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Tu m'avais dit Ouessant
Collection : Aventure Humaine
Date de parution : 24/06/2021
Éditeurs :
Pocket

Tu m'avais dit Ouessant

Collection : Aventure Humaine
Date de parution : 24/06/2021
À l’hiver 2015, Gwenaëlle Abolivier réside trois mois dans le sémaphore de l’île d’Ouessant, au bout de la Bretagne, sa région natale. Là, sous le grand phare du Créac’h, se... À l’hiver 2015, Gwenaëlle Abolivier réside trois mois dans le sémaphore de l’île d’Ouessant, au bout de la Bretagne, sa région natale. Là, sous le grand phare du Créac’h, se racontent un voyage immobile et une expérience d’immersion au contact des éléments et des îliens. Elle explore les lieux et... À l’hiver 2015, Gwenaëlle Abolivier réside trois mois dans le sémaphore de l’île d’Ouessant, au bout de la Bretagne, sa région natale. Là, sous le grand phare du Créac’h, se racontent un voyage immobile et une expérience d’immersion au contact des éléments et des îliens. Elle explore les lieux et rencontre les gardiens de phare, les guetteurs-sémaphoriques, les derniers marins de commerce, et les femmes, gardiennes des lieux, qui occupent une place prépondérante sur cette île du Ponant. Ce territoire de l’extrême est à part, il entretient un rapport particulier avec la mort. Face à la mer, au contact de la nature ravagée, l’auteur vit cette expérience comme une renaissance...
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EAN : 9782266318778
Code sériel : 18354
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 192
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266318778
Code sériel : 18354
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 192
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Une ode aux îles, aux îliens et aux îliennes, un poème d'amour à Ouessant, un livre hypnotique que l'on ne peut quitter qu'à regret... A lire sans aucune modération. »
José Manuel Lamarque / France Inter

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Kloket 23/09/2023
    Je suis revenue de l'île d'Ouessant avec le récit de G. Abolivier, trouvé à la librairie presse du Conquet ainsi qu'un délicieux petit livret "J'ai rêvé Ouessant"- Atelier Des Noyers - textes et aquarelles, déniché à Lampaul. Enfin quand je dis que j'en suis revenue, ne me croyez pas ! Après avoir respiré l'air marin sur les pointes de la presqu'île de Crozon, lentement l'île crabe m'a jeté un sort et a capté sa part, j'erre depuis... L'auteure a résidé 3 mois dans le sémaphore du Créac'h, pour elle d'abord et libérer son envie forte d'écriture, et pour nous - pour moi j'en suis convaincue : restituer de cette nature extrême, d'un territoire de bout du monde, de la force des îliens, immersion, voyage immobile peut-être mais intense. De tempêtes en temps calmes, elle l'écrit "j'ai surtout fini par comprendre qu'à Ouessant on vit dans l'éloge de l'ombre", et "à faire advenir ce qu'il y a de plus sincère en soi". Pour être habité.e par Ouessant et ses reflets en bord de mer d'Iroise, il sera mon livre de chevet. Avant que d'y revenir et d'en éprouver toute la mesure. "L'île pousse à aimer, et quand on aime, on regarde autrement. " F. Péron et E. Fournier, Se confier à l'île. Une pensée pour mon père, marin aguerri, qui nous a fait aimer la mer, en mer et sur terre. Je suis revenue de l'île d'Ouessant avec le récit de G. Abolivier, trouvé à la librairie presse du Conquet ainsi qu'un délicieux petit livret "J'ai rêvé Ouessant"- Atelier Des Noyers - textes et aquarelles, déniché à Lampaul. Enfin quand je dis que j'en suis revenue, ne me croyez pas ! Après avoir respiré l'air marin sur les pointes de la presqu'île de Crozon, lentement l'île crabe m'a jeté un sort et a capté sa part, j'erre depuis... L'auteure a résidé 3 mois dans le sémaphore du Créac'h, pour elle d'abord et libérer son envie forte d'écriture, et pour nous - pour moi j'en suis convaincue : restituer de cette nature extrême, d'un territoire de bout du monde, de la force des îliens, immersion, voyage immobile peut-être mais intense. De tempêtes en temps calmes, elle l'écrit "j'ai surtout fini par comprendre qu'à Ouessant on vit dans l'éloge de l'ombre", et "à faire advenir ce qu'il y a de plus sincère en soi". Pour être habité.e par Ouessant et ses reflets en bord de mer d'Iroise, il sera mon livre de chevet. Avant que d'y revenir et d'en éprouver toute la mesure. "L'île pousse à aimer, et quand on aime, on regarde...
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  • michmeyl 14/02/2023
    Ce livre est une ode à cette île et ses habitants. Je l'ai lu par petites touches, à l'image des courts paragraphes et à chaque fois j'ai pu entendre le vent, ressentir la fraîcheur de l'air sur mes joues, voir et écouter les mouettes et bien entendu sentir l'odeur de la mer. Ce livre magnifiquement écrit est en outre parsemé de poésies judicieuses. Chaque moment de lecture fut une intense et profonde évasion insulaire.
  • DELEURMEA 30/03/2022
    Cet ouvrage est vraiment exceptionnel pour tout lecteur en quête d'information sur la dimension géographique, historique, culturelle mais aussi symbolique de l'île d'Ouessant. La vie de l'auteur dans le sémaphore durant sa résidence d'auteur catalyse toute l'énergie de l'écrivain qui produit un ouvrage de grande qualité et qui démontre à travers toutes ces pages, une île puissante, un peuple qui se cherche, une histoire riche qui ne laisse pas indifférent. Cet ouvrage fut une réelle satisfaction personnelle qui appelle chacun à découvrir cette terre au large.
  • Rimbounours 13/12/2021
    L'initiative à l'origine de cet ouvrage est étonnante : l'auteure, Gwenaelle Abolivier est partie vivre 3 mois dans le sémaphore de Ouessant, l'île bretonne la plus avancée dans l'Océan Atlantique. Cette expérience inédite lui inspire de nombreuses pensées et aphorismes qu'elle nous livre dans ce livre sans réel fil conducteur, si ce n'est la mer et les femmes. C'est la limite de cette œuvre, dans la mesure où ce que dit l'auteure n'intéresse pas toujours le lecteur. Néanmoins la langue poétique que l'auteure use volontiers donne un certain charme à l'ouvrage.
  • Cassiopee42 11/12/2021
    Les lumières sont des percées d’espoir C’est à l’automne 2015 que Gwenaëlle Abolivier qui s’exprime dans ce livre va s’installer sur l’île d’Ouessant où elle sera mouligenn, c’est-à-dire qu’elle viendra en femme du continent, celle qui éveille de l’inquiétude et des questions, peut-être même une certaine méfiance. Elle s’installe dans le sémaphore, seule, car elle veut poser ses sacs, prendre le temps, observer, ressentir, sentir, entendre, écouter, contempler…. Et partager avec le lecteur. Elle ne décide rien, l’île s’offre à elle, avec le vent, les embruns, les paysages, les cris d’oiseaux. Petit à petit, au fil des jours, les habitants se confient et elle découvre diverses facettes de son environnement. Elle raconte la météo incertaine, la pluie, les rafales, les conversations, les cadeaux (un succulent poisson), chaque rencontre est un pas vers la découverte plus intime de ce lieu atypique. Elle explique que cette terre est un avant-poste, une rampe de lancement vers l’ailleurs, tout en restant intimement liée à l’histoire de chaque personne qui y vit. Elle a appris à lire « derrière les regards ». En explorant l’île, en apprenant à la connaître, Gwenaëlle, en naufragée volontaire, s’est retrouvée avec elle-même, en phase pour écrire, cherchant les mots pour retransmettre chaque ressenti, chaque scène… et elle le fait avec brio. Son écriture est lyrique, parfois elle présente un paragraphe comme un poème, donnant un tempo au texte. Les mots volent, s’envolent, portant des messages subtils qui viennent jusqu’à nous. Ce texte est enchanteur par son phrasé, son rythme, Pendant trois mois, l’autrice s’est posée sur Ouessant, délicatement, sans s’imposer, se laissant apprivoiser par le lieu et l’apprivoisant elle-même. Il en résulte ce magnifique ouvrage qui laisse de la place à l’introspection, à la poésie, aux rêves… Elle l’écrit : « Je me suis imprégnée de ce territoire de l’extrême, qui entretient un rapport particulier à la noirceur et à la mort. » Elle offre au lecteur une magnifique rencontre, qui aurait pu être accompagnée de quelques photographies….et qui donne envie de se rendre là-bas. Les lumières sont des percées d’espoir C’est à l’automne 2015 que Gwenaëlle Abolivier qui s’exprime dans ce livre va s’installer sur l’île d’Ouessant où elle sera mouligenn, c’est-à-dire qu’elle viendra en femme du continent, celle qui éveille de l’inquiétude et des questions, peut-être même une certaine méfiance. Elle s’installe dans le sémaphore, seule, car elle veut poser ses sacs, prendre le temps, observer, ressentir, sentir, entendre, écouter, contempler…. Et partager avec le lecteur. Elle ne décide rien, l’île s’offre à elle, avec le vent, les embruns, les paysages, les cris d’oiseaux. Petit à petit, au fil des jours, les habitants se confient et elle découvre diverses facettes de son environnement. Elle raconte la météo incertaine, la pluie, les rafales, les conversations, les cadeaux (un succulent poisson), chaque rencontre est un pas vers la découverte plus intime de ce lieu atypique. Elle explique que cette terre est un avant-poste, une rampe de lancement vers l’ailleurs, tout en restant intimement liée à l’histoire de chaque personne qui y vit. Elle a appris à lire « derrière les regards ». En explorant l’île, en apprenant à la connaître, Gwenaëlle, en naufragée volontaire, s’est retrouvée avec elle-même, en phase pour écrire, cherchant les mots pour retransmettre chaque...
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