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Le Grand Incendie
Date de parution : 12/01/2023
Éditeurs :
Presses de la cité

Le Grand Incendie

Date de parution : 12/01/2023
Durant un été où le ciel du monde entier s’est couvert de rouge feu, Virginia, Ianov, Asna et Olan deviennent des naufragés du feu, face à la nature, face à ce que nous lui avons fait et à ce qu’elle nous fait en retour. Ils vont traverser la planète et se retrouver à New York, où leur destin les attend…
En Californie, Virginia, éleveuse de chevaux, rescapée du premier mégafeu à avoir rasé une ville entière, celle de Paradise, quinze ans plus tôt, est à la recherche de son père... En Californie, Virginia, éleveuse de chevaux, rescapée du premier mégafeu à avoir rasé une ville entière, celle de Paradise, quinze ans plus tôt, est à la recherche de son père dans un État aujourd’hui ravagé. Au cœur de la Sibérie, Ianov, ancien soldat parti s’isoler dans une ferme que les... En Californie, Virginia, éleveuse de chevaux, rescapée du premier mégafeu à avoir rasé une ville entière, celle de Paradise, quinze ans plus tôt, est à la recherche de son père dans un État aujourd’hui ravagé. Au cœur de la Sibérie, Ianov, ancien soldat parti s’isoler dans une ferme que les flammes viennent de détruire, emmène sa jument blessée pour un dernier voyage, dans lequel le rejoignent des animaux sauvages. Au Kurdistan, Asna et Olan combattent la politique de la terre brûlée des terroristes et quand leur dernier champ de blé disparaît, ils finissent par fuir.
Tous vont traverser la planète pour se retrouver là où leur destin les attend.

Ce roman choral visionnaire et saisissant, nourri de notre réalité, a toute sa place au côté du Grand Vertige de Pierre Ducrozet ou encore de 2030 de Philippe Djian. On y apprécie la plume sensible à la nature d’Antonin Sabot, lauréat du prix Jean Anglade du premier roman en 2020 avec Nous sommes les chardons
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EAN : 9782258202009
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 288
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782258202009
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 288
Format : 140 x 225 mm

Ils en parlent

« Dans ce roman futuriste à lire avant qu’il ne soit trop tard, Antonin Sabot nous plonge dans l’océan de malheur qui submerge tous les continents et nous met face à notre responsabilité collective. Edifiant. »
L'Alsace
Derrière cette histoire destinée à être rattrapée sous peu par la réalité, on devine une métaphore phénixienne : quel monde naitra de ces cendres ? Puissant.
Ernest London / Bibliothèque Fahrenheit 451

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • gromit33 02/06/2023
    Ce texte peut être qualifié de dystopie écologique, mais peut être que ce n'est pas si éloigné de nous. Nous avons en Gironde, connu l'été dernier des grands incendies et cela devient malheureusement courant dans certaines régions du Monde. Trois personnages, trois pays et un point commun, le feu. Des incendies "naturelles", mais aussi l'incendie utilisée comme arme de guerre et de conquête de territoire. Aux États-Unis, Virginia est éleveuse de chevaux. Elle est une rescapée du premier « méga-feu » à avoir rasé la ville entière de Paradise quinze ans plus tôt. Après l'évacuation des habitants et la dislocation de sa famille, elle est à la recherche de son père qui les a abandonnés à l’époque dans une Californie aujourd'hui ravagée. Elle décide prendre la route et d'aller essayer de retrouver son père. Au cœur de la Sibérie, Ianov, ancien soldat revenu d'Ingouchie parti s’isoler dans une ferme que les flammes viennent de détruire, emmène sa jument réchappée et blessée pour son dernier voyage. Au fil de ce chemin, les rejoignent des animaux jusque-là sauvages. Avec eux Ianov réinvente son humanité, mais la folie des hommes le rattrape . Au Kurdistan, Asna et Olan combattent la politique de la terre brûlée des terroristes et quand leur dernier champ de blé disparaît, face à la méfiance cruelle des villageois, ils finissent par fuir. En même temps, des prises de conscience voient le jour et des jeunes essaient d'alerter leurs parents et des mouvements se créent. Ce texte nous entraîne dans les flammes, dans les cendres, avec des portraits de personnages, touchants et qui essaient de continuer, d'aller de l'avant. Des scènes restent en mémoire après la fin de la lecture, des scènes terribles de saccage par le feu, de violence mais aussi beaucoup de poésie face à la nature, aux animaux. Ce roman nous questionne, nous interpelle, nous touche, nous bouleverse et nous fait réfléchir sur le futur de notre planète et ce que nous laissons faire et ce que nous pourrions encore essayer de faire. Un auteur dont je vais continuer à lire les textes. #LeGrandIncendie #NetGalleyFranceCe texte peut être qualifié de dystopie écologique, mais peut être que ce n'est pas si éloigné de nous. Nous avons en Gironde, connu l'été dernier des grands incendies et cela devient malheureusement courant dans certaines régions du Monde. Trois personnages, trois pays et un point commun, le feu. Des incendies "naturelles", mais aussi l'incendie utilisée comme arme de guerre et de conquête de territoire. Aux États-Unis, Virginia est éleveuse de chevaux. Elle est une rescapée du premier « méga-feu » à avoir rasé la ville entière de Paradise quinze ans plus tôt. Après l'évacuation des habitants et la dislocation de sa famille, elle est à la recherche de son père qui les a abandonnés à l’époque dans une Californie aujourd'hui ravagée. Elle décide prendre la route et d'aller essayer de retrouver son père. Au cœur de la Sibérie, Ianov, ancien soldat revenu d'Ingouchie parti s’isoler dans une ferme que les flammes viennent de détruire, emmène sa jument réchappée et blessée pour son dernier voyage. Au fil de ce chemin, les rejoignent des animaux jusque-là sauvages. Avec eux Ianov réinvente son humanité, mais la folie des hommes le rattrape . Au Kurdistan, Asna et Olan combattent la politique de la terre brûlée des terroristes...
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  • LilyaRose 22/05/2023
    Virginia en Amérique, Asma en Syrie et Ivanov en Russie. Leur point commun ? Ils luttent pour survivre aux incendies gigantesques qui ravagent la planète. Sécheresses extrêmes, manque d'eau, climat déréglé, il n'y a plus que deux choix : l'exode ou la mort pour survivre aux incendies. Aux États-Unis douze adolescents décident de s'imposer par le feu. Est-ce que l'humanité survivra à cette catastrophe climatique mondiale ? J'ai trouvé cette dystopie très prenante. L'écriture est immersive car très visuelle. Le lecteur n'a aucun mal à s'imaginer les scènes apocalyptiques de ce livre car il suffit d'allumer la télé pendant le journal de vingt heures pour les voir. C'est parfois réaliste au point que je me suis demandé si l'on pouvait vraiment le qualifier de dystopie. C'est un texte plein d'émotions, face aux tragédies vécues par les personnages principaux. Tout le long, j'ai été en apnée autant que la nature et les protagonistes. l'auteur let en avant l'importance de la nature pour l'être humain. Quand la nature brûle l'Homme meurt, quand la nature revit l'Homme recommence à respirer. Cependant, je n'ai pas réussit à comprendre pourquoi New York est le lieu où tout le monde finit par se retrouver, j'aurais aimé que l'auteur choisisse un lieu moins cliché. Quant à la fin, je reste dubitative et me demande si elle est vraisemblable. Cela dit puisque c'est une dystopie, on se satisfait parfaitement de ce final.Virginia en Amérique, Asma en Syrie et Ivanov en Russie. Leur point commun ? Ils luttent pour survivre aux incendies gigantesques qui ravagent la planète. Sécheresses extrêmes, manque d'eau, climat déréglé, il n'y a plus que deux choix : l'exode ou la mort pour survivre aux incendies. Aux États-Unis douze adolescents décident de s'imposer par le feu. Est-ce que l'humanité survivra à cette catastrophe climatique mondiale ? J'ai trouvé cette dystopie très prenante. L'écriture est immersive car très visuelle. Le lecteur n'a aucun mal à s'imaginer les scènes apocalyptiques de ce livre car il suffit d'allumer la télé pendant le journal de vingt heures pour les voir. C'est parfois réaliste au point que je me suis demandé si l'on pouvait vraiment le qualifier de dystopie. C'est un texte plein d'émotions, face aux tragédies vécues par les personnages principaux. Tout le long, j'ai été en apnée autant que la nature et les protagonistes. l'auteur let en avant l'importance de la nature pour l'être humain. Quand la nature brûle l'Homme meurt, quand la nature revit l'Homme recommence à respirer. Cependant, je n'ai pas réussit à comprendre pourquoi New York est le lieu où tout le monde finit par se retrouver, j'aurais aimé que l'auteur...
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  • Zephyrine 26/04/2023
    Le grand incendie est une dystopie écologique. Etats-Unis, la Californie est totalement dévastée par les flammes, projetant sur les routes et dans des stades des milliers de personnes qui tentent d'échapper à la catastrophe. Virginia, qui a vécu une tragédie de ce type quand elle était enfant et vit en Oregon, part à contre courant du flux pour tenter de retrouver son père qui était retourné vivre en Californie. Sibérie, Ianov, fuit au même un incendie qui ravage la Taïga. Lui est à la tête d'un cortège d'animaux qui quittent la forêt pour fuir l'incendie. Cette drôle de troupe marche sans but, essaie juste de fuir les cendres...Le premier contact avec une ville ne sera pas simple... Asna, au Kurdistan, tente de sauver ce qu'elle peut des récoltes qui sont sous les flammes. Ces terres dont les ancêtres étaient si fiers, qui ont nourri des générations, ne sont plus que cendres.... Partout donc sur la planète, le grand incendie fait rage. A New-York, douze enfants s'immolent devant Wall Street pour protester contre toute l'inaction qui a causé tout cela. Et c'est au pied de ce mausolée que les trois personnages principaux vont se retrouver. Devant toutes leurs pertes, ils ont besoin d'un but, de partager ce qui n'est plus mais qui sera.... C'est une dystopie à la fois violente de réalisme et en même temps très poétique...Les personnages principaux révèlent à la fois beaucoup de force et beaucoup de fragilité, la résilience les habitent. J'ai beaucoup aimé cette lecture qui amène à la réflexion sur notre planète. Merci à Netgalley et Presses de la cité pour cette lecture. Le grand incendie est une dystopie écologique. Etats-Unis, la Californie est totalement dévastée par les flammes, projetant sur les routes et dans des stades des milliers de personnes qui tentent d'échapper à la catastrophe. Virginia, qui a vécu une tragédie de ce type quand elle était enfant et vit en Oregon, part à contre courant du flux pour tenter de retrouver son père qui était retourné vivre en Californie. Sibérie, Ianov, fuit au même un incendie qui ravage la Taïga. Lui est à la tête d'un cortège d'animaux qui quittent la forêt pour fuir l'incendie. Cette drôle de troupe marche sans but, essaie juste de fuir les cendres...Le premier contact avec une ville ne sera pas simple... Asna, au Kurdistan, tente de sauver ce qu'elle peut des récoltes qui sont sous les flammes. Ces terres dont les ancêtres étaient si fiers, qui ont nourri des générations, ne sont plus que cendres.... Partout donc sur la planète, le grand incendie fait rage. A New-York, douze enfants s'immolent devant Wall Street pour protester contre toute l'inaction qui a causé tout cela. Et c'est au pied de ce mausolée que les trois personnages principaux vont se retrouver. Devant toutes leurs pertes, ils ont besoin d'un...
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  • Asiki 20/04/2023
    Un livre qui secoue. Lorsque les flammes brisent tout, lorsque ces paysages aimés sont dévastés, que reste-t-il ? L'exil ! A travers des personnages qui s'entrecroisent, Antoine Sabot fournit un récit poignant des catastrophes à venir. Les paysages sont bien détaillés, la sibérie, New York, l'Ouest américain... Et une place centrale est accordée aux chevaux, comme des personnages secondaires qui ornent le récit.
  • evergreen13 08/03/2023
    Embrasés En 2018 la petite ville de Paradise en Californie était anéantie par un gigantesque incendie. Quinze ans plus tard, Virginia quitte l’Oregon où elle était réfugiée, et prend la route pour tenter de retrouver son père, avec lequel elle a perdu tout contact ou presque et qui se trouverait à nouveau au cœur du brasier. Car depuis quinze ans, tout a empiré. La saison des feux n’a plus ni début, ni fin. Tout l’ouest américain est la proie des flammes, jetant sur la route des millions de refugiés. En Sibérie Orientale, un méga-feu a ravagé un territoire immense. Ivanov, un ancien soldat traumatisé par la guerre, y a tout perdu. Lui aussi prend la route, à pieds, accompagnant sa jument agonisante. Ils sont bientôt rejoints par une cohorte improbable d’animaux rescapés fuyant les cendres. Au Kurdistan, Asna et Oslan voient leur village et les récoltes anéantis en quelques minutes par le feu. Un feu déclenché par des bombes incendiaires apportées par de très jeunes terroristes suicidaires. A leur tour ils décident de partir, de tout quitter pour un monde qu’ils espèrent meilleur. Ce roman d’anticipation apocalyptique est une vraie claque car il dépeint un avenir ultra réaliste. Il suffit de suivre les actualités : chaque année, des incendies toujours plus incontrôlables se déclenchent partout dans le monde (début février 2023 au Chili, été 2022 en Gironde). En cause, le dérèglement climatique certes, mais surtout l’irresponsabilité des hommes, et la culpabilité d’un système économique et politique sans vision pour le futur, exploitant jusqu’à la trame les ressources de la Terre. Un système arrivé à bout de course, tout le monde ou presque est d’accord sur le constat… Alors, tel le phénix, notre monde peut-il renaître de ses cendres ? En excellent lanceur d’alerte, l’auteur ne donne pas de leçon et diffuse à la fin, un message d’espoir, bienvenu, car ses 288 pages sont très fortes et chargées d’émotions. Un roman très crédible qui peut aider à la prise de conscience. Je remercie chaleureusement NetGalley et Les éditions Presses de la Cité pour m’avoir permis de découvrir cet excellent livre. #LeGrandIncendie #NetGalleyFrance Paradise https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/incendies-en-californie/en-californie-la-ville-de-paradise-tente-de-se-reconstruire-deux-ans-apres-un-effroyable-incendie_4114901.html Embrasés En 2018 la petite ville de Paradise en Californie était anéantie par un gigantesque incendie. Quinze ans plus tard, Virginia quitte l’Oregon où elle était réfugiée, et prend la route pour tenter de retrouver son père, avec lequel elle a perdu tout contact ou presque et qui se trouverait à nouveau au cœur du brasier. Car depuis quinze ans, tout a empiré. La saison des feux n’a plus ni début, ni fin. Tout l’ouest américain est la proie des flammes, jetant sur la route des millions de refugiés. En Sibérie Orientale, un méga-feu a ravagé un territoire immense. Ivanov, un ancien soldat traumatisé par la guerre, y a tout perdu. Lui aussi prend la route, à pieds, accompagnant sa jument agonisante. Ils sont bientôt rejoints par une cohorte improbable d’animaux rescapés fuyant les cendres. Au Kurdistan, Asna et Oslan voient leur village et les récoltes anéantis en quelques minutes par le feu. Un feu déclenché par des bombes incendiaires apportées par de très jeunes terroristes suicidaires. A leur tour ils décident de partir, de tout quitter pour un monde qu’ils espèrent meilleur. Ce roman d’anticipation apocalyptique est une vraie claque car il dépeint un avenir ultra réaliste. Il suffit de suivre...
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