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Le Grand Art des petites escroqueries
Date de parution : 01/10/2020
Éditeurs :
Presses de la cité

Le Grand Art des petites escroqueries

Date de parution : 01/10/2020
​Tout, tout, tout sur les imposteurs, les menteurs et autres trompeurs…

Une chroniqueuse hors pair, un éditeur gourmet, une pianiste traqueuse, un marionnettiste dépressif, une psy séduisante, un avocat fantôme, un concierge mère poule, un lunetier poète... voilà les pro­tagonistes de ce suspense dont mensonges et manipulations sont les principaux ingrédients.
Juillet 1989. Julia James est victime d’un terrible accident de voiture. La talentueuse journaliste, qui peinait sur son livre Le Grand Art des petites escroqueries, avait loué une dépendance sur... Juillet 1989. Julia James est victime d’un terrible accident de voiture. La talentueuse journaliste, qui peinait sur son livre Le Grand Art des petites escroqueries, avait loué une dépendance sur la propriété de la Fondation Saint-Just – une école qui propose des stages révolutionnaires de développement personnel – pour l’été... Juillet 1989. Julia James est victime d’un terrible accident de voiture. La talentueuse journaliste, qui peinait sur son livre Le Grand Art des petites escroqueries, avait loué une dépendance sur la propriété de la Fondation Saint-Just – une école qui propose des stages révolutionnaires de développement personnel – pour l’été afin d’y achever son manuscrit.
Avril 2010. Sa fille, Clémence, reçoit un colis contenant 502 dessins réalisés par Julia, qui est morte en 1999 – dix ans après son décès officiel –, au couvent de la Sainte-Charité, non loin de la Fondation.
Pourquoi le père de Clémence lui a-t-il fait croire à la mort de sa mère ? Quel rôle ont joué l’avocat Maxence Saint-Just et Marius, l’édi­teur de sa mère ? Son grand-père lunetier, qui l’a élevée, savait-il ? Et, surtout, qu’avait donc découvert Julia à Groumenville ?
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EAN : 9782258191846
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 384
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782258191846
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 384
Format : 140 x 225 mm

Ils en parlent

« Sophie Endelys nous tient en haleine d'un bout à l'autre de son roman, nous entraînant sur les vertigineuses pentes de la manipulation mentale et dans une histoire où l'on ne sait plus, à la fin, qui est qui... Jusqu'à la pirouette finale qui pourrait expliquer bien des choses !
C'est un roman prenant que l'on a du mal à lâcher, où les histoires s'imbriquent les unes dans les autres, les enquêtes se mêlent un peu à la façon des traits sur les dessins de Julia. Le présent s'explique souvent par le passé, nul doute que cette intrigue en est une nouvelle illustration !
Un roman à découvrir, pour se laisser emporter dans quelques rues de Rouen et la campagne à l'entour ! »
Bernadette de Labarthe / Librairie La Procure Rouen

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • bebi 30/04/2021
    Clémence vient de découvrir qu’on lui a caché la vérité concernant. Elle ne serait pas morte lorsqu’elle était enfant, mais bien plus tard, dans un couvent. A la quête de la vérité, elle va remonter le temps et pour cela, rencontrer les personnes qui l’ont le plus connue à l’époque. Mais ce ne sera pas sans mal, et les découvertes vont être bien plus noires qu’elle le pensait… La présentation de ce livre m’avait intriguée. J’étais très curieuse de savoir ce qu’il avait bien pu arriver à cette femme, disparue dans d’étranges circonstances. Aussi, j’ai accompagné Clémence dans ses recherches. L’histoire est tout à fait hors du commun. On y croise une jeune femme en quête de vérité vivant dans l’ancien atelier de lunetterie de son grand-père, un éditeur empli de remords pour des choses qu’il a caché dans le passé, le directeur d’une fondation très bizarre, et des personnages qui se cachent dans l’ombre. Plusieurs histoires familiales s’entrelacent. Et notre point de départ, à savoir le décès de Julia James n’est en fait que le résultat de plusieurs événements en amont. C’est très particulier. Couche par couche, on soulève des histoires poussiéreuses mais tragiques. Clémence est une jeune femme décidée, têtue et bien décidée à obtenir des réponses. C’est principalement elle que l’on suit d’ailleurs. Et au travers de ses rencontres, de ses discussions et de ses réflexions, se dessine un tableau à la fois sombre et empli de mystères. Ma lecture a été assez rapide finalement. Je n’ai pas eu de mal à accrocher à la trame du livre, et je me suis laissée conduire par la narration. C’est très facile de se laisser happer par le récit, et je dois dire que j’y ai pris goût. Si vous avez envie d’un style particulier et hors du commun, n’hésitez pas, notez ce titre! Clémence vient de découvrir qu’on lui a caché la vérité concernant. Elle ne serait pas morte lorsqu’elle était enfant, mais bien plus tard, dans un couvent. A la quête de la vérité, elle va remonter le temps et pour cela, rencontrer les personnes qui l’ont le plus connue à l’époque. Mais ce ne sera pas sans mal, et les découvertes vont être bien plus noires qu’elle le pensait… La présentation de ce livre m’avait intriguée. J’étais très curieuse de savoir ce qu’il avait bien pu arriver à cette femme, disparue dans d’étranges circonstances. Aussi, j’ai accompagné Clémence dans ses recherches. L’histoire est tout à fait hors du commun. On y croise une jeune femme en quête de vérité vivant dans l’ancien atelier de lunetterie de son grand-père, un éditeur empli de remords pour des choses qu’il a caché dans le passé, le directeur d’une fondation très bizarre, et des personnages qui se cachent dans l’ombre. Plusieurs histoires familiales s’entrelacent. Et notre point de départ, à savoir le décès de Julia James n’est en fait que le résultat de plusieurs événements en amont. C’est très particulier. Couche par couche, on soulève des histoires poussiéreuses mais tragiques. Clémence est une jeune...
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  • PhilChx 03/03/2021
    Le mensonge, les imposteurs, les trompeurs forment la trame de ce roman. Certains personnages sont attachants, comme Tim, lunetier rêveur, Marius l'éditeur gourmet ou le grand-père de Clémence qui l'a élevé loin du père de celle-ci, installé en Californie. Certains sont glaçants, comme Maxence St Just et sa théorie du mensonge comme art de vivre et de diriger. De Paris à Groumenville, en Normandie, où se trouve la fondation, les protagonistes vont s'opposer sur un rythme rapide et la chute finale surprend le lecteur. Un roman intéressant, mais un peu touffu où on a parfois du mal à s'y retrouver dans l'intrigue complexe et ses multiples personnages. Malgré tout on se sent surpris et horrifiés par les théories de la soumission par le mensonge portées par Maxence St Just et on est amenés à faire le parallèle avec le monde actuel et la communication virale de nos dirigeants.
  • Laehb80 28/02/2021
    Été 89. Julia James prend quelques jours de vacances avec sa fille adolescente Clémence. En pleine écriture de son troisième livre, elle peine à le boucler et respecter le calendrier imposé par son éditeur. « Le grand art des petites escroqueries » est au point mort, l'écrivaine patine. Une nuit, elle plante sa fille sur le palier de la dépendance louée à la célèbre famille Saint-Just et s'engouffre dans sa voiture, très agitée et passablement alcoolisée. L'inévitable se produit, Julia décède dans un terrible accident. Vingt ans plus tard, Clémence apprend grâce à une indiscrétion que sa mère a survécu à cet accident, gravement blessée et lourdement handicapée certes mais vivante contrairement à ce que lui avait annoncé son père. Elle décèdera réellement 10 après la date notée sur le certificat de décès falsifié par le fameux avocat Saint-Just, complice de la supercherie. Clémence décide donc de mener son enquête pour comprendre qui et pourquoi, et faire à nouveau son deuil. J'ai beaucoup apprécié ce roman, l'alternance de temporalité, les mystères et secrets de famille empilés comme des strates sédimentaires. On gratte et on découvre un nouveau mensonge, une nouvelle escroquerie. À force de patience le puzzle est résolu mais il restera évidemment quelques questions sans réponse.Été 89. Julia James prend quelques jours de vacances avec sa fille adolescente Clémence. En pleine écriture de son troisième livre, elle peine à le boucler et respecter le calendrier imposé par son éditeur. « Le grand art des petites escroqueries » est au point mort, l'écrivaine patine. Une nuit, elle plante sa fille sur le palier de la dépendance louée à la célèbre famille Saint-Just et s'engouffre dans sa voiture, très agitée et passablement alcoolisée. L'inévitable se produit, Julia décède dans un terrible accident. Vingt ans plus tard, Clémence apprend grâce à une indiscrétion que sa mère a survécu à cet accident, gravement blessée et lourdement handicapée certes mais vivante contrairement à ce que lui avait annoncé son père. Elle décèdera réellement 10 après la date notée sur le certificat de décès falsifié par le fameux avocat Saint-Just, complice de la supercherie. Clémence décide donc de mener son enquête pour comprendre qui et pourquoi, et faire à nouveau son deuil. J'ai beaucoup apprécié ce roman, l'alternance de temporalité, les mystères et secrets de famille empilés comme des strates sédimentaires. On gratte et on découvre un nouveau mensonge, une nouvelle escroquerie. À force de patience le puzzle est résolu mais il restera évidemment...
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  • CDESMOTS 15/02/2021
    Dès la première page, le rythme trépidant intrigue le lecteur et le rend actif, vigilant, curieux. Nous voilà entraînés dans un univers contrasté, où on s'attaque à des sujets très sérieux, la mort, la tromperie, le mensonge, la manipulation, le faux-semblant mais dans un style léger, percutant et avec humour. On est tout à tour embarqué dans des aventures où on retrouve une âme d'enfant voulant percer le mystère et la confrontation perturbante aux aspects les plus sombres de l'être humain. Propulsés dans cet univers particulier, il nous est offert d'emprunter les multiples portes qui s'ouvrent à nous, nous mettent face à différents degrés de lecture où on a le loisir de ne pas s'arrêter à la surface des choses. Quel plaisir de découvrir les personnages hauts en couleur, de les suivre au gré de l'intrigue dans leurs émotions, leurs questionnements, leurs fantaisies mais aussi leurs folies. A l'issue de ces parcours, on a la confirmation que ce roman, sous ses airs fantasques, nous a permis d'accéder à bien des richesses et des profondeurs tout en nous amusant. Bravo et merci !
  • LudivineBon 11/01/2021
    Comment résister à un visuel aussi esthétique ? On a forcément envie de se plonger dans la lecture... Le résumé de la quatrième de couverture va également dans ce sens. Sophie Endelys propose une réflexion de fond sur le mensonge et la manipulation. La vigilance du lecteur est donc mise à rude épreuve pour assembler les pièces du puzzle au fil des indices qui sont habilement distillés pour démêler le vrai du faux et ne pas perdre le fil. Les chapitres sont relativement longs et denses, sans compter l'alternance des points de vue qui nécessite une lecture attentive de ce roman néanmoins très bien construit. L’imbrication des intrigues et les nombreux flashbacks donnent de l’épaisseur à ce thriller intelligemment mené. Laissez-vous entraîner dans la spirale du mensonge et dans les secrets bien gardés de la famille de Clémence. Découvrez vite qui sont les menteurs, les imposteurs, les manipulateurs et les usurpateurs... J’aime les romans de cette autrice et je vous invite à découvrir ce cinquième titre particulièrement audacieux !
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