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Tout l'amour de nos pères
Date de parution : 07/05/2015
Éditeurs :
Pocket

Tout l'amour de nos pères

Date de parution : 07/05/2015
L’épopée des Marsac a débuté avec Pierre. Sous-officier aux armées du temps de la splendeur de Bonaparte, il a pu léguer à ses descendants le Grand Castel, une magnifique bâtisse... L’épopée des Marsac a débuté avec Pierre. Sous-officier aux armées du temps de la splendeur de Bonaparte, il a pu léguer à ses descendants le Grand Castel, une magnifique bâtisse posée sur une centaine d’hectares de terre, et il leur a confié le récit de sa vie.
Des écrits que, chacun à...
L’épopée des Marsac a débuté avec Pierre. Sous-officier aux armées du temps de la splendeur de Bonaparte, il a pu léguer à ses descendants le Grand Castel, une magnifique bâtisse posée sur une centaine d’hectares de terre, et il leur a confié le récit de sa vie.
Des écrits que, chacun à leur tour, ils décideront d'enrichir. Albine, sa fille, fera prospérer le domaine en y plantant des vignes. Aurélien, l’arrière-petit-fils, en assurera la pérennité. Et enfin Ludivine, de la quatrième génération, deviendra médecin, et reviendra dans son fief pour y soigner ses concitoyens.
Tous compléteront la trame des chroniques familiales où se mêlent, s’embrassent et s’embrasent petite et grande histoires.

« Une ode à ceux qui souffrent, aux obscurs broyés par l’Histoire. Et cela donne du Signol tout craché, poignant, humain. » Gilles Pudlowski – Le Point
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EAN : 9782266254144
Code sériel : 16090
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 384
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266254144
Code sériel : 16090
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 384
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Une œuvre sourde et poignante à la Bernard Clavel : une ode à ceux qui souffrent, aux obscurs broyés par l'Histoire. Et cela donne du Signol tout craché, poignant, humain. » Gilles Pudlowski, Le Point
« Christian Signol, vieux renard, est un maître artisant, il connaît les charpentes et reste fidèle à son plan de construction, solide. » Patrick Rambaud, de l'Académie Goncourt, Le Monde des Livres
« On s'y plonge avec plaisir. » Femme actuelle
« Il y a toujours beaucoup d'amour, de tendresse dans les romans de Signol. » Sud Ouest

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Lechemindelalecture 09/02/2024
    💫 Après avoir été sous-officier aux armées du temps de la splendeur de Bonaparte Pierre Marzac acquiert un domaine viticole Le Grand Castel au cœur du Périgord. 💫 C'est en Dordogne où tout commence, vignoble et médecin il nous raconte son destin celui d'un petit enfant abandonné en 1873 et recueilli par une famille en mal d'enfant. 💫 Puis vient le temps des transmissions c'est au tour de sa descendance,Albine, Aurélien et Ludivine de nous raconter leur passage dans ce domaine. ❇️ J'ai tout aimé dans ce livre les lieux les personnages leur histoire et aussi l'histoire de France qui évolue avec les générations. Et que dire de la plume de l'auteur, les mots les sentiments les sensations sont grandioses,je retrouve toujours avec plaisir cette région du Sud ouest. J'ai beaucoup aimé cette succession de narrations distinguées par des chapitres qui appartiennent à chacun des personnages et puis cette transition magnifique entre chaque époque. J'ai beaucoup aimé la façon dont l'auteur apporte la dureté de l'époque et aussi la remise en mémoire des évènements qui y sont liés. J'ai beaucoup aimé la façon dont l'auteur nous présente cette famille, l'importance de les laisser s'exprimer à leur manière. J'ai beaucoup aimé tous ces personnages,ils livrent tous un même message, l'importance des transmissions,de l'amour des hommes et de la terre.L'acceptation des choix de chacun, même si pour certains la guerre leur sera imposée. On découvre une grande évolution de la civilisation,de l'homme,de ses rêves et espoirs de ses ambitions tout au long de ce siècle passé au près d'eux. Je n'oublie pas la force des femmes et leur émancipation. Un grand roman qui s'écoule sur quatre générations. 💫 Après avoir été sous-officier aux armées du temps de la splendeur de Bonaparte Pierre Marzac acquiert un domaine viticole Le Grand Castel au cœur du Périgord. 💫 C'est en Dordogne où tout commence, vignoble et médecin il nous raconte son destin celui d'un petit enfant abandonné en 1873 et recueilli par une famille en mal d'enfant. 💫 Puis vient le temps des transmissions c'est au tour de sa descendance,Albine, Aurélien et Ludivine de nous raconter leur passage dans ce domaine. ❇️ J'ai tout aimé dans ce livre les lieux les personnages leur histoire et aussi l'histoire de France qui évolue avec les générations. Et que dire de la plume de l'auteur, les mots les sentiments les sensations sont grandioses,je retrouve toujours avec plaisir cette région du Sud ouest. J'ai beaucoup aimé cette succession de narrations distinguées par des chapitres qui appartiennent à chacun des personnages et puis cette transition magnifique entre chaque époque. J'ai beaucoup aimé la façon dont l'auteur apporte la dureté de l'époque et aussi la remise en mémoire des évènements qui y sont liés. J'ai beaucoup aimé la façon dont l'auteur nous présente cette famille, l'importance de les laisser s'exprimer à leur manière. J'ai beaucoup aimé tous ces personnages,ils livrent tous un même message,...
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  • garanemsa 13/04/2023
    Signol Christian Tout l’amour de nos pères Après avoir lu deux Maxime Chattam, j’ai chercher quelque chose d’apaisant car je commençais à faire des cauchemars. Et j’ai trouvé ce livre dans une green box, et je ne le regrette pas, loin de là. C’est une sorte de saga familiale qui se déroule dans le bordelais. Mais outre cette histoire de famille on peut se remettre en mémoire tous les changements politiques en France depuis la révolution française. Il faut dire que les changements se faisaient rapidement et que le problème c’est que lorsqu’un jeune avait tiré le mauvais numéro, c’est-à-dire, celui pour partir en campagne, à son retour, si retour il y avait, le gouvernement était changé, du coup, de héros, il devenait collaborateur, cela fait un peu penser à Ferdinand Céline d’ailleurs Donc l’arrière-grand-père Marsac, enfant trouvé et rapidement adopté et couvert d’amour par ses parents adoptifs, a tiré le mauvais numéro et est parti dans les campagnes napoléoniennes, mais il a commencé un journal qui a été transmis de génération en génération et fatalement, à chaque génération, ce journal était poursuivi. Il avait acquis un cépage dans le bordelais, ainsi qu’un Castel, mais sa vocation était de devenir médecin, chose qu’il a faite, fatalement avec les changements de régimes et les superstitions de l’époque aussi, on avait peur que ses traitements inconnus, bien qu’il soit terriblement dévoué, certaines personnes, dont les métayers craignaient que ces derniers ne soient dangereux et qui sait appliqués pour les rendre plus malades ou les faire mourir. On voit ces générations qui se suivent et souvent un fils qui doive partir à la guerre, revient ou pas, d’autres qui ne veulent pas continuer le travail de la vigne ainsi que les dissensions avec des voisins jaloux. Mais ce livre m’a ravi, d’abord pour me remettre en tête cette partie de l’histoire de France mais aussi par tous ces personnages, tous remplis d’amour, d’honneur, d’acharnement au travail, d’honnêteté, d’un tas de qualités qu’il serait bien de remettre au goût du jour, notre société étant partie à mille lieues de toutes ces merveilleuses valeurs Signol Christian Tout l’amour de nos pères Après avoir lu deux Maxime Chattam, j’ai chercher quelque chose d’apaisant car je commençais à faire des cauchemars. Et j’ai trouvé ce livre dans une green box, et je ne le regrette pas, loin de là. C’est une sorte de saga familiale qui se déroule dans le bordelais. Mais outre cette histoire de famille on peut se remettre en mémoire tous les changements politiques en France depuis la révolution française. Il faut dire que les changements se faisaient rapidement et que le problème c’est que lorsqu’un jeune avait tiré le mauvais numéro, c’est-à-dire, celui pour partir en campagne, à son retour, si retour il y avait, le gouvernement était changé, du coup, de héros, il devenait collaborateur, cela fait un peu penser à Ferdinand Céline d’ailleurs Donc l’arrière-grand-père Marsac, enfant trouvé et rapidement adopté et couvert d’amour par ses parents adoptifs, a tiré le mauvais numéro et est parti dans les campagnes napoléoniennes, mais il a commencé un journal qui a été transmis de génération en génération et fatalement, à chaque génération, ce journal était poursuivi. Il avait acquis un cépage dans le bordelais, ainsi qu’un Castel, mais sa vocation était de devenir médecin, chose qu’il a faite, fatalement...
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  • Luria 10/08/2022
    J'ai un faible. Les romans-sagas de nos campagnes. Je garde un souvenir saudadesque de ma découverte des livres de Claude Michelet et sa série des grives aux loups, lue quand j'avais une dizaine d'années. Ce livre, tout l'amour de nos pères, m'est parvenu suite au tri de la maison d'une grande tante qui n'est plus, ancienne syllogomaniste de génie du Berry. Avant même d'être ouvert il a déjà toute une histoire. Celle du livre offert (le prix est caché) et sans doute remisé entre des piles de rien. Christian Signol nous parle de la Dordogne. Ça me va, j'y ai écorché quelques genoux enfants et les lieux-écrits ne me sont pas inconnus. Le récit est plutôt linéaire, une sorte de saga en accéléré où chaque descendant très très bon, travailleur et dévoué combat sa Nemesis avant que l'âge ne le terrasse (pim ! Dans ta face ô lecteur le memento mori en devient dans sa banalité presque plus cruel), c'est écrit un peu vite (avec des répétitions parfois)(de style et de scénario) et ne casse pas trois branches à un arbre généalogique. Néanmoins l'ouvrage remplit le rôle du roman de vacances à déposer une fois lu dans la première boîte à livres venue (petit parc derrière l'hotel de ville de Lorient, juste à côté du festival interceltique). J'ai un faible. Les romans-sagas de nos campagnes. Je garde un souvenir saudadesque de ma découverte des livres de Claude Michelet et sa série des grives aux loups, lue quand j'avais une dizaine d'années. Ce livre, tout l'amour de nos pères, m'est parvenu suite au tri de la maison d'une grande tante qui n'est plus, ancienne syllogomaniste de génie du Berry. Avant même d'être ouvert il a déjà toute une histoire. Celle du livre offert (le prix est caché) et sans doute remisé entre des piles de rien. Christian Signol nous parle de la Dordogne. Ça me va, j'y ai écorché quelques genoux enfants et les lieux-écrits ne me sont pas inconnus. Le récit est plutôt linéaire, une sorte de saga en accéléré où chaque descendant très très bon, travailleur et dévoué combat sa Nemesis avant que l'âge ne le terrasse (pim ! Dans ta face ô lecteur le memento mori en devient dans sa banalité presque plus cruel), c'est écrit un peu vite (avec des répétitions parfois)(de style et de scénario) et ne casse pas trois branches à un arbre généalogique. Néanmoins l'ouvrage remplit le rôle du roman de vacances à déposer une fois lu dans la première boîte à livres...
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  • MyriamBachon 13/03/2021
    Belle fresque retraçant la saga familiale de la Révolution à nos jours, cette histoire faite de simplicité, d'amour de la terre et de la famille, nous tient en haleine jusqu'à la fin. Ce roman se déroule en Dordogne dans un château près de Bergerac. La famille est marquée de génération en génération par les guerres et les sacrifices qu'elles imposent, et la lutte pour sauvegarder le domaine.
  • patricelucquiaud 08/10/2019
    Plus qu'une Saga familiale, cette fiction sans doute inspirée de faits tenant à d'autres réalités, a l'avantage de nous faire remonter le temps jusqu'à la Révolution de 1789 et nous faire revivre à travers les personnages de Pierre, Albine, Aurélien et Ludivine, deux siècles de tumultes politiques et sociaux ponctués de guerres dans cette France provinciale où la vie peut être âpre mais toujours appréciée pour ce qu'elle offre de beautés simples au rythme des saisons. Des saisons qui modifient les paysages en même temps qu'elles pénètrent dans les cœurs d'hommes et de femmes vigoureux, entreprenant et assumant leur destin d'où les malheurs à côté des bonheurs ne sont pas exclus. Surmonter l'impondérable et l’inacceptable en se rattachant à ce qui élève et guérit voilà sur l'ensemble de ces générations de paysans médecins ce qui constitue à la fois la force et la joie de vivre de ceux et celles qui choisissent le combat noble et la dignité face à la résignation issue des fatalités les plus incongrues... Je recommande ce roman à tous ceux qui cherchent à la fois le dépaysement, un voyage dans l'histoire qui fut celle de nos proches aïeux et une élévation des grandeurs d'âmes s'opposant aux dérives de notre monde contemporain où les humains aspirés par la précipitation du temps, les exaltations débridées liés au foisonnement des impressions et des sensations, sont soumis à leurs égo exacerbées. L'auteur qui n'en n'est pas à son premier essai dans le genre retour sur le passé, en phase avec les vies de familles rurales, fait ici s'exprimer ses héros à la première personne pour conter ce qu'ils vivent et ont vécu dans un journal qui se transmettra et sera poursuivi d'une génération à l'autre. C'est très vivant et le lecteur est vite transporté dans la suite de leurs jours jusque dans l'intimité de leurs états d'âmes et de leurs réflexions, partageant leurs blessures, leurs doutes, leurs certitudes et aussi leurs bonheurs, bercé par le souffle léger du vent qui agite les frondaisons ou le miroitement des eaux tranquilles de la Dordogne. Quand on plonge dans ces tranches de vie jamais à distance de la grande histoire, on se rend compte que les générations de nos arrière grands-parents, grands-parents, parents, n’ont jamais été exemptes d’une période marquée douloureusement par la guerre. Ainsi Pierre Marsac enfant trouvé aura à se battre sous la révolution et le premier empire, Albine aura à subir les retombées de la Restauration, des révolutions de 1830 et 1848 et de la guerre de 1870 qui l’endeuillera. Aurélien son petit fils, ne sera pas épargné, dans sa descendance directe, il aura aussi à subir les affres de la première grande guerre ; quant à Ludivine, sa fille, à la connaissance de toutes ces blessures qui ont meurtri ses aïeux, elle n’acceptera jamais la folie des hommes les faisant s’engager dans des conflits meurtriers, et jure de n’avoir jamais d’enfant mâle… pourtant, au gré des ballotements de l’existence et contre toute volonté, elle en eut un qu’elle aima très fort et dont elle pensait bien qu’après les deux conflits mondiaux ayant stigmatisé le XXème siècle des pires horreurs, que jamais il ne connaitrait de guerre… Un roman certes, mais si proche des réalités d’hier quand vivre c’était, au présent, préparer l’avenir engageant toute son énergie et son amour pour la cause des siens et de sa descendance… Lignée du sang et fruits de la vigne, au service du breuvage tant apprécié des dieux et des hommes, sur ce terroir baigné des lumières douces et vives au rythme des saisons, dans le crépitement de leurs sucs et arômes, livrent au lecteur, ce chant d’amour à la terre et cet hymne éternel à la Vie… « Un patrimoine ce n’est pas qu’un lopin de terre transmis à ses enfants, c’est aussi l’engagement d’existences vouées au labeur et gorgées d’amour… »Plus qu'une Saga familiale, cette fiction sans doute inspirée de faits tenant à d'autres réalités, a l'avantage de nous faire remonter le temps jusqu'à la Révolution de 1789 et nous faire revivre à travers les personnages de Pierre, Albine, Aurélien et Ludivine, deux siècles de tumultes politiques et sociaux ponctués de guerres dans cette France provinciale où la vie peut être âpre mais toujours appréciée pour ce qu'elle offre de beautés simples au rythme des saisons. Des saisons qui modifient les paysages en même temps qu'elles pénètrent dans les cœurs d'hommes et de femmes vigoureux, entreprenant et assumant leur destin d'où les malheurs à côté des bonheurs ne sont pas exclus. Surmonter l'impondérable et l’inacceptable en se rattachant à ce qui élève et guérit voilà sur l'ensemble de ces générations de paysans médecins ce qui constitue à la fois la force et la joie de vivre de ceux et celles qui choisissent le combat noble et la dignité face à la résignation issue des fatalités les plus incongrues... Je recommande ce roman à tous ceux qui cherchent à la fois le dépaysement, un voyage dans l'histoire qui fut celle de nos proches aïeux et une élévation des grandeurs...
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