« L’écrivain signe ici son plus beau livre, qui fait naître une émotion rare ».
Christian Authier / Le Figaro
« Sa singularité consiste à manier un sens de la moquerie souvent hilarant à une humanité pleine de tendresse. »
Nicolas Ungemuth / Le Figaro magazine
« Avec une plume irrésistiblement poétique et un sens inouï de l’observation, Florent Oiseau parvient à nous faire rire et pleurer en célébrant les petites choses de l’existence ».
Héloïse Goy / Version Femina
« Une écriture formidable »
Jérôme Colin / RTBF
« Le narrateur, porté sur l’autodérision, est lucide et drôle […] Florent Oiseau exerce son talent de portraitiste. Il émeut les lecteurs. Le cœur de ce livre charmant, c’est l’attachement et l’amour en fuite.»
Virginie Bloch-Lainé / Elle
« Hilarant souvent, émouvant toujours. Le lecteur embarque dans la douceur et dans la douleur, un subtil mélange des deux que maîtrise Florent Oiseau à la perfection. »
Nicolas Winter / Medium
« Florent Oiseau nous présente un nouveau loser magnifique, dans un roman tendre et drôle. »
Audrey Verbist / L'Avenir
« Un roman très drôle avec une pointe de mélancolie. Un regard intelligent et lucide sur le monde sans se prendre au sérieux. »
Europe 1
« Une écriture à l’élégance désabusée et à la tristesse
narquoise alliée à un art du portrait qui contourne l’écueil facile de l’ironie. »
Nathalie Agogué / Libération
« Tout ce qui manque fleure bon la mélancolie qui ne se prend pas au sérieux. »
Anaïs Dinarque / Maze
« Il est le chantre des loser magnifiques, le héros des traîne-savates, le défenseur des feignants imaginatifs. »
Nicolas Carreau / Europe 1
« Si vous avez envie de lire quelque chose de singulier et de drôle en cette rentrée littéraire, je vous conseille le cinquième roman de Florent Oiseau. »
@joellebuch / Instagram
« Un esprit caustique capable de rendre drôle des situations aussi banales qu’un voyage en intercités »
@flo_herisson (2700 F) / Instagram
« C'est à la fois drôle, touchant, poétique car Florent a le sens de la formule, de l'esprit libre »
@lex_libris (6500 F) / Instagram
« J’aime cette manière qu’il a de noyer le sujet principal dans une mer d’anecdotes que l’on pourrait qualifier de secondaires mais qui font tout le sel du récit. »
@genevieve_munier34 / Instagram
« Un roman comme toujours drôle, tendre et poétique teinté d’une pointe de mélancolie dans laquelle on se perd volontiers et qui me fera attendre le prochain rendez-vous avec toujours autant de plaisir ! »
@leslecturedelodie / Instagram
Tout ce qui manque est avant tout un très beau moment de lecture, attendrissant, souvent drôle, bienveillant et intelligent. Facile à lire, ce livre est pour tous. Vous le refermerez le sourire aux lèvres.
Librairie à l'entour
« Roman drôle et sensible. Un bon moment de lecture ! »
Le chat se livre
«Tout ce qui manque est la plus preuve d'amour qu'un écrivain puisse faire pour récupérer la femme de sa vie. C'est la solitude à la Hooper et le charme du loser à la Vincent Macaigne pour qui le quotidien banal devient une aventure. Humour décapant et savoureuse nostalgie, c'est un coup de coeur ! »
Librairie Masséna
« Chaque nouveau roman de Florent Oiseau est un bonbon plus doux que le précédent. Quand on pense qu'il ne peut plus nous surprendre, qu'on a déjà tout lu, tout ressenti, il attend derrière la porte, prêt à nous jeter des seaux d'émotions pures, nous faire rire aux éclats et pleurer de tendresse - ou bien l'inverse. »
Librairie L'Autre rive
« Le dernier roman de Florent Oiseau part d’une rupture, d’un besoin de changer d’air quand l’autre décide pour l’un que c’est l’heure du changement. Retour aux sources, rencontres surprenantes, il n’est nullement question de se laisser abattre mais d’aller au bout d’un projet et espérer récupérer Ana. Chez Florent Oiseau aucun personnage n’est vraiment secondaire et son antihéros nous permet de croiser une belle galerie de périgourdins hauts en couleur. À la mélancolie et à l’humour, s’ajoute une belle humanité, il y a un style Florent Oiseau, et c’est ce qui fait que ce roman sur la rupture n’en est pas juste un mais un certain regard sur le monde et peut-être même une invitation à l’observer, et à écouter Radio Vinci Autoroute et Kylie Minogue. »
Librairie BookStore
« Florent Oiseau est un éternel grand gamin qui se joue de tout... Il manie l'ironie comme personne et pourtant, derrière cette façade déjantée et caustique, on finit toujours par tomber sur des bribes de tendresse qui parviennent à rendre attachant son insupportable héros. Une lecture décalée idéale pour faire travailler ses zygomatiques ! »
Le bruit des mots
« Quatrième livre de cet auteur de ma génération que j’affectionne particulièrement. Héraut des perdants magnifiques, il se lance ici dans le délicat exercice de parler d’amour. « Un roman inutile pour les autres mais précieux pour lui » car oui, la frontière semble mince entre la fiction et l’autobiographie. Inutile pour lui, car écrire un livre pour reconquérir un cœur, ça ne marche que dans les mauvaises comédies romantiques ; inutile pour nous, car que peut nous apporter le trip égocentrique d’un Parisien perdu dans le fin-fond de sa province natale ? Précieux pour lui, car l’écriture, saupoudrée d’(auto)dérision mordante, s’avère être la meilleure des catharsis ; précieux pour nous, car les solitudes oubliées de tous resplendissent sous sa plume et deviennent les poètes des petites choses du quotidien. En résumé, si l’on se sent seul, il faut lire Florent Oiseau. Son dernier livre ne déroge pas à cette règle. »
Librairie La Cité du Vent
« Livre après livre, on aime les romans drôles et attachants de Florent Oiseau, et la tendresse et l’humanité de ses personnages (mal) dissimulées sous une couche d’ironie. »
Librairie L'instant
« Un auteur qui sait poser un regard unique sur notre monde et en faire quelque chose de spécial, tour à tour drôle, sensible et philosophique, ce roman ne manque pas de nous emmener ailleurs ou peut-être, plus simplement, de nous redonner le goût de la vie. »
Librairie Montbarbon