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Arrête ton cirque ! : Prix San-Antonio 2021
Date de parution : 08/07/2021
Éditeurs :
Fleuve éditions

Arrête ton cirque ! : Prix San-Antonio 2021

Date de parution : 08/07/2021
Prix San-Antonio 2021 !
Laure est égocentrique, charmeuse et déjantée, tout l’opposé de son compagnon, Pascal, tolérant, bienveillant et définitivement amoureux. Au point même d’accepter ses infidélités. Un matin, une funeste nouvelle fait tanguer... Laure est égocentrique, charmeuse et déjantée, tout l’opposé de son compagnon, Pascal, tolérant, bienveillant et définitivement amoureux. Au point même d’accepter ses infidélités. Un matin, une funeste nouvelle fait tanguer l’improbable harmonie de leur couple : François, l’amant de Laure, s’est tranché la gorge. Et la jeune femme va avoir une... Laure est égocentrique, charmeuse et déjantée, tout l’opposé de son compagnon, Pascal, tolérant, bienveillant et définitivement amoureux. Au point même d’accepter ses infidélités. Un matin, une funeste nouvelle fait tanguer l’improbable harmonie de leur couple : François, l’amant de Laure, s’est tranché la gorge. Et la jeune femme va avoir une manière bien à elle de vivre son chagrin, plutôt avec une bûche qu’avec des larmes…
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EAN : 9782265155282
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 176
Format : 130 x 200 mm
EAN : 9782265155282
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 176
Format : 130 x 200 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • GigiFro 20/07/2022
    Le prix San Antonio a été crée en 2021 par Fleuve éditions pour fêter le centenaire de Frédéric Dard et récompenser un polar inédit. Ce lauréat est certainement quelque chose d'inédit dans tout le sens du terme ! Inédit et atypique pour un polar. Et vous savez quoi? Tant mieux ! Sortons des carcans et des codes vus et revus, place à la versatilité de la langue française pour raconter avec un rythme trépidant et hystérique cette histoire dingue, dingue, dingue. Et noire. Laure est folle, névrosée, égoïste et nymphomane. Dans sa tête il y a un micmac pas possible. Lorsque nous plongeons avec elle dans ses pensées, elle nous entraîne dans des tergiversations extrêmes et dans sa paranoïa. Au moins, elle assume sa personnalité. Notre héroïne apprend le suicide de François, son amant, et se rend chez lui avec Pascal, son compagnon. À partir de là s'ensuit une panoplie de péripéties les plus dingues les unes que les autres. Le tout avec un style unique, plaisant, nerveux, fou. Quelle fine lame cette Odile Baltar qui manie la plume comme Zorro son épée. Enfin un roman écrit à la première personne comme ça me plaît (lol, comme il faudrait). On veut voir le bordel dans la tête du narrateur ! Ici c'est mission réussie.Le prix San Antonio a été crée en 2021 par Fleuve éditions pour fêter le centenaire de Frédéric Dard et récompenser un polar inédit. Ce lauréat est certainement quelque chose d'inédit dans tout le sens du terme ! Inédit et atypique pour un polar. Et vous savez quoi? Tant mieux ! Sortons des carcans et des codes vus et revus, place à la versatilité de la langue française pour raconter avec un rythme trépidant et hystérique cette histoire dingue, dingue, dingue. Et noire. Laure est folle, névrosée, égoïste et nymphomane. Dans sa tête il y a un micmac pas possible. Lorsque nous plongeons avec elle dans ses pensées, elle nous entraîne dans des tergiversations extrêmes et dans sa paranoïa. Au moins, elle assume sa personnalité. Notre héroïne apprend le suicide de François, son amant, et se rend chez lui avec Pascal, son compagnon. À partir de là s'ensuit une panoplie de péripéties les plus dingues les unes que les autres. Le tout avec un style unique, plaisant, nerveux, fou. Quelle fine lame cette Odile Baltar qui manie la plume comme Zorro son épée. Enfin un roman écrit à la première personne comme ça me plaît (lol, comme il faudrait). On veut...
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  • arebours 04/04/2022
    Ah que j'ai ri ! La narratrice est totalement folle. L'est-elle vraiment ? C'est un livre d'une sincérité inconcevable: les pensées de cette nana en deuil sont partagées à un rythme effréné. Comme le dit le dos de couverture, elle a "une manière bien à elle de vivre son chagrin" : elle dérape totalement ! Pour certains, ce ton d'une liberté absolue doit être insupportable. Moi, j'ai apprécié la générosité de cette impudeur, vomi, pipi, règles et diarrhées, rien ne nous est épargné, suicide, viol, jalousie et le reste. Et pourtant, oui, j'ai beaucoup ri. Et j'ai apprécié cette écriture vive et sans fioritures.
  • galyalain 28/11/2021
    Je n'ai mis "que" trois étoiles et demie, cependant j'ai beaucoup aimé le livre, avec son côté déjanté. Cependant, nous sommes bien loin de la crédibilité, donc je ne me suis pas trop investi dans l'histoire, et n'ai pas éprouvé d'empathie pour le personnage principal. A lire, pour passer un (court) moment bien agréable !
  • Lisaaron 24/10/2021
    Une jeune femme apprend le suicide de son amant, c’est son compagnon officiel qui lui annonce, c’est évidemment un sacré choc. Et c’est aussi le début de ce petit roman qui se dévore à toute allure. La narratrice nous emmène avec elle pour trois ou quatre jours de deuil intense. Un deuil qu’elle traverse avec fracas. C’est le moins qu’on puisse dire. Au-delà du langage cru et de l’humour mordant, bien décalé, c’est un livre très noir qui touche à des questions essentielles : les deuils, les liens mère-fille, les rivalités amoureuses et trahisons diverses, le goût de la vie lui-même. De chapitre en chapitre, on suit Laure en se disant : « Non, pas ça, allez, arrête ». Pourtant, je n’ai pas réussi à lâcher ce texte avant d’avoir le fin mot de l’histoire. Bien plus qu’égocentrique ou nymphomane, Laure m’a semblé d’une sincérité déconcertante, elle est peut-être un peu « dingo » (un mot qu’elle aime utiliser), mais peut-être pas tant que ça. Peut-être même qu’elle nous ressemble plus nous n’oserions l’admettre. Ce livre a gagné le premier prix San-Antonio. Même si je ne suis pas certaine que les amateurs du légendaire commissaire apprécieront tous les délires de la narratrice, je trouve ça audacieux de la part des Éditions Fleuve d’avoir récompensé un livre aussi décalé. Bref si vous voulez du bien noir un peu déjanté, foncez.Une jeune femme apprend le suicide de son amant, c’est son compagnon officiel qui lui annonce, c’est évidemment un sacré choc. Et c’est aussi le début de ce petit roman qui se dévore à toute allure. La narratrice nous emmène avec elle pour trois ou quatre jours de deuil intense. Un deuil qu’elle traverse avec fracas. C’est le moins qu’on puisse dire. Au-delà du langage cru et de l’humour mordant, bien décalé, c’est un livre très noir qui touche à des questions essentielles : les deuils, les liens mère-fille, les rivalités amoureuses et trahisons diverses, le goût de la vie lui-même. De chapitre en chapitre, on suit Laure en se disant : « Non, pas ça, allez, arrête ». Pourtant, je n’ai pas réussi à lâcher ce texte avant d’avoir le fin mot de l’histoire. Bien plus qu’égocentrique ou nymphomane, Laure m’a semblé d’une sincérité déconcertante, elle est peut-être un peu « dingo » (un mot qu’elle aime utiliser), mais peut-être pas tant que ça. Peut-être même qu’elle nous ressemble plus nous n’oserions l’admettre. Ce livre a gagné le premier prix San-Antonio. Même si je ne suis pas certaine que les amateurs du légendaire commissaire apprécieront tous les délires de la narratrice, je trouve ça audacieux de la part des Éditions...
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  • Amnezik666 19/08/2021
    Odile Baltar est la première lauréate du prix San Antonio, un prix créé par les éditions Fleuve qui récompense un polar inédit de 300 000 signes maximum qui se distingue par la qualité de la langue. La plus grande récompense pour l’auteur(e) étant une diffusion de son texte par l’éditeur. Le jury ne s’est pas trompé en récompensant Odile Baltar, dès les premières lignes on est sous le charme de son écriture et de sa verve ; c’est que du bonheur de lire une telle prose. J’avais terminé le vin. J’étais presque joyeuse. Mon amant s’était tranché la gorge et j’étais une salope : on n’allait pas en faire un fromage. Je ne lui avais jamais rien promis, à François ! Le vin me rendait hargneuse, je détestais les suicidés. C’étaient eux, les égocentriques, pas moi. Il faut dire aussi que sa narratrice (Laure) est une femme à la personnalité très affirmée. Égoïste, égocentrique, égotique, un tantinet déjantée et très infidèle… Pas franchement l’épouse modèle, et pourtant son mari l’aime à la folie et lui pardonne tous ses écarts. Pour faire simple on va dire que Laure a une façon très personnelle d’aborder la vie et que les pensées défilent à un rythme débridé dans sa caboche. C’est donc d’une façon toute aussi personnelle qu’elle va faire le deuil de son amant… et se retrouver dans des situations où même elle risque d’être dépassée par les événements. Le ton est aussi décalé que son héroïne, les mots sont parfois crus mais jamais vulgaires, c’est délicieusement amoral avec une pointe de noir. On se laisse volontiers embarquer par le périple rocambolesque de Laure, on s’en fout si ce n’est pas franchement crédible par moments, l’auteure veut s’amuser et amuser les lecteurs ; et ça fonctionne ! On se vide la tête, les zygomatiques s’affolent. C’est juste jouissif comme lecture. Je vais volontairement faire l’impasse sur les personnages et les divers éléments de l’intrigue ; je dirai simplement que Odile Baltar nous offre un subtil cocktail de vaudeville / feel-good / noir. Compte tenu de l’épaisseur du bouquin (moins de 200 pages) et de la qualité de l’écriture, le bouquin s’avale quasiment d’une traite. Cerise sur le gâteau, l’intrigue s’offre même le luxe de surprendre le lecteur avec une ultime révélation. Pour l’anecdote le manuscrit a concouru pour le prix San Antonio sous le titre Ego-trip-bad-side-fucking-life-for-nothing-bla-bla-bla et était signé Nane. Vingt titres étaient en lice, trois ont été retenus en phase finale. Vous connaissez la suite… On ne sait pas grand-chose d’Odile Baltar, sinon qu’il s’agit d’un nom de plume, qu’elle est Belge et ne compte pas sortir de l’ombre pour le moment. J’espère sincèrement qu’elle poursuivra l’expérience littéraire, une plume pareille a sûrement encore beaucoup d’histoires à nous raconter.Odile Baltar est la première lauréate du prix San Antonio, un prix créé par les éditions Fleuve qui récompense un polar inédit de 300 000 signes maximum qui se distingue par la qualité de la langue. La plus grande récompense pour l’auteur(e) étant une diffusion de son texte par l’éditeur. Le jury ne s’est pas trompé en récompensant Odile Baltar, dès les premières lignes on est sous le charme de son écriture et de sa verve ; c’est que du bonheur de lire une telle prose. J’avais terminé le vin. J’étais presque joyeuse. Mon amant s’était tranché la gorge et j’étais une salope : on n’allait pas en faire un fromage. Je ne lui avais jamais rien promis, à François ! Le vin me rendait hargneuse, je détestais les suicidés. C’étaient eux, les égocentriques, pas moi. Il faut dire aussi que sa narratrice (Laure) est une femme à la personnalité très affirmée. Égoïste, égocentrique, égotique, un tantinet déjantée et très infidèle… Pas franchement l’épouse modèle, et pourtant son mari l’aime à la folie et lui pardonne tous ses écarts. Pour faire simple on va dire que Laure a une façon très personnelle d’aborder la vie et que les pensées défilent à un rythme...
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