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Les Ennuis, c'est mon problème (Nouvelle édition)
Alain Demouzon (préface de)
Date de parution : 08/10/2020
Éditeurs :
Omnibus

Les Ennuis, c'est mon problème (Nouvelle édition)

Alain Demouzon (préface de)
Date de parution : 08/10/2020

Style incisif, dialogues percutants et humour : les vingt-cinq nouvelles du maître du roman noir américain, créateur de Philip Marlowe, pour la première fois réunies.
Préface d'Alain Demouzon

Les Ennuis, c'est mon problème
Intégrale des nouvelles de Raymond Chandler,
suivie de Simple comme le crime, essai sur le roman policier.

Los Angeles, dans les années 1930. Il est...

Les Ennuis, c'est mon problème
Intégrale des nouvelles de Raymond Chandler,
suivie de Simple comme le crime, essai sur le roman policier.

Los Angeles, dans les années 1930. Il est détective privé. Il se voit confier des affaires de chantage, de vols de bijoux ou d'intimidation. Il est incorruptible, audacieux...

Les Ennuis, c'est mon problème
Intégrale des nouvelles de Raymond Chandler,
suivie de Simple comme le crime, essai sur le roman policier.

Los Angeles, dans les années 1930. Il est détective privé. Il se voit confier des affaires de chantage, de vols de bijoux ou d'intimidation. Il est incorruptible, audacieux et dissimule sa sensibilité sous une carapace de dur à cuire. Au cours de ses enquêtes, il ne compte plus les cadavres et les coups reçus sur la tête ? qu'un verre de whisky suffira à apaiser. Il a pour nom Mallory, Carmady, Evans ou Dalmas, mais il a déjà la silhouette de Philip Marlowe. Il promène son ironie et sa nonchalance parmi les gangsters, les patrons de tripot, les flics corrompus et les beautés fatales.

Avec ces vingt-cinq nouvelles nerveuses et musclées, réunies pour la première fois en français, Raymond Chandler décrit un monde de violence, d'avidité et de trahison avec un rythme, un humour, un sens du détail et de la repartie qui ont fait de lui un des grands maîtres du roman noir, modèle de plusieurs générations d'écrivains.

« Raymond Chandler a inventé une nouvelle façon de parler de l'Amérique, et l'Amérique n'a plus été la même depuis. » Paul Auster

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EAN : 9782258193659
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 1216
Format : 132 x 198 mm
EAN : 9782258193659
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 1216
Format : 132 x 198 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lehibook 26/05/2019
    Des grosses bagnoles pleines de chrome, du gin, des coups, des rouquines tueuses , des gros bras , des beignes , du whisky, des rouquines tuées , des flingues, des privés , des matraques , des cartes sur tables, des dessous de table , des tables de morgue , des rouquines tuantes. Tous les mecs sont Bogart , toutes les femmes sont Bacall , le monde en noir et blanc , allez viens on se refait une toile…
  • philippesahonet 08/03/2019
    Ce n'est pas le meilleur Chandler, mais c'est sympa, quand même. c'est un recueil de nouvelles (plus un essai) publiées à l'époque dans la presse quotidienne. Certaines nouvelles ont été, apparemment, écrites à la "va-vite" et ça se voit, enfin, ça se lit. Pas grave, ça reste quand même un bouquin sympa.
  • NOIRdePOLARS 11/11/2011
    Trois mots s’appliquent aux romans de Chandler : dureté, vivacité, humour. La dureté est présente dans tous ses romans, et on peut avancer qu’elle date. Au mieux, elle est incompréhensible, du moins aux yeux d’un européen (le coup de poing remplace souvent la poignée de mains et tient lieu d’entrée en matière), et elle heurte souvent la logique (sauf précisément si le privé, héros du polar, conçoit le coup de poing comme amuse-gueule avant d’amorcer le dialogue). Ce n’est pas ça qu’on retiendra chez Chandler. La vivacité du style lui fait perdre quelques « belles manières » : Chandler va droit au but, droit dans ses bottines vernies, le costume ne s’en froisse même pas. Cet auteur ne sera jamais enseigné au lycée, mais après tout ce n’est pas non plus ce dont il rêvait lorsque, ruiné par la crise de 1929, il se mit sérieusement à l’écriture en 1939. Chandler construit donc des romans (car il les construit de a à Z, sans se laisser emporter par ses personnages) simples, avec peu de personnages, et l’action est simple également. Un Chandler, ce n’est pas un Conan Doyle, et… heureusement. L’humour : cette qualité chez Chandler n’a pas pris une ride, et cet humour ne ressemble à aucun autre… Il est donc dur de vous en parler. On accroche ou pas, moi oui ! « Les pépins c’est mes oignons » est donc, comme d’hab, le roman d’un privé qui commence par prendre beigne sur claque, évite avec succès les nombreux pruneaux dont est parsemée l’aventure, avant que de réussir à élucider un mystère qui n’en est pas un. Amoureux d’énigmes, passez votre chemin. Amateurs de romans noirs, arrêtez-vous : bien meilleur qu’ »Efface la rouquine » également critiqué sur ce site, « Les pépins c’est mes oignons » mérite d’être (re)lu pour son ambiance années 30 et son humour particulièrement grinçant.Trois mots s’appliquent aux romans de Chandler : dureté, vivacité, humour. La dureté est présente dans tous ses romans, et on peut avancer qu’elle date. Au mieux, elle est incompréhensible, du moins aux yeux d’un européen (le coup de poing remplace souvent la poignée de mains et tient lieu d’entrée en matière), et elle heurte souvent la logique (sauf précisément si le privé, héros du polar, conçoit le coup de poing comme amuse-gueule avant d’amorcer le dialogue). Ce n’est pas ça qu’on retiendra chez Chandler. La vivacité du style lui fait perdre quelques « belles manières » : Chandler va droit au but, droit dans ses bottines vernies, le costume ne s’en froisse même pas. Cet auteur ne sera jamais enseigné au lycée, mais après tout ce n’est pas non plus ce dont il rêvait lorsque, ruiné par la crise de 1929, il se mit sérieusement à l’écriture en 1939. Chandler construit donc des romans (car il les construit de a à Z, sans se laisser emporter par ses personnages) simples, avec peu de personnages, et l’action est simple également. Un Chandler, ce n’est pas un Conan Doyle, et… heureusement. L’humour : cette qualité chez Chandler n’a pas pris une ride, et...
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  • zhivago 16/04/2011
    Ma lecture de réconfort préférée. La source de tout les justiciers solitaires modernes.
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