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Le Chardonneret
Édith Soonckindt (traduit par)
Date de parution : 02/01/2015
Éditeurs :
Pocket

Le Chardonneret

Édith Soonckindt (traduit par)
Date de parution : 02/01/2015
C'est un minuscule tableau de maître. Un oiseau fascinant. Inestimable.
La raison pour laquelle Theo Decker, 13 ans, s'est retrouvé en possession de ce chef-d'œuvre de l'art flamand est une longue...
C'est un minuscule tableau de maître. Un oiseau fascinant. Inestimable.
La raison pour laquelle Theo Decker, 13 ans, s'est retrouvé en possession de ce chef-d'œuvre de l'art flamand est une longue histoire... Un hasard qui, huit ans après ce jour tragique de pluie et de cendres à New York, l'obsède toujours...
C'est un minuscule tableau de maître. Un oiseau fascinant. Inestimable.
La raison pour laquelle Theo Decker, 13 ans, s'est retrouvé en possession de ce chef-d'œuvre de l'art flamand est une longue histoire... Un hasard qui, huit ans après ce jour tragique de pluie et de cendres à New York, l'obsède toujours autant. Des salons huppés de Manhattan aux bas-fonds mafieux d'Amsterdam ou de Las Vegas, Le Chardonneret surveille l'effroyable descente aux enfers de Theo et préside à son étrange destin...

« Tragique et comique, cruel et tendre, intime et démesuré, Le Chardonneret fait partie de ces rares romans qui obligent à annuler toute obligation sociale. » Thomas Mahler – Le Point

« Une narration étourdissante, qui pousse à tourner les pages sans pouvoir s'arrêter. » Raphaëlle Leyris – Le Monde

« Comment survivre à ceux qu'on aime ? Donna Tartt effectue un retour magistral avec cet ample roman, où s'entrechoquent le bien et le mal. » Fabienne Pascaud – Télérama

Cet ouvrage a reçu le prix Pulitzer

 
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EAN : 9782266250764
Code sériel : 16041
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 1296
Format : 120 x 180 mm
EAN : 9782266250764
Code sériel : 16041
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 1296
Format : 120 x 180 mm

Ils en parlent

« Tragique et comique, cruel et tendre, intime et démesuré, Le Chardonneret fait partie de ces rares romans qui obligent à annuler toute obligation sociale. Virtuose. » Le Point
« Un roman initiatique dickensien se passant à Las Vegas, New York et Amsterdam, dans le milieu des antiquaires, qui se révèle un redoutable page-turner. » Le Figaro
« Ce roman, pétri de références romanesques issues du XIXe siècle, multiplie avec autant de délectation que de virtuosité les retournements subits de la fortune. Un (formidable) pavé. » Le Monde
« Comment survivre à ceux qu'on aime ? Donna Tartt effectue un retour magistral avec cet ample roman, où s’entrechoquent le bien et le mal. » Télérama
« Un grand roman d’initiation, un conte contemporain qui vous saisit dès le début et ne vous lâche plus. Peut-être le roman le plus profond et le plus personnel de Donna Tartt. » Vogue
« Un triomphe. » Stephen King
 

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • badabil 10/04/2024
    C'est un roman très long, avec de nombreux détails. Ils ne sont pas superflus. Le personnage principal, Theo Decker, et souvent plus les personnages secondaires, sont très complexes. Pourtant, à la fin de la lecture, tout prend son sens. C'est rare que je dis ça aux gens, mais prenez le temps de le lire. C'est une histoire triste, touchante même, mais parfois dans le bon sens. L'auteur nous fait vraiment sentir et voir les lieux. On comprend ce que Theo et Hobbie font dans l'atelier. À lire!
  • VALENTYNE 27/12/2023
    J’ai mis 6 semaines à finir ce livre. Pas parce qu’il n’est pas intéressant mais à cause de son poids (note pour 2024 : ne lire que des livres de poche) L’histoire est très touchante au début : un jeune homme Theo Decker accompagne sa mère dans un musée, musée dans lequel a lieu un attentat. Une vingtaine de personnes (dont la mère de Théo) décèdent. Theo lui est indemne et en état de choc ; il rentre chez lui, ignorant la mort de sa mère ; commence alors pour lui une longue attente qui se solde par la terrible nouvelle. Dans le musée, il a rencontré après l’explosion un monsieur et une jeune fille blessée. L’homme lui a donné une chevalière et lui a dit de mette le Chardonneret du titre à l’abri des flammes… Le lecteur va alors suivre Theo de ces 13 ans à ces 27 ans. Il rencontrera quelques amis Andy, Hobie, Boris et surmontera (avec l’aide de la drogue) de nombreuses « catastrophes » Un roman très riche et émouvant autour de ce tableau. Le livre m’a donné envie de voir le film.
  • kareen735 07/11/2023
    Je viens tout juste de refermer ce livre. Quel roman ! Comment vous expliquer ce que j'ai pu ressentir ? C'est un récit tragique d'une grande beauté, dantesque. Ce roman est lourd et pourtant il a su m'envouter, me forçant à fixer ce destin sans issue. Il y a tant d'injustices et de sombres individus dans cet univers que l'on a l'impression d'étouffer. Pourtant, on avance avec Théo, pas à pas. C'est un grand roman. Nous pourrions débattre sur les nombreux sujets abordés par ce livre : pourquoi certaines œuvres d'art nous touchent? Comment doit-on aborder la vie ou son destin (comme Boris ? comme Théo ?)? Peut-on vraiment se pardonner à soi-même ? Je ne sais quoi vous dire. Seulement qu'il faut lire ce roman. Il vaut bien un Pulitzer ! Je suis époustouflée par tant de talents. Ce tableau avait déjà sa propre histoire mais ce livre vient de lui en ajouter une, c'est du grand art !
  • somewhereanywherefaraway 15/10/2023
    Un style d’écriture un peu lourd au début. Ou peut-être cela dure-t-il tout le long de l’histoire et je m’y suis habituée ? En effet, les phrases sont très (trop) longues parfois. J’ai à peine le temps d’arriver à la fin de la phrase, que j’en ai déjà oublié le début. Ou je me suis perdue en chemin, m’égarant entre les bouts de phrases s’additionnant au gré des virgules. Un autre petit bémol selon moi : la façon dont sont rédiger les sms. Bien que l’auteur essaye de donner l’impression que ce sont des jeunes qui s’envoient des messages, je trouve cela beaucoup trop exagéré. De plus leur façon de parler ne se reflète pas du tout dans les SMS. L’exemple le plus flagrant de cela est pour moi Pippa et Boris : ils ne parlent pas du tout de la même façon et pourtant écrivent presque pareil ( je dis bien « presque » car il y a tout de même un petit différence, l’écriture « jeune » étant plus prononcé chez Boris). Dans la même veine, la façon de parler de Boris : (je l’ai remarqué surtout vers la fin du livre), il fait quelques petites erreurs quand il parle et puis soudainement il se lance dans une tirade intellectuelle avec des mots plus compliqués que ceux qu’il utilise d’habitude mais, bizarre bizarre, il ne fait plus du tout de fautes... J’ai également trouvé le début un peu lent/long. Honnêtement, je suis pleinement rentré dans l’histoire à partir du moment où Xandra et Larry débarquent (ce qui ne se produit qu’un peu après la 260ièmes pages, il faut donc s’accrocher). En ce qui concerne les points positifs, j’ai beaucoup appréciée le panel de personnages : je les trouvais tous bien travailler avec leurs propres défauts et qualités (bien qu’il soit difficile de trouver des qualités chez certains). J’ai vu un débat à propos de l’époque à laquelle se déroule l’histoire, à savoir une petite quinzaine d’années avant 1943 ou dans les années 90 puis 2000. J’avoue avoir été quelque peu surprise par ce débat puisque pour moi il était clair que c’était la deuxième option (dû à l’usage de téléphones cellulaires, la référence à Harry Potter et puis surtout aucune mention de la seconde guerre mondiale). J’ai donc réouvert mon bouquin au début pour essayer de comprendre d’où provenait ce « 1943 », et en effet je constate qu’il est mentionné dès la première page (« la lumière hivernale charriait néanmoins le souffle froid d’une année 1943 faite de privations et d’austérité, de thé sans saveur ni sucre et de ventre vide au coucher »). Et là j’avoue être un peu abasourdie voire totalement stupéfaite parce que, comment ça j’ai lu plus de 1100 pages sans me rendre compte de l’énorme anachronisme qu’est ce bouquin ??? Donc je relis, encore et encore ce premier chapitre, et je finis par en venir à la conclusion (qui est peut-être fausse, je ne sais pas) que l’autrice utilise « 1943 » comme une expression, une façon de parler en quelque sorte (comme si j’étais bloqué/confiné quelque part et que je prenais 2020 pour exemple). Mais d’un autre côté la phrase « Vitres givrées, neige recouvrant les pavés d’un voile fantomatique, profond et muet, pas de circulation dans les rues, les siècles qui s’empilent, les années 1940 recouvrant les années 1640. » (page 1033) appuie quant à elle l’idée que l’histoire se déroule aux alentours des années 40... J'avoue être un peu perdue. Mais le point le plus négatif pour moi vient surtout de l’éditeur plus que de l’histoire en elle même. En effet, je repéré des nombreuses fautes d’orthographe comme « Pard ! » au lieu de ‘pars’ ainsi que de très (trop) nombreuses autres coquilles dans le texte. Je peux comprendre qu’une erreur passe à travers les filets mais là, je suis désolée je ne voudrais pas être chiante, c’est beaucoup trop de fautes. Un style d’écriture un peu lourd au début. Ou peut-être cela dure-t-il tout le long de l’histoire et je m’y suis habituée ? En effet, les phrases sont très (trop) longues parfois. J’ai à peine le temps d’arriver à la fin de la phrase, que j’en ai déjà oublié le début. Ou je me suis perdue en chemin, m’égarant entre les bouts de phrases s’additionnant au gré des virgules. Un autre petit bémol selon moi : la façon dont sont rédiger les sms. Bien que l’auteur essaye de donner l’impression que ce sont des jeunes qui s’envoient des messages, je trouve cela beaucoup trop exagéré. De plus leur façon de parler ne se reflète pas du tout dans les SMS. L’exemple le plus flagrant de cela est pour moi Pippa et Boris : ils ne parlent pas du tout de la même façon et pourtant écrivent presque pareil ( je dis bien « presque » car il y a tout de même un petit différence, l’écriture « jeune » étant plus prononcé chez Boris). Dans la même veine, la façon de parler de Boris : (je l’ai remarqué surtout vers la fin du livre), il fait quelques petites erreurs quand il parle et puis soudainement il se lance dans une...
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  • Oneofus 08/09/2023
    Je viens de relire compulsivement ce Prix Pulitzer de la fiction d’il y a presque dix ans, je le rappelle, célébré par Stephen King himself, « le chardonneret », écrit par la romancière américaine Donna Tartt. C’est l’histoire d’un jeune garçon âgé de treize ans, Théo, qui survit miraculeusement à une explosion dans un musée d'art à New York. Theo, se retrouve seul, sa mère est tuée sur le coup. Désorienté, il emporte avec lui un petit tableau de grande valeur, "Le Chardonneret" de Carel Fabritius. Il va faire des rencontres improbables. Sa vie sera bouleversée lorsque son père, séparée de sa mère, arrive avec sa nouvelle petite amie et l'emmène à Las Vegas. Theo emportera incognito le tableau avec lui. Il se fera un ami, Boris, le fils cosmopolite d'un émigré ukrainien et s’initiera alors avec lui à l’alcool et aux drogues. Au décès brutal de son père dans un accident, il retourne à New York et renoue avec ses relations. Il deviendra antiquaire, restaurateur de meubles anciens et… J’ai aimé ce petit tableau du 17ième siècle, d’un autre siècle dans cette histoire contemporaine qui joue le rôle de fil conducteur dans ce roman, long, aux pages papier bible dans mon édition. Très long parfois…, au rythme lent mais captivant, qui décrit la déconstruction… puis la construction de la personnalité du héros. On y apprend des choses sur l’art, avec ses zones sombres, la mafia, leur monnaie d’échanges, et le trafic d’antiquités qui fait écho à des affaires qui sortent de nos jours. Avec un foisonnement de détails pour les curieux qui accompagnent le développement des personnages complexes, décrits avec précision. Le temps passe, et j’ai toujours le même ressenti pour ce roman ! Je viens de relire compulsivement ce Prix Pulitzer de la fiction d’il y a presque dix ans, je le rappelle, célébré par Stephen King himself, « le chardonneret », écrit par la romancière américaine Donna Tartt. C’est l’histoire d’un jeune garçon âgé de treize ans, Théo, qui survit miraculeusement à une explosion dans un musée d'art à New York. Theo, se retrouve seul, sa mère est tuée sur le coup. Désorienté, il emporte avec lui un petit tableau de grande valeur, "Le Chardonneret" de Carel Fabritius. Il va faire des rencontres improbables. Sa vie sera bouleversée lorsque son père, séparée de sa mère, arrive avec sa nouvelle petite amie et l'emmène à Las Vegas. Theo emportera incognito le tableau avec lui. Il se fera un ami, Boris, le fils cosmopolite d'un émigré ukrainien et s’initiera alors avec lui à l’alcool et aux drogues. Au décès brutal de son père dans un accident, il retourne à New York et renoue avec ses relations. Il deviendra antiquaire, restaurateur de meubles anciens et… J’ai aimé ce petit tableau du 17ième siècle, d’un autre siècle dans cette histoire contemporaine qui joue le rôle de fil conducteur dans ce roman, long, aux pages papier bible...
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