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La Fourrure blanche
Christine Barbaste (traduit par)
Date de parution : 19/04/2018
Éditeurs :
Presses de la cité

La Fourrure blanche

Christine Barbaste (traduit par)
Date de parution : 19/04/2018
« Chaque page crépite sous l'intensité, la fureur, le désir et la volupté. »
Nathan Hill, auteur des Fantômes du vieux pays
Wyoming, 1987. Dans une chambre de motel, une jeune femme aux longues tresses afro pointe son fusil de chasse sur la poitrine d’un jeune homme aux allures de gendre idéal.... Wyoming, 1987. Dans une chambre de motel, une jeune femme aux longues tresses afro pointe son fusil de chasse sur la poitrine d’un jeune homme aux allures de gendre idéal. Elle est fille de
junky, il est fils de milliardaire. Ils se sont rencontrés un an plus tôt, de l’autre côté...
Wyoming, 1987. Dans une chambre de motel, une jeune femme aux longues tresses afro pointe son fusil de chasse sur la poitrine d’un jeune homme aux allures de gendre idéal. Elle est fille de
junky, il est fils de milliardaire. Ils se sont rencontrés un an plus tôt, de l’autre côté du pays. La passion a viré à l’obsession. Et les saisons ont défilé, aussi vite que les paysages, de New Haven
à New York, dans les quatre coins d’une société que la fin des années quatre-vingt électrise. Mais de quelle flamme peuvent bien se consumer ces deux êtres que tout oppose ? Comment se retrouve-t-on en cavale dans le Midwest, le fusil braqué sur le corps de celui qu’on aime ?

Acclamé par la critique, servi par une écriture qui dynamite le réel, un grand roman d’amour aussi incandescent que les premiers Bret Easton Ellis, et aussi intemporel que Roméo et Juliette.
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EAN : 9782258144125
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 480
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782258144125
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 480
Format : 140 x 225 mm

Ils en parlent

"L'Américaine Jardine Libaire courait le risque d'écrire un roman bourré de clichés. Il n'en est rien, et l'on est au contraire émerveillé par l'audace de la narration et la subtilité du dénouement. Jamey et Elise […] idéalistes et fantasques, surprennent le monde entier à chaque page de ce roman d'amour, emporté par un style au brio cofondant."
 
ELLE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Sevlipp 06/08/2023
    C'est l'histoire d'un amour improbable entre deux jeunes gens que tout sépare. Il faut patienter un peu pour rentrer dans l'histoire et puis cette passion, cette obsession ruisselle à chaque page. D'une plume acérée, l'auteure nous conte un amour, un désir qui vont devoir affronter les préjugés, la déshérence, le rejet, l'incompréhension et la mise aux ban. Est- ce que cet amour pourra surmonter tout cela ? Un roman avec un grain de folie et une tension dramatique. Etonnant pour un premier roman.
  • Figuresdestyle 06/07/2020
    Jardine Libaire relève le défi de s’emparer d’un thème des plus ordinaires en littérature – un amour contrarié par les barrières sociales et triomphant (ou presque) – et d’en proposer une déclinaison moderne, au fil d’une plume imaginative, dure, sensuelle, crue. De celles qui traduisent les passions endiablées, les attachements torturés, mais aussi le respect de l’autre dans sa différence.
  • Boom 14/02/2020
    ... Au cœur du continent américain des années 80, ils vont devoir faire face à de nombreux obstacles mais surtout à leur différence de classe sociale pour s’aimer sans se cacher. L’écriture de l’autrice est belle et poétique, on est très vite emporté par ses mots, dans les pensées de nos protagonistes qui sont tous les deux très attachants malgré/surtout par leur différence. Je ne savais pas du tout dans quelle direction elle allait faire partir ce récit mais j’ai été agréablement surprise une fois la dernière page refermée et je ressors avec un sourire en coin de cette lecture. Un bel ouvrage pour les lecteurs nostalgiques qui veulent se plonger dans les méandres de la relation d’Elise et Jamey…
  • Jazzynewyork 08/10/2019
    Quand tu ne lis pas les quatrième de couverture, tu peux t’attendre à certaines surprises, comme découvrir que tu t’apprête à lire l’histoire d’un amour impossible qui donne déjà à travers le premier chapitre une entrée en matière surprenante et très prometteuse. Ce n’est pourtant pas ta came, mais dès les premières pages, tu te retrouves captivée par l’écriture fabuleusement envoûtante. Deux êtres que tout oppose, issus de classes sociales différentes de même que leurs origines raciales, vont se retrouver piéger par la même passion dévorante l’un envers l’autre, prêts à vivre un amour enragé, bercé par une folie douce et même parfois furieuse. Chacun se retrouve face aux préjugés de leurs familles et de leurs amis qui les amèneront à prendre des décisions radicales. La force de leur amour résistera-t’il à tant de pression ? Au cœur de New-York où la richesse côtoie la pauvreté, où l’amour flirte avec la haine, il n’est pas surprenant que deux êtres d’origines si différentes s’éprennent l’un de l’autre et se laissent aller à s’aimer, un peu, beaucoup, à la folie… Pretty woman fait pâle figure dorénavant face à cette histoire aussi surprenante que touchante. Une belle et grande histoire d’amour, non cousue de fil blanc, intense, féroce, torride, souvent irrévérencieuse, à découvrir absolument. Un roman magistral, porté par une plume extraordinaire. Un véritable coup de foudre à la hauteur de cette folle histoire d’amour. Quand tu ne lis pas les quatrième de couverture, tu peux t’attendre à certaines surprises, comme découvrir que tu t’apprête à lire l’histoire d’un amour impossible qui donne déjà à travers le premier chapitre une entrée en matière surprenante et très prometteuse. Ce n’est pourtant pas ta came, mais dès les premières pages, tu te retrouves captivée par l’écriture fabuleusement envoûtante. Deux êtres que tout oppose, issus de classes sociales différentes de même que leurs origines raciales, vont se retrouver piéger par la même passion dévorante l’un envers l’autre, prêts à vivre un amour enragé, bercé par une folie douce et même parfois furieuse. Chacun se retrouve face aux préjugés de leurs familles et de leurs amis qui les amèneront à prendre des décisions radicales. La force de leur amour résistera-t’il à tant de pression ? Au cœur de New-York où la richesse côtoie la pauvreté, où l’amour flirte avec la haine, il n’est pas surprenant que deux êtres d’origines si différentes s’éprennent l’un de l’autre et se laissent aller à s’aimer, un peu, beaucoup, à la folie… Pretty woman fait pâle figure dorénavant face à cette histoire aussi surprenante que touchante. Une belle et grande histoire d’amour, non cousue de fil blanc, intense, féroce, torride,...
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  • janessane 04/09/2019
    "La fourrure blanche", c'est une histoire d'amour qui commence à l'envers. Il y a d'abord cette scène toute particulière où Elise tient en joue l'amour de sa vie, Jamey. Mais avant tout ça, il y a d'abord les corps qui se rencontrent, rien de plus, rien de moins. Les sentiments ne s'expriment pas , l'attirance ne s'explique pas. Elle se vit, honteuse pour Jamey, porteuse d'espoir pour Elise. Elise, c'est cette fille un peu paumée, issue des quartiers très populaires et qui porte sa "fourrure blanche" presque comme une arme ou une carapace. Jamey, c'est le garçon de la classe très très aisée, destiné à un avenir où club de golf, garden- party ont la part belle entre deux transactions financières. La fourrure blanche d'Elise, il ne l'aime pas. Elle trahit ses origines. Mais plus Jamey se fourvoie dans la luxure, plus Elise prend de la place. Avec douceur, tact, cette dernière confirme au fil de l'histoire ce qu'elle a toujours su avant ce dernier : ils sont faits l'un pour l'autre. Ce roman pourrait être une énième version de la lutte des classes avec en fond sonore une histoire d'amour à l'eau de rose qui transcende tout sur son passage. Il n'en est rien. Ici l'amour est âpre, sans concession. Il s'exprime souvent de manière crue, il se vit dans le moment et dans l'incertitude. Pas de déclarations enflammées ni d'envolées lyriques mais une musique des mots qui sonnent vraie. C'est le road-trip de la vie, celui des amants qui grandissent l'un à côté de l'autre pour mieux se trouver et se retrouver. Très bon livre."La fourrure blanche", c'est une histoire d'amour qui commence à l'envers. Il y a d'abord cette scène toute particulière où Elise tient en joue l'amour de sa vie, Jamey. Mais avant tout ça, il y a d'abord les corps qui se rencontrent, rien de plus, rien de moins. Les sentiments ne s'expriment pas , l'attirance ne s'explique pas. Elle se vit, honteuse pour Jamey, porteuse d'espoir pour Elise. Elise, c'est cette fille un peu paumée, issue des quartiers très populaires et qui porte sa "fourrure blanche" presque comme une arme ou une carapace. Jamey, c'est le garçon de la classe très très aisée, destiné à un avenir où club de golf, garden- party ont la part belle entre deux transactions financières. La fourrure blanche d'Elise, il ne l'aime pas. Elle trahit ses origines. Mais plus Jamey se fourvoie dans la luxure, plus Elise prend de la place. Avec douceur, tact, cette dernière confirme au fil de l'histoire ce qu'elle a toujours su avant ce dernier : ils sont faits l'un pour l'autre. Ce roman pourrait être une énième version de la lutte des classes avec en fond sonore une histoire d'amour à l'eau de rose qui transcende tout sur son passage. Il n'en...
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