vie « dérangée » (dans tous les sens du terme). Il suffit de peu pour passer de l’autre côté et une fois qu’on y est, on prend goût à certaine forme de « liberté » se moquant de tout ce qui semblait nous entraver dans le monde des « bien pensants…. Une playlist accompagne la lecture, on la découvre à la fin (sauf si on a commencé le livre par les dernières pages…). Il aurait été intéressant de la mettre en valeur de façon différente.. Une lecture originale qui détend, parfaite pour les transports cet été (mais ne suivez pas les idées de l'auteur ;-) Et le perdant est…. Un Road Movie déjanté dû à une rencontre improbable ou comment se mettre dans la panade sans en avoir l’intention (heureusement !!!)… Vincent Coste a un travail, une femme (enceinte), un logement, une famille qui l’aime. On pourrait utiliser le raccourci tant galvaudé « Tout pour être heureux »… Mais tout un chacun sait bien que « pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué » ? Ce serait sans compter sur l’imagination débridée et sans fin d’un Sébastien Gendron déchaîné…. On aimera ou on n’aimera pas, il me semble que ce roman supportera difficilement la demi-mesure quoique… Notre homme va donc se retrouver à chercher un travail, histoire de maintenir son statut social et, d’accessoirement, prouver à son épouse qu’il se prend en mains. Il est donc embauché par une société de distribution de prospectus, pas de quoi pavoiser lorsqu’on a voulu être pianiste professionnel, mais au moins, il n’est pas à la rue, ni au chômage et il devrait recevoir un semblant de salaire pour peu qu’il respecte les consignes données par son employeur, à savoir, bien mettre les publicités dans les boîtes aux lettres de la zone qui lui a été allouée …. Tout ceci en attendant de trouver...
    Lire la suite
    En lire moins
  • collectifpolar 06/02/2020
    Vincent, musicien raté, piètre époux et père, se retrouve à distribuer des prospectus pour gagner sa vie. Il rencontre Carell, demi-demeuré et vrai voyou. Embarqué malgré lui dans une fuite en voiture à travers la France, Vincent apprend petit à petit à prendre des décisions, à les assumer, à s'imposer... même si c'est pour le pire. Sébastien Gendron nous fait traverser la France dans une folle équipée sauvage. Avec ses personnages doux-dingues, ses dialogues parfois surréalistes, ses références au 7ème art et à la musique, il nous offre un pur divertissement. Une bouffée d’air frais.
  • sm63 24/01/2017
    voyage innatendue sur les routes française par un duo complétement impropable....dont on envie à aucun moment la place...mais que l'on savoure la lecture au fil de leurs kilomètres...
Inscrivez-vous à la Newsletter Pocket pour trouver le livre dont vous rêvez !
Chaque semaine, riez, pleurez et évadez-vous au rythme de vos envies et des pages que nous vous conseillons.