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Dragon's Crown
Ève Chauviré (traduit par)
Date de parution : 07/07/2016
Éditeurs :
Kurokawa

Dragon's Crown

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Ève Chauviré (traduit par)
Date de parution : 07/07/2016
Découvrez, pour la première fois en manga, tout l'univers du jeu culte du studio VANILLAWARE !
Le "Dragon's Crown" est une relique légendaire qui apportera la richesse et la gloire à celui qui l'obtiendra. Partez aux côtés de six valeureux aventuriers dans des labyrinthes peuplés de... Le "Dragon's Crown" est une relique légendaire qui apportera la richesse et la gloire à celui qui l'obtiendra. Partez aux côtés de six valeureux aventuriers dans des labyrinthes peuplés de créatures fantastiques où ils devront faire face aux plus terribles des épreuves.

Découvrez, pour la première fois en manga, tout l'univers...
Le "Dragon's Crown" est une relique légendaire qui apportera la richesse et la gloire à celui qui l'obtiendra. Partez aux côtés de six valeureux aventuriers dans des labyrinthes peuplés de créatures fantastiques où ils devront faire face aux plus terribles des épreuves.

Découvrez, pour la première fois en manga, tout l'univers du jeu culte du studio VANILLAWARE !
 
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EAN : 9782368522158
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 376
Format : 128 x 182 mm
EAN : 9782368522158
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 376
Format : 128 x 182 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • yanndallex 15/09/2016
    Voici un manga pour les afficionados du jeu vidéo du même nom de Vanillaware… Pas comme moi… J’ai donc abordé ce manga d’un œil nouveau, néophyte en la matière. Ce qui m’a attiré pour lire celui-ci, c’est justement et avant tout ce côté Heroic Fantasy, proche des MMORPGs et jeux de rôle. Ce monde fantaisiste peuplé de créatures légendaires toutes plus diverses les unes des autres. J’y ai donc retrouvé une ambiance à la JRR Tolkien, pleine d’humour et d’aventure, avec de côtés sombres et effrayants ou bien des passages enchanteurs, féériques et oniriques. Le dessin, le style, les mises en scènes, les effets : Le dessin est juste superbe, beau, détaillé, et bien caricaturé comme le souhait de tout joueur de jeux de rôle. Ainsi des guerriers ou chasseurs bodybuildés côtoient des sorcières et amazones aux formes extrêmement généreuses, des magiciens discrets mais surpuissants, des voleurs totalement invisibles, ou bien des petites elfes et/ou fées toutes kawai… Le style réaliste donne vraiment du charme à cette épopée et nous permet de nous projeter facilement. Les effets sont splendides mais parfois trop exploités, en surabondance, ce qui peut charger un dessin déjà superbement travaillé… c’est un peu dommage. Certains effets sont aussi parfois incompréhensibles si l’on ne connait pas le jeu vidéo… (Exemple : une sorte de carte sur le chevalier en plein action...) Les mises en scènes sont mythiques, somptueuses. On en prend plein la vue à chaque scène de bataille, ou seulement juste lorsqu’une héroïne pulpeuse est mise en avant… Les transitions sont parfois difficiles à comprendre. On voit apparaître des personnages secondaires comme Lucain, Rannie, Samuel, Tiki ou Morgane, semblant sortir de nulle part comme par enchantement, tout comme dans ces séries B télévisées ou l’on comprend clairement que le scénariste a galéré pour trouver une sortie possible. Au final cela donne donc un résultat totalement loufoque, incompréhensible. Cependant les personnages avec leurs caractères bien définis, et surtout jamais vulgaires, sont des plus affectueux. Chacun aura évidemment sa préférence (pour moi la sorcière a toute mon attention… lol). Chose plutôt étrange pour nos héros, hormis les personnages secondaires, aucun d’entre eux n’est « nommé ». Ils restent donc d’illustres inconnus malgré l’affection que l’on puisse leur développer ! Le scénario, le découpage : Hormis les deux fils rouges de la quête de la couronne, et du groupe d’aventurier, qu’en est-il du scénario et des dialogues ? Les chapitres ne sont pour moi qu’une succession de combats et/ou missions diverses trop rapidement exécutés, à croire que nos héros n’éprouvent aucune difficultés, d’autant qu’apparemment ils s’entendent à la perfection alors qu’ils ne se connaissent pas du tout ! La séquence finale contre le dragon m’a aussi quelque peu déçue. Encore une fois, elle est réalisée trop rapidement, là on l’on pourrait en prendre plein les mirettes…. Les dialogues apportent hélas peu à l’histoire si ce n’est d’affirmer les caractères des personnages… L’originalité vient du fait de diviser le groupe pour chaque mission, ainsi cela nous permet de voir l’étendu des qualités de chaque personnage. Le découpage est quant à lui très dynamique, trop même, et il arrive parfois que l’on se perde dans l’enchainement des actions (qui fait quoi ?) mais il est certains qu’il captive toute notre attention pour nous mener rapidement au dénouement. Les petits plus particulièrement appréciés : les fiches caractéristiques des personnages (comme pour les jeux de rôle) agrémentant les transitions de chapitre, les magnifiques illustrations en couleurs, et, le volume et la densité de l’ouvrage. Kurokawa n’a pas lésiné pour nous mettre tout le condensé des deux volumes en un tome de 370 pages, mais cela explique aussi certainement donc la rapidité du scénario, qui se veut théoriquement résumer en quelques pages les longues heures de jeu vidéo…. En bref, ce livre est beau, imposant, et de belle manufacture. Rien que l’objet en vaut donc le coup. Le contenu visuel est absolument fantastique rappelant le monde de Tolkien (en plus sexy), mais à contrario, le scénario pêche un peu par sa simplicité. Une bonne lecture donc pour un néophyte à ce monde virtuel, et certainement une excellente nouvelle pour les mordus de ce A-RPG. Voici un manga pour les afficionados du jeu vidéo du même nom de Vanillaware… Pas comme moi… J’ai donc abordé ce manga d’un œil nouveau, néophyte en la matière. Ce qui m’a attiré pour lire celui-ci, c’est justement et avant tout ce côté Heroic Fantasy, proche des MMORPGs et jeux de rôle. Ce monde fantaisiste peuplé de créatures légendaires toutes plus diverses les unes des autres. J’y ai donc retrouvé une ambiance à la JRR Tolkien, pleine d’humour et d’aventure, avec de côtés sombres et effrayants ou bien des passages enchanteurs, féériques et oniriques. Le dessin, le style, les mises en scènes, les effets : Le dessin est juste superbe, beau, détaillé, et bien caricaturé comme le souhait de tout joueur de jeux de rôle. Ainsi des guerriers ou chasseurs bodybuildés côtoient des sorcières et amazones aux formes extrêmement généreuses, des magiciens discrets mais surpuissants, des voleurs totalement invisibles, ou bien des petites elfes et/ou fées toutes kawai… Le style réaliste donne vraiment du charme à cette épopée et nous permet de nous projeter facilement. Les effets sont splendides mais parfois trop exploités, en surabondance, ce qui peut charger un dessin déjà superbement travaillé… c’est un peu dommage. Certains effets sont aussi parfois incompréhensibles si l’on...
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  • Hiromichi 11/09/2016
    Chers valeureux aventuriers, rejoignez la guilde de Hydeland afin de poursuivre les quêtes qui vous mèneront vers la légendaire « couronne du dragon ». Donjons, labyrinthes et monstres en tout genre se mettront sur votre chemin. Voilà le type de phrase qu’on peut entendre raisonner dans nos oreilles lorsqu’on commence ce manga. Une voix rugueuse et de prophétesse est de mise lorsqu’on lit les parchemins de début de chapitre narrant la mission qui est donnée à nos personnages principaux, ainsi que les parchemins de conclusion de quête. L’auteur fait en sorte de nous mettre le plus possible dans l’ambiance du jeu vidéo, on fait la connaissance des différents personnages : une elfe, un nain, une amazone, une sorcière, un guerrier et un mage, et chacun d’eux sont toujours appelés par leur titre. Ils n’ont pas de noms et possèdent des caractéristiques classiques qu’on peut facilement imaginer. Il y a beaucoup de clichés mais cela peut permettre au lecteur d’identifier beaucoup plus facilement les personnages, surtout que selon les missions, nous n’accompagnons pas forcément les mêmes, puisque bien souvent elles se font par équipe de quatre. Ainsi nous suivons nos aventuriers participer à plusieurs missions, toutes ayant un lien et une continuité logique comme si nous étions vraiment dans un jeu dans lequel on évolue pour arriver jusqu’au boss final. Malgré le changement fréquent des personnages dans l’équipe que l’on suit, on s’attache assez facilement à eux, ils ont leur histoire et des petits traits de caractères bien spécifiques. Le manga en lui même est sympathique, même s’il est plutôt épais (c’est un one-shot de 370 pages), il permet de se poser un moment et de se plonger dans cet univers en pleine lutte de pouvoir. On regrettera peut-être le style du dessin, qui fondamentalement n’est pas désagréable à l’oeil mais qui peut finir par nous faire lever les yeux au ciel du fait de ces poitrines plus que généreuses qui débordent de tous les côtés. On n’est pas non plus en reste de musculatures bodybuildées mais les poitrines sont vraiment dérangeantes par certains moments car on finit par ne voir que ça. Mais si voir seins et fessiers en gros plan ne vous dérangent pas plus que ça ou que vous arrivez à passer outre, nous avons entre les mains un manga qui même s’il reste assez classique est plutôt bien fourni en détails et reste sympa à lire.Chers valeureux aventuriers, rejoignez la guilde de Hydeland afin de poursuivre les quêtes qui vous mèneront vers la légendaire « couronne du dragon ». Donjons, labyrinthes et monstres en tout genre se mettront sur votre chemin. Voilà le type de phrase qu’on peut entendre raisonner dans nos oreilles lorsqu’on commence ce manga. Une voix rugueuse et de prophétesse est de mise lorsqu’on lit les parchemins de début de chapitre narrant la mission qui est donnée à nos personnages principaux, ainsi que les parchemins de conclusion de quête. L’auteur fait en sorte de nous mettre le plus possible dans l’ambiance du jeu vidéo, on fait la connaissance des différents personnages : une elfe, un nain, une amazone, une sorcière, un guerrier et un mage, et chacun d’eux sont toujours appelés par leur titre. Ils n’ont pas de noms et possèdent des caractéristiques classiques qu’on peut facilement imaginer. Il y a beaucoup de clichés mais cela peut permettre au lecteur d’identifier beaucoup plus facilement les personnages, surtout que selon les missions, nous n’accompagnons pas forcément les mêmes, puisque bien souvent elles se font par équipe de quatre. Ainsi nous suivons nos aventuriers participer à plusieurs missions, toutes ayant un lien et une continuité logique...
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  • Pois0n 12/07/2016
    Juste après la sortie d'Odin Sphere Leifthrasir, voilà que Kurokawa nous offre l'adaptation manga de Dragon's Crown, un autre des chefs d'oeuvre de Vanillaware, juste au moment où celui-ci disparaît momentanément du PlaystationStore européen pour une question de licence. Avouez que pour ceux qui, intrigués par le manga, voudraient découvrir le jeu dans la foulée, c'est quand même pas de bol. Une infortune que ne pouvait malheureusement pas prévoir Kurokawa... Il y a donc deux façons de lire Dragon's Crown : la première, en tant qu'adaptation du jeu ; la seconde, en tant que manga d'heroic-fantasy. Et force est de constater qu'il est difficile d'être objectif à partir du moment où l'on connaît le support d'origine... En tant qu'adaptation donc, Dragon's Crown réussit haut la main le pari de restituer sur papier l'atmosphère du jeu dont il est issu, et ce, même si le côté contemplatif dû aux merveilleux décors de celui-ci disparaît totalement. On reconnaît les lieux, certes, mais on a rarement l'occasion de les voir en détail sur plus d'une ou deux cases ; en effet, la narration est rapide, très rapide... expédiée, même, et l'on a bien trop souvent l'impression que les héros poussent la porte du donjon pour tomber directement sur le boss de fin. L'inconvénient d'avoir voulu caser tout le contenu du jeu dans seulement deux tomes... A ce sujet, il m'a semblé que l'ordre de visite des donjons était un peu différent, mais je ne saurais en être sûr.e, n'ayant pas retouché au jeu depuis un moment. Bref, pour qui connaît l'univers, l'aspect « porte-monstre-boss » version condensée ne devrait pas gêner outre mesure. Pour les néophytes en revanche, on tient là le plus gros défaut de cette adaptation manga, pouvant être résumée à un enchaînement de combats après quelques cases de parlotte, sans la moindre dimension d'aventure ou d'exploration. Les combats, parlons-en, car malgré leur omniprésence, leur intérêt est souvent anecdotique. Si l'auteur a eu la bonne idée de toujours renouveler la composition de l'équipe d'aventuriers, formée de quatre membres sur les six que compte le groupe, et de plutôt bien exploiter leurs capacités lors des affrontements, le côté très rapide et souvent graphiquement brouillon de ceux-ci a tôt fait d'annihiler tout plaisir de lecture. On ne lira pas non plus Dragon's Crown pour la complexité de son scénario, celui-ci se révélant pour ainsi dire absent. Un vague fil rouge justifie les incursions de la petite troupe en milieux hostiles, mais l'accent n'est clairement pas mis là-dessus. Alors, que reste-il qui fasse de Dragon's Crown un très plaisant moment de lecture ? Eh bien, les personnages, pardi ! Là où ceux-ci n'étaient que des anonymes sans histoire ni personnalité dans le jeu, Yuztan réussit le tour de force de leur donner une épaisseur, les rendre incroyablement vivants, et ce, à partir de rien. Ils n'ont toujours pas de nom, pour ainsi dire pas d'histoire, mais ne manquent vraiment plus de traits de caractère ! Dès les premières pages, Dragon's Crown prend un aspect très « tranche de vie version heroic-fantasy », où l'on suit avec plaisir ces inconnus apprendre à faire équipe, puis interagir les uns avec les autres. Pour qui a joué au jeu, c'est une totale redécouverte, sans aucun sentiment de trahison du support d'origine, bien au contraire. Et si l'on n'aurait sans doute pas imaginé l'amazone avec un caractère aussi girly, le résultat fonctionne très bien, et les autres héros sont une copie carbone de l'idée que l'on pouvait s'en être faite. Pour qui a déjà fait une partie de jeu de rôle papier (ce à quoi le jeu d'origine faisait déjà référence, notamment de par la voix du narrateur s'adressant directement au joueur), les courtes discussions parfois totalement hors de propos des personnages paraîtront d'autant plus authentiques ! Yuztan n'a pas non plus négligé les personnages secondaires : Lucain, Samuel et Morgane (entre autres!) n'ont pas été oubliés. Chaque lecteur ayant auparavant joué à Dragon's Crown retrouvera probablement son personnage secondaire préféré dans cette adaptation papier ! Et que dire de Rannie, totalement absent dans les premiers chapitres, mais qui a, par la suite, plus que droit à son heure de gloire ? Pour moi qui aime beaucoup ce perso, ç'a été la cerise sur le gâteau. Sur le plan graphique, en dehors du côté brouillon des combats évoqué plus haut, il n'y absolument rien d'autre à redire : non seulement le trait de Yuztan se veut très fidèle au chara-design d'origine, mais aussi expressif et dynamique, capable de proposer des angles de vue sortant de l'ordinaire. On n'oubliera pas non plus un aspect fan-service non négligeable, mais toujours très soft et bien intégré, et qui, pour une fois, ne concerne pas seulement les personnages féminins ! (Soulevez la jaquette et jetez un oeil sur la quatrième de couverture, vous m'en direz des nouvelles ;) ) Notons d'ailleurs la présence de fiches consacrées à chaque personnage, de quatre illustrations intérieures en noir et blanc + les deux sous la jaquette, le croquis bonus du premier anniversaire et pas moins de huit pages couleur sur papier glacé, additionnés à des dorures du plus bel effet sur la jaquette, et vous comprendrez que niveau édition, Kurokawa s'est défoncé pour faire de cette édition double du manga Dragon's Crown un très bel objet qui vaut très largement ses douze euros. Évidemment, l'impression et la reliure sont nickels. Bref, si Dragon's Crown pêche sur certains aspects, il n'en reste pas moins un petit coup de coeur personnel. Là où le bât blesse, c'est que le néophyte aura infiniment moins de chances d'être séduit que le vieux briscard, le manga étant, en tant que tel, un titre de fantasy sympathique mais perfectible, et surtout oubliable, auquel il serait toutefois dommage de ne pas laisser sa chance. Impossible donc d'accorder une note en toute objectivité, le titre ne valant pas plus de 6 pour le profane, mais 7 voire 8 dans le cas contraire. Dragon's Crown n'est clairement pas le manga de fantasy du siècle, mais s'avère être une excellente adaptation ! Critique initialement rédigée par mes soins pour Manga Sanctuary (voir lien).Juste après la sortie d'Odin Sphere Leifthrasir, voilà que Kurokawa nous offre l'adaptation manga de Dragon's Crown, un autre des chefs d'oeuvre de Vanillaware, juste au moment où celui-ci disparaît momentanément du PlaystationStore européen pour une question de licence. Avouez que pour ceux qui, intrigués par le manga, voudraient découvrir le jeu dans la foulée, c'est quand même pas de bol. Une infortune que ne pouvait malheureusement pas prévoir Kurokawa... Il y a donc deux façons de lire Dragon's Crown : la première, en tant qu'adaptation du jeu ; la seconde, en tant que manga d'heroic-fantasy. Et force est de constater qu'il est difficile d'être objectif à partir du moment où l'on connaît le support d'origine... En tant qu'adaptation donc, Dragon's Crown réussit haut la main le pari de restituer sur papier l'atmosphère du jeu dont il est issu, et ce, même si le côté contemplatif dû aux merveilleux décors de celui-ci disparaît totalement. On reconnaît les lieux, certes, mais on a rarement l'occasion de les voir en détail sur plus d'une ou deux cases ; en effet, la narration est rapide, très rapide... expédiée, même, et l'on a bien trop souvent l'impression que les héros poussent la porte du donjon pour...
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