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Vox
Michael Belano (traduit par)
Date de parution : 05/03/2020
Éditeurs :
Pocket
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Vox

Michael Belano (traduit par)
Date de parution : 05/03/2020
Cent mots par jour. Depuis l’avènement au pouvoir d’un Parti fondamentaliste, les femmes sont soumises à ce quota absurde. Un mot de plus, un seul, et le bracelet-compteur qu’elles portent... Cent mots par jour. Depuis l’avènement au pouvoir d’un Parti fondamentaliste, les femmes sont soumises à ce quota absurde. Un mot de plus, un seul, et le bracelet-compteur qu’elles portent au poignet envoie une décharge électrique. Aussi, lorsque Jean McClellan se voit proposer de venir en aide au frère du... Cent mots par jour. Depuis l’avènement au pouvoir d’un Parti fondamentaliste, les femmes sont soumises à ce quota absurde. Un mot de plus, un seul, et le bracelet-compteur qu’elles portent au poignet envoie une décharge électrique. Aussi, lorsque Jean McClellan se voit proposer de venir en aide au frère du Président, victime d’une aphasie, l’ex-docteur en neurosciences n’hésite-t-elle pas longtemps. La récompense ? La possibilité de s’affranchir – et sa fille avec elle – de son quota de mots. Mais ce qu’elle va découvrir, alors qu’elle recouvre la parole, pourrait bien la laisser définitivement sans voix...
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EAN : 9782266297738
Code sériel : 17642
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 448
Format : 108 x 177 mm
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EAN : 9782266297738
Code sériel : 17642
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 448
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Christina Dalcher ôte la parole aux femmes dans un premier roman à suspense, à peine anticipatif. Une réflexion sur l’Amérique contemporaine et ses dérives. »
« De la trempe de la série géniale La Servante écarlate de Margaret Atwood, Vox est une dystopie féministe dans une Amérique phallocrate. »
 Aliénor Deborcq – L’Écho
L'Écho

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • daily_debby 08/03/2023
    L’idée est diaboliquement alléchante mais je ne comprends pas pourquoi l’autrice est partie dans tous les sens. C’etait absolument pas nécessaire. ➕ On voit comment un pays démocratique plonge du jour au lendemain et dans l’indifférence presque totale dans un régime totalitaire où les femmes n’ont plus aucun droit. C’est un mélange entre Don’t look up et La Servante écarlate. Un bel exemple que les hommes sont bien la dernière race après les crapauds. Et si tu te dis ouai mais pas tous les hommes, si si, je t’assure Vox propose tout plein de catégories de crapauds. ➖ L’autrice abordait des problématiques réalistes mais plus l’intrigue avancait plus les rebondissements étaient dignes d’un roman Young adult qu’on avait du mal à terminer. Comprends par là que ca n’avait ni queue ni tête. Puis pour couronner le tout, j’ai réalisé, au dernier chapitre, que l’intrigue se déroulait sur une semaine
  • Iaoranamoana 01/03/2023
    Le début de ce livre est très fort, très bien fait. On suit le monde qui s'enchaîne à travers les yeux d'une femme qui est restée sur le côté dans les luttes. Les personnages masculins sont au départ très bien écrits, avec notamment cette volonté de ne pas les décrire comme des alliés. Les pires ennemis de Jean, au début du roman, ce sont son mari et son fils aîné. Certaines phrases, comme le mari qui lâche qu'il préférait quand elle ne parlait pas, sont glaçantes et tellement réalistes. Ensuite ça s'enchaîne avec les défauts classiques de la dystopie (le côté très occidentalo-centré, sans plus de prise en compte de la dimension mondiale, comme La Dictatrice, ainsi que la recherche du happy end avec tout les codes héroïques associés). Toute la seconde partie, axée sur les recherches en laboratoire, retombent un peu comme un soufflé. Du coup, il faut juger ce livre non pas comme une dystopie féministe à la hauteur de la Servante Ecarlate, comme ça a été matraqué, mais plutôt comme un livre qui se lit bien, dystopique, avec un petit fond féministe.
  • sido73 21/02/2023
    Voilà je repose le livre avec cette impression d'avoir lu plutôt un scénario qu'un roman. Je précise un bon scénario hollywoodien avec une intrigue attractive, des rebondissements, ... bref un texte ..."visuel" #x1f609 Donc la trame de base : du jour au lendemain les États Unis basculent dans un état totalitariste basé sur le patriarcat, et le "mentor" de ce nouveau régime est un prêcheur suffisement charismatique pour générer l adhésion ( enfin... heu ... d'aucun aurait pu relevé dans ses prêches quelques probabilités de derives sectaires et de déséquilibres psychiques ... passons ...) Et puis se greffent de l action, un complot, des retournements de situation... ( ah et pour les "politiquement correct addicts" différentes communautés sont bien représentées ) Bref, c est un bon roman de détente ( il fut parfait pour la plage/piscine ) les pages se tournent toutes seules, peut être trop facilement pour ceux qui recherchent un minimum de style, mais ne vous attendez pas à un manifeste féministe quelconque, c'est beaucoup trop caricatural pour apporter des éléments à une réflexion sur ce sujet , ce n est qu un prétexte à une bonne histoire . Et c est déjà très très bien, moi... Voilà je repose le livre avec cette impression d'avoir lu plutôt un scénario qu'un roman. Je précise un bon scénario hollywoodien avec une intrigue attractive, des rebondissements, ... bref un texte ..."visuel" #x1f609 Donc la trame de base : du jour au lendemain les États Unis basculent dans un état totalitariste basé sur le patriarcat, et le "mentor" de ce nouveau régime est un prêcheur suffisement charismatique pour générer l adhésion ( enfin... heu ... d'aucun aurait pu relevé dans ses prêches quelques probabilités de derives sectaires et de déséquilibres psychiques ... passons ...) Et puis se greffent de l action, un complot, des retournements de situation... ( ah et pour les "politiquement correct addicts" différentes communautés sont bien représentées ) Bref, c est un bon roman de détente ( il fut parfait pour la plage/piscine ) les pages se tournent toutes seules, peut être trop facilement pour ceux qui recherchent un minimum de style, mais ne vous attendez pas à un manifeste féministe quelconque, c'est beaucoup trop caricatural pour apporter des éléments à une réflexion sur ce sujet , ce n est qu un prétexte à une bonne histoire . Et c est déjà très très bien, moi ça comble amplement mes attentes de lectrice ! A noter également qu'on ne peut s'empêcher de penser à la servante écarlate tant les premières pages sont fortement inspirées par ce roman, mais là s'arrête la comparaison : nous ne sommes pas dans le même registre.
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  • CloeClooo 29/01/2023
    Une lecture agréable et prenante, on est happés dès le début par cette dystopie où les femmes sont limitées à 100 mots par jour... Sous peine de recevoir des décharges électriques de plus en plus violentes à travers le bracelet "compte-mot" qu'elles portent au poignet. Une excellente réflexion sur les dérives potentielles d'une société où les femmes dérangent. Mais la fin est un peu décevante, après toute la mise en place, la résolution du conflit est trop rapide, trop simple, seulement en quelques pages - ce livre méritait mieux, mais il reste une bonne lecture !
  • Maliae 28/01/2023
    Jean vit au Etats-Unis où le nouveau gouvernement mis en place a décidé que les femmes ne travailleraient plus, n’auraient plus le droit de voyager, et seraient des bonnes ménagères qui font la soupe à leurs maris et leurs enfants. Et comme pour s’occuper de la maison on n’a pas besoin de parler ou de lire, et bien on les limiterait à cent mots par jour et on interdirait les livres. Tout ça bien sûr parce que les femmes sont responsables de tous les maux de la planète, en voulant s’affranchir elles détruisent l’équilibre. Bref tout un ramassis de conneries juste pour pouvoir garder les femmes sous la coupe des hommes privilégiés. D’ailleurs il n’y a pas que les femmes de touchées, les homosexuels également (qui doivent accepter d’être soignés s’ils veulent sortir des « camps » où on les enferme). Un monde très réjouissant donc. Jean le subit, et le pire c’est sans doute de voir que son aîné embrasse ces idées et se fait nettoyer la cervelle au lycée. Sans compter aussi sa fille, qui n’est encore qu’une enfant de six ans, et qui a à peine le droit de parler. Les choses vont peut-être pouvoir changer, quand suite à... Jean vit au Etats-Unis où le nouveau gouvernement mis en place a décidé que les femmes ne travailleraient plus, n’auraient plus le droit de voyager, et seraient des bonnes ménagères qui font la soupe à leurs maris et leurs enfants. Et comme pour s’occuper de la maison on n’a pas besoin de parler ou de lire, et bien on les limiterait à cent mots par jour et on interdirait les livres. Tout ça bien sûr parce que les femmes sont responsables de tous les maux de la planète, en voulant s’affranchir elles détruisent l’équilibre. Bref tout un ramassis de conneries juste pour pouvoir garder les femmes sous la coupe des hommes privilégiés. D’ailleurs il n’y a pas que les femmes de touchées, les homosexuels également (qui doivent accepter d’être soignés s’ils veulent sortir des « camps » où on les enferme). Un monde très réjouissant donc. Jean le subit, et le pire c’est sans doute de voir que son aîné embrasse ces idées et se fait nettoyer la cervelle au lycée. Sans compter aussi sa fille, qui n’est encore qu’une enfant de six ans, et qui a à peine le droit de parler. Les choses vont peut-être pouvoir changer, quand suite à un accident, le frère du Président a besoin de soin, et comme Jean était celle qui travaillait sur l’aphasie, on lui promet monts et merveilles si elle collabore. Pas dupe, la jeune femme va tout de même demander à ce qu’on lui retire son compte-mot à elle mais aussi à sa fille. C’est un livre qui peut être difficile à lire, dans le sens où ce qu’il se passe est horrible, c’est dégueulasse mais aussi insidieux et très malin. Ca fait froid dans le dos parce qu’on sait que ça pourrait très bien arriver, d’ailleurs ça arrive déjà dans certains pays du monde, peut-être moins radicalement – et encore. Les femmes ne sont pas à l’abris et ce livre nous le rappelle, on doit toujours rester sur nos gardes et se battre pour nos droits. Jean va se battre avec ses propres armes, elle qu’on a voulu bâillonner, ne mâche pas ses mots. Je l’ai bien aimé, j’ai aimé sa rage enfouit, sa volonté de protéger sa fille. Si son mari paraît fade, il ne faut pas se fier aux apparences. Et si son aîné est insupportable, j’ai trouvé qu’il était bien écrit, il se fait laver le cerveau et il ne faut pas oublier qu’il n’a que dix-sept ans. L’histoire est prenante, même si j’avais compris la plupart des mystères, j’ai bien aimé l’intrigue et je voulais voir si Jean allait réussir à renverser les choses et comment elle s’y prendrait. Certains personnages sont tout simplement abjects, des hommes au pouvoir qui prennent plaisir à contrôler la moitié de la population, qui rêvent même d’aller bien plus loin que ça. Et qui rejettent la faute sur leur Dieu, car ce serait lui qui aurait voulu ça. À vomir. J’ai donc apprécié cette lecture, mais deux gros bémols tout de même. Déjà, l’histoire d’adultère m’a gonflé. Je me fichais de l’histoire d’amour de Jean, ce n’était pas ce que je recherchais en lisant ce livre. C’était peut-être pour que Jean ait un allié, je ne sais pas, mais moi ça m’a complètement gonflé. Le deuxième bémol c’est que je n’ai rien compris à la fin. Ils se passent des choses et je sais pas si c’est moi qui ai loupé un épisode, mais y a des choses que je n’ai pas compris du tout. Dans l’ensemble bien sûr, j’ai vu ce qu’il se passait, la fin a d’ailleurs un côté émouvant. Mais il y a des actions qui m’ont laissé dans l’incompréhension totale. Était-ce mal expliqué ? Ou alors trop scientifique pour mon esprit de littéraire ? En bref, une lecture pas mal, qui comporte des bonnes choses. J’adore le combat de Jean et des autres femmes, j’aime le fait que les personnages évoluent, changent selon les événements, que tout n’est pas marqué dans le marbre. L’intrigue était super intéressante, et m’a mis dans tous mes états, j’étais en colère, je voulais détruire ce monde et ces barrières, j’étais donc à fond derrière Jean. Mais dommage que la fin soit un peu méli-mélo et qu’on doive se taper une histoire d’amour inintéressante.
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