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Les Filles de la section Caméléon
Collection : Terres de France
Date de parution : 02/06/2022
Éditeurs :
Presses de la cité

Les Filles de la section Caméléon

Collection : Terres de France
Date de parution : 02/06/2022
La guerre de 14 vécue à travers le quotidien d’ouvrières, la Section Caméléon, expertes dans l’art du camouflage.
Grâce à ce roman, Martine Marie Muller ouvre une page méconnue de notre Histoire et rend un hommage vivant, vibrant, puissant, à une communauté de femmes solidaires et hautes en couleur.
3 août 1914. Le premier mort français de la guerre ne fut pas le fait d’un Allemand… mais d’une femme qui repoussait les assauts de son mari ! Sous le... 3 août 1914. Le premier mort français de la guerre ne fut pas le fait d’un Allemand… mais d’une femme qui repoussait les assauts de son mari ! Sous le nom de Colline La Chance, celle-ci se réfugie à Amiens. Et elle sera la chance de la Citadelle, village abandonné... 3 août 1914. Le premier mort français de la guerre ne fut pas le fait d’un Allemand… mais d’une femme qui repoussait les assauts de son mari ! Sous le nom de Colline La Chance, celle-ci se réfugie à Amiens. Et elle sera la chance de la Citadelle, village abandonné que vont peupler deux cents femmes rejetées, filles mères, veuves... Là, sous la direction du peintre Scévola, chef de la toute nouvelle section Caméléon, et de ses décorateurs de théâtre, elles vont devenir expertes dans l’art naissant du camouflage qui doit épargner la vie des soldats, en fabriquant faux arbres, fausses vaches, faux chevaux, vestes « caméléon ».
C’est toute la vie de cette communauté d’ouvrières solidaires, gouailleuses, émouvantes que l’on découvre autour de Colline. Elles réapprennent à aimer, à survivre, à retrouver l’estime d’elles-mêmes au milieu des surprises de l’existence… Comme l’arrivée d’un chien, un certain Rintintin…
Une histoire vraie, magnifique, qui célèbre des oubliées de l’Histoire.
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EAN : 9782258197886
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 512
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782258197886
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 512
Format : 140 x 225 mm

Ils en parlent

« Un roman magnifique, allègre et plein de surprises, qui rend hommage, également, à la section Caméléon, une communauté d’artistes spécialisés dans l’art du camouflage pendant la Première Guerre mondiale. »
Les Affiches d'Alsace et de Lorraine
« un hommage puissant à une communauté de femmes solidaires et hautes en couleur. »
Les informations dieppoises
« Un sujet magnifique sur des faits réels. »
Courrier français

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • evergreen13 24/09/2023
    Le théâtre des opérations 1914 : Colette ne supporte plus les viols conjugaux de son mari. Le jour de la déclaration de guerre, en tentant de repousser ses assauts, elle l’assomme d’un coup sur la tête. Le croyant mort, elle s’enfuit sur sa bicyclette et rejoint Amiens où elle se fait embaucher comme ouvrière aux « Velours » un atelier de confection qui emploie ou plutôt exploite les femmes de la région. Mais la guerre s’installe et se rapproche d’Amiens. Les ateliers ferment… Les femmes se retrouvent sur le pavé, jusqu’au jour où elles vont devenir « les filles de la section caméléon », les ouvrières spécialisées dans le camouflage militaire. J’ignorais tout de ce volet de l’Histoire de la Grande Guerre. Il est vrai qu’entre 1914 et 1915, les soldats français portaient un uniforme au pantalon garance ! Rien de mieux pour être repéré par l’ennemi et tiré comme des lapins… Ce sont des décorateurs de théâtre (la plupart des théâtres parisiens étaient fermés) qui ont l’idée de « recycler » leurs décors dans le contexte militaire : camoufler les canons, les positions des soldats, créer de faux arbres qui permettront à des tireurs de s’embusquer sans risque, fabriquer de fausses vaches qui pourront être déplacées, puis en 1917, des vrais faux tanks directement inspirés des véhicules anglais. A force de démonstrations, ils sont parvenus à convaincre l’Etat Major (notamment le Général de Castelnau) de la nécessité d’utiliser ce « maquillage ». J’ignorais tout du destin extraordinaire de ces femmes que l’auteure installe dans une cité ouvrière abandonnée (fictive) « La Citadelle ». Colette, devenue Colline La Chance, ses amies Vovonne et Cupéli échappent ainsi pour un temps à l’extrême pauvreté de leur condition d’ouvrières du textile et elles vont sauver des milliers de vie. Ce roman historique est inspiré de faits réels, de personnes ayant existées, tels les décorateurs Louis Bérard et Emile Bertin, le peintre Lucien-Victor Guirand de Scévola, le créateur de Bécassine Joseph Pinchon. Mais l’auteure a su donner vie aux personnages fictifs, notamment les femmes de la Citadelle, des veuves, des filles-mères, dont la plupart étaient rejetées par leur famille et qui n’avaient nulle part où aller. La section Caméléon leur a donné plus qu’une seconde chance, une véritable identité. C’est aussi l’occasion d’en apprendre un peu plus sur la condition féminine à l’orée du XXème siècle à travers ces ouvrières mais aussi les comédiennes de théâtre et les femmes de la « bonne société ». Aucune n’était épargnée par les épreuves dues à la guerre : chacune avait au moins un membre de sa famille au front, frère, neveu, fiancé, mari... Puis, alors que les combats semblent terminés, la grippe espagnole frappe indifféremment soldats, officiers et civils. Un bon roman qui conjugue avec succès les petites histoires dans la grande Histoire et qui fait la part belle à de beaux personnages féminins. Le théâtre des opérations 1914 : Colette ne supporte plus les viols conjugaux de son mari. Le jour de la déclaration de guerre, en tentant de repousser ses assauts, elle l’assomme d’un coup sur la tête. Le croyant mort, elle s’enfuit sur sa bicyclette et rejoint Amiens où elle se fait embaucher comme ouvrière aux « Velours » un atelier de confection qui emploie ou plutôt exploite les femmes de la région. Mais la guerre s’installe et se rapproche d’Amiens. Les ateliers ferment… Les femmes se retrouvent sur le pavé, jusqu’au jour où elles vont devenir « les filles de la section caméléon », les ouvrières spécialisées dans le camouflage militaire. J’ignorais tout de ce volet de l’Histoire de la Grande Guerre. Il est vrai qu’entre 1914 et 1915, les soldats français portaient un uniforme au pantalon garance ! Rien de mieux pour être repéré par l’ennemi et tiré comme des lapins… Ce sont des décorateurs de théâtre (la plupart des théâtres parisiens étaient fermés) qui ont l’idée de « recycler » leurs décors dans le contexte militaire : camoufler les canons, les positions des soldats, créer de faux arbres qui permettront à des tireurs de s’embusquer sans risque, fabriquer de fausses...
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  • iz43 15/04/2023
    Un roman passionnant qui met en lumière des oubliées de la guerre: des femmes qui ont participé à l'effort de guerre en travaillant pour l'armée en fabriquant de quoi camoufler les soldats et leur armement. J'ai tout de suite accroché avec l'héroïne. Alors que le tocsin sonne le début de la guerre, un mari alcoolique braguette ouverte s'apprête à violer une nouvelle fois sa femme. Sauf que cette fois, la jeune femme lui assène un coup de Christ en bronze sur la tête. La jeune femme, persuadée d'avoir tué son mari, s'enfuit jusqu'à Amiens . Là elle se fera appeler Colline La chance car elle est bien décidée à reconstruire sa vie. Elle se fera embauché à la citadelle ainsi que 200 femmes pour fabriquer des fausses vaches, des faux arbres, de faux canons, des feuilles, et même de faux tanks ! L'art du camouflage venait de naître. Surtout que nos pauvres soldats en étaient encore à l'uniforme bleu et rouge histoire d'être bien vus de l'ennemi ! A la tête de la citadelle, des artistes de théâtre qui vont diriger les opérations. Je ne connaissais pas du tout cet aspect de la première guerre mondiale (à part le changement d'uniforme !) et j'ai trouvé ça passionnant de les voir imaginer et fabriquer ces instruments de camouflage. Ils ont certainement contribué à sauver beaucoup de vies et c'est dommage de ne pas avoir mieux saluer leur travail et leur intelligence. Travail pénible dans des conditions de vie pas possibles pour ces pauvres femmes. Mais Colline va être la chance de toutes car aux côtés de Vovonne , elle aura à coeur de trouver des idées pour améliorer le quotidien des femmes. La plume de l'auteure est agréable. J'ai passé un très bon moment de lecture. Un roman passionnant qui met en lumière des oubliées de la guerre: des femmes qui ont participé à l'effort de guerre en travaillant pour l'armée en fabriquant de quoi camoufler les soldats et leur armement. J'ai tout de suite accroché avec l'héroïne. Alors que le tocsin sonne le début de la guerre, un mari alcoolique braguette ouverte s'apprête à violer une nouvelle fois sa femme. Sauf que cette fois, la jeune femme lui assène un coup de Christ en bronze sur la tête. La jeune femme, persuadée d'avoir tué son mari, s'enfuit jusqu'à Amiens . Là elle se fera appeler Colline La chance car elle est bien décidée à reconstruire sa vie. Elle se fera embauché à la citadelle ainsi que 200 femmes pour fabriquer des fausses vaches, des faux arbres, de faux canons, des feuilles, et même de faux tanks ! L'art du camouflage venait de naître. Surtout que nos pauvres soldats en étaient encore à l'uniforme bleu et rouge histoire d'être bien vus de l'ennemi ! A la tête de la citadelle, des artistes de théâtre qui vont diriger les opérations. Je ne connaissais pas du tout cet aspect de la première guerre mondiale (à part le changement d'uniforme !)...
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  • Anthan 24/10/2022
    Pendant le première guerre mondiale, des femmes vont se retrouver dans un atelier afin de construire les premiers camouflages utilisés par l’armée. Ces femmes ont toutes des parcours de vie différents et trouveront là un nouveau départ, une nouvelle raison de vivre et surtout un famille. Ce roman est très réussi. Il nous plonge dans la quotidien des femmes lors du premier conflit mondial. Le thème de la guerre est là mais ce ne sont pas les hommes ni mes combats dont il s’agit ici. Le sujet est le travail de ces femmes devenu nécessaire aux soldats afin de tromper l’ennemi et comment ces femmes se réinventent un quotidien mais aussi une vie durant ces temps difficiles. Une lecture qui satisfera les amateurs d’histoire de France mais aussi ceux qui aiment les récits bien construits avec des personnages attachants. Merci à #NetGalleyFrance et aux presses de la cité pour la lecture de roman
  • AUDRIT 21/07/2022
    Encore une partie d'Histoire fort mal connue, ou pas connue du tout, ce qui était mon cas. "La section Caméléon" L'Histoire de femmes, pendant la guerre 14-18, écrite par une femme, qui a su mettre en exergue les sentiments et ressentis de ces âmes en peine, de ces filles esseulées et perdues qui vont retrouver l'estime d'elles-mêmes le temps d'une guerre mais hélas n'en seront pas très reconnues, ni récompensées à son issue ; elles seront vite oubliées et ignorées des livres d'Histoire. Une auteure que je lis pour la 1ère fois et en suis enchantée. Une belle écriture, des dialogues vifs, des épisodes croustillants et pas de temps morts. Des femmes, des enfants, des soldats et même un chien devenu très célèbre vont nous embarquer dans leur extraordinaire aventure. L'armée mandate au sein de ses troupes deux hommes décorateurs de théâtre, un dessinateur, un peintre tels que Louis Bérard et Émile Bertin, pour les premiers, Joseph Pinçon créateur de Bécassine et le peintre Lucien-Victor Guirand de Scévola pour terminer, des personnages qui ont réellement existés. Ils ont pour mission de réfléchir à la création de leurres pour tromper l'ennemi. Pour ce faire, ces hommes auront besoin de main d'œuvre pour mettre en application et créer tous ses décors grandeur nature. Ce sont des femmes, recrutées dans les filatures, usines ou autres de la région d'Amiens, qui vont s'atteler à l'ouvrage. C'est, équipées de pinceaux, clous, vis et marteaux, machines à coudre et ciseaux mais surtout armées d'endurance et de courage qu'elles vont œuvrer sans compter leurs heures, tout au long de la 1ère guerre mondiale pour créer des décors pharaoniques plus vrais que nature. Petit à petit elles vont s'investir aussi dans le lieu abandonné sur lequel on les a transférées pour ne pas dire parquées, constitué de hangars et baraques de bois, c'est à la sueur de leur front et aussi grâce à des dons collectés qu'elles vont créer leur propre petit village qu'elles nommeront "La Citadelle", pont toilette, laverie, garderie, école, etc seront sollicités et accordés, une communauté forte et indépendante qui s'autogère est née, la section Caméléon peut travailler en toute quiétude. Cette section Caméléon qui a œuvré, en créant de fausses vaches, de fausses meules, de faux arbres, de faux champs, de faux terrains, de fausses routes, cousus des vestes adaptées aux couleurs du terrain, bref des leurres pour tromper les pilotes d'avions ennemis et approcher au plus près les lignes adverses, cette section donc, a aidé en favorisant le camouflage de l'armée française à sauver la vie de beaucoup d'hommes et à gagner des batailles. Une section qui en fin de guerre éclate, d'autant que la grippe espagnole fait rage et c'est le cœur lourd et triste que chacune devra retourner ou pas vers ses galères, sans aide ni reconnaissance du gouvernement. C'est à travers ces 4 années de guerre que nous allons les suivre et nous attacher à elles, à Céline, Capulie, Vovonne, Yvette et toutes les autres. Nous allons même faire la connaissance de Rintintin, ce célèbre chien qui nous a tant fait rêver petits en regardant ses films. Un roman très émouvant, plein de bon sens, merci à Martine-Marie Muller pour ce bel hommage rendu et merci aux Presses de la Cité-Terres de France et à Marie-Jeanne en particulier pour son envoi en SP. J'ai adoré !Encore une partie d'Histoire fort mal connue, ou pas connue du tout, ce qui était mon cas. "La section Caméléon" L'Histoire de femmes, pendant la guerre 14-18, écrite par une femme, qui a su mettre en exergue les sentiments et ressentis de ces âmes en peine, de ces filles esseulées et perdues qui vont retrouver l'estime d'elles-mêmes le temps d'une guerre mais hélas n'en seront pas très reconnues, ni récompensées à son issue ; elles seront vite oubliées et ignorées des livres d'Histoire. Une auteure que je lis pour la 1ère fois et en suis enchantée. Une belle écriture, des dialogues vifs, des épisodes croustillants et pas de temps morts. Des femmes, des enfants, des soldats et même un chien devenu très célèbre vont nous embarquer dans leur extraordinaire aventure. L'armée mandate au sein de ses troupes deux hommes décorateurs de théâtre, un dessinateur, un peintre tels que Louis Bérard et Émile Bertin, pour les premiers, Joseph Pinçon créateur de Bécassine et le peintre Lucien-Victor Guirand de Scévola pour terminer, des personnages qui ont réellement existés. Ils ont pour mission de réfléchir à la création de leurres pour tromper l'ennemi. Pour ce faire, ces hommes...
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  • lyanea 18/07/2022
    Avis : INCROYABLE Dans les romans de ce genre, ce que j’aime c’est le mélange parfait entre fiction et réalité historique ; ici, c’est superbement réussi avec une force incroyable. Colline la Chance n’est pas son vrai nom mais qui s’en soucie dans la France de 1914 qui vient d’entrer en guerre et dont les pères, maris, frères, partent au combat. Elle a fui en croyant avoir tué son mari et elle se retrouve à la Citadelle, près d’Amiens, au milieu d’autres ouvrières sans logis pour travailler sur des leurres et mettre sur pied les idées lumineuses de camouflage des peintres et des décorateurs qui les dirigent. Lucien-Victor Guirand de Scévola est le grand chef de la section Caméleon. Autour d’eux vont évoluer des militaires, des comédiennes, et tout un monde de miséreuses que la faim, la peur, le malheur vont transformer en femmes courageuses et déterminées. Durant quatre ans, elles vont se battre pour sauver des vies en fabriquant du faux. Quelle histoire ! Parfaitement maîtrisée de bout en bout, cette fiction s’appuie sur les faits et les témoignages de l’époque mais laisse les passions amoureuses et familiales donner vie à des personnages exaltés et exaltants, comme Colline la bien nommée. Dès les premières pages, un humour noir que l’on ne s’attend pas forcément à trouver sous la plume d’une auteure et au cœur des tourmentes du quotidien, attire mon attention et me force à regarder l’ouvrage avec un œil encore plus intéressé. Et les informations défilent ; j’apprends. Tout ceci dans un souffle puissant ! L’écriture est vive, précise, rigoureuse et ne laisse pas de répit ; je lis comme ils se battent : avec acharnement. Je cherche à comprendre ce que l’auteure ne cache pas et qu’elle délivre dans des phrases cinglantes. L’impéritie des chefs est abondamment décrite. Mais il y a en face le courage, l’abnégation des moins que rien qui font et défont, non pour sauver la France qui se fiche bien d’eux mais pour garder le plus grand nombre d’hommes, vivants. Martine Marie Muller a dans sa plume la volonté de défendre l’honneur des petits ; elle le fait avec grande maestria. Je ne peux que vous engager à découvrir cette romancière reconnue, certains d’entre vous la suivent sûrement depuis longtemps. Pour moi, c’était une première fois et je remercie les Presses de la Cité et #NetGalleyFrance pour le SP de #LesfillesdelasectionCaméléon Avis : INCROYABLE Dans les romans de ce genre, ce que j’aime c’est le mélange parfait entre fiction et réalité historique ; ici, c’est superbement réussi avec une force incroyable. Colline la Chance n’est pas son vrai nom mais qui s’en soucie dans la France de 1914 qui vient d’entrer en guerre et dont les pères, maris, frères, partent au combat. Elle a fui en croyant avoir tué son mari et elle se retrouve à la Citadelle, près d’Amiens, au milieu d’autres ouvrières sans logis pour travailler sur des leurres et mettre sur pied les idées lumineuses de camouflage des peintres et des décorateurs qui les dirigent. Lucien-Victor Guirand de Scévola est le grand chef de la section Caméleon. Autour d’eux vont évoluer des militaires, des comédiennes, et tout un monde de miséreuses que la faim, la peur, le malheur vont transformer en femmes courageuses et déterminées. Durant quatre ans, elles vont se battre pour sauver des vies en fabriquant du faux. Quelle histoire ! Parfaitement maîtrisée de bout en bout, cette fiction s’appuie sur les faits et les témoignages de l’époque mais laisse les passions amoureuses et familiales donner vie à des personnages exaltés et exaltants, comme Colline la bien nommée. ...
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