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Les meufs c'est des mecs bien
Date de parution : 01/06/2023
Éditeurs :
Clique Éditions

Les meufs c'est des mecs bien

Date de parution : 01/06/2023
« Je sais, là, vous vous dites que j’suis un iench et vous avez sans doute raison. Sauf que, dans une époque où seules les polémiques et propos clivants garantissent un semblant de visibilité, et... « Je sais, là, vous vous dites que j’suis un iench et vous avez sans doute raison. Sauf que, dans une époque où seules les polémiques et propos clivants garantissent un semblant de visibilité, et que mon but ultime étant de bicrave ce bouquin afin d’accéder à la propriété (appartement, maison, voire yacht si Allah est ok), j’ai... « Je sais, là, vous vous dites que j’suis un iench et vous avez sans doute raison. Sauf que, dans une époque où seules les polémiques et propos clivants garantissent un semblant de visibilité, et que mon but ultime étant de bicrave ce bouquin afin d’accéder à la propriété (appartement, maison, voire yacht si Allah est ok), j’ai décidé de disséminer par-ci par-là quelques dingueries qui, sorties de leur contexte, me permettront de bénéficier d’une couverture médiatique gratuite provoquée par deux trois individus malhonnêtes souhaitant m’faire passer pour l’enculé qui confortera leurs croyances. Bref, j’vous gratte maintenant ce que j’ai vraiment dit… »

Après son premier roman L'amour, c’est surcoté, Mourad Winter envoie son antihéros Wourad s’aventurer sur la piste noire de la vie.

Ne reste qu’une seule certitude chez ce mâle dominé par ses contradictions : Les meufs c’est des mecs bien.

« Et si finalement c’était pas ça le point de convergence de toutes les religions : que j’aille en enfer ? »
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EAN : 9782493865076
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 336
Format : 130 x 200 mm
EAN : 9782493865076
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 336
Format : 130 x 200 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Idiosyncrazy 19/01/2024
    Quand j'ai commencé ce livre, j'ai d'abord été déroutée par le début, qui nous plonge directement dans une situation... particulière. Difficile de s'attacher au narrateur pendant les premières pages, mais au fil de la lecture, on s'attache de plus en plus à ce type un peu paumé, avec des amis plus que discutables, de sacrées anecdotes, et une manière de raconter les choses vraiment drôle. J'avoue ne pas avoir tout compris au vocabulaire employé par la narrateur, n'étant pas vraiment familière avec la langage de la street (si j'ose dire), mais avec le contexte des phrases je ne me suis pas sentie complètement perdue pour autant. Ayant abandonné l'idée de chercher les définitions de chaque mot inconnu, ça ne m'a pour autant pas vraiment gêné dans ma lecture. La manière d'écrire est elle aussi particulière dans son enchaînement de dialogues, dans la construction des phrases... mais cela sert bien le récit ! En tout cas, cela faisait longtemps que je n'avais pas autant ri devant un livre, que ce soit avec les situations improbable ou la manière de raconter du narrateur, il y a énormément de moments ou juste de simples phrases qui sont vraiment drôles. Je suis d'autant plus curieuse de lire le premier livre de cet auteur !Quand j'ai commencé ce livre, j'ai d'abord été déroutée par le début, qui nous plonge directement dans une situation... particulière. Difficile de s'attacher au narrateur pendant les premières pages, mais au fil de la lecture, on s'attache de plus en plus à ce type un peu paumé, avec des amis plus que discutables, de sacrées anecdotes, et une manière de raconter les choses vraiment drôle. J'avoue ne pas avoir tout compris au vocabulaire employé par la narrateur, n'étant pas vraiment familière avec la langage de la street (si j'ose dire), mais avec le contexte des phrases je ne me suis pas sentie complètement perdue pour autant. Ayant abandonné l'idée de chercher les définitions de chaque mot inconnu, ça ne m'a pour autant pas vraiment gêné dans ma lecture. La manière d'écrire est elle aussi particulière dans son enchaînement de dialogues, dans la construction des phrases... mais cela sert bien le récit ! En tout cas, cela faisait longtemps que je n'avais pas autant ri devant un livre, que ce soit avec les situations improbable ou la manière de raconter du narrateur, il y a énormément de moments ou juste de simples phrases qui sont vraiment drôles. Je suis d'autant plus curieuse de...
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  • seb_ply 11/01/2024
    Wourad est en couple avec Adélaïde depuis deux ans et on découvre le personnage en train de faire une connerie au début du roman de Mourad Winter. De son côté Adélaïde souhaite parler à Sourad d'un changement radical qu'elle est en train de faire dans sa vie. Ajoutez à cela Junior, le pote cassos de Wourad qui n'en loupe pas une et vous avez le terreau d'un bon roman de Mourad Winter. Toujours aussi rythmé, avec des punchlines d'anthologie une ligne sur deux, l'auteur revient fort dans ce second roman et comme dans "L"amour, c'est surcoté", on prend beaucoup de plaisir à retrouver sa plume acerbe et cynique. Mourad Winter dote ses personnages d'une répartie unique, d'un humour noir que l'on retrouve que chez lui, et Wourad le personnage principal ne fait pas exception. On entre dans sa tête dans ce roman et on voit son quotidien partir en live sous nos yeux. Ses potes lui mettent la misère, sa copine est redoutable et ne le loupe pas dès que l'occasion se présente tout comme sa soeur Nora. Certains trouveront que c'est trop, d'autres auront du mal avec les multiples références du bouquin. Mais pour celles et ceux qui ont déjà adhéré à "L'amour, c'est surcoté", foncez vous procurer ce second bouquin. C'est toujours aussi bien vu et c'est un régal du début à la fin.Wourad est en couple avec Adélaïde depuis deux ans et on découvre le personnage en train de faire une connerie au début du roman de Mourad Winter. De son côté Adélaïde souhaite parler à Sourad d'un changement radical qu'elle est en train de faire dans sa vie. Ajoutez à cela Junior, le pote cassos de Wourad qui n'en loupe pas une et vous avez le terreau d'un bon roman de Mourad Winter. Toujours aussi rythmé, avec des punchlines d'anthologie une ligne sur deux, l'auteur revient fort dans ce second roman et comme dans "L"amour, c'est surcoté", on prend beaucoup de plaisir à retrouver sa plume acerbe et cynique. Mourad Winter dote ses personnages d'une répartie unique, d'un humour noir que l'on retrouve que chez lui, et Wourad le personnage principal ne fait pas exception. On entre dans sa tête dans ce roman et on voit son quotidien partir en live sous nos yeux. Ses potes lui mettent la misère, sa copine est redoutable et ne le loupe pas dès que l'occasion se présente tout comme sa soeur Nora. Certains trouveront que c'est trop, d'autres auront du mal avec les multiples références du bouquin. Mais pour celles et ceux qui ont...
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  • NoemieTrnr 05/01/2024
    Je ne me souviens pas avoir autant ri avec un livre. J'ai était prise de fou rire à en réveiller mon clébard. Je ne compte plus le nombre de fois. Génial, drôle, complètement absurde, ce livre c'est une dinguerie ! En fait c'est l'histoire de Wourad, sa meuf qu'on surnommera Adé, veut se convertir à l'islam. Gros bordel parce que Wourad il s'en pète un peu un rein de la religion. Pour lui Dieu c'est juste au cas-où, si y'a moyen de gratter une ptite place au paradis tu vois. S'en suit donc un tas d'histoires et des situations rocambolesques et absurdes. La plume de l'écrivain est si drôle. Il écrit comme il parle et nous place des références mamamia c'est du chef-d'oeuvre t'as peur. Mais attention il faut quand même être bien accroché. Je ne pense pas que ça soit une lecture pour tout le monde. Ce que je veut dire par là c'est que ma daronne ne pourra clairement pas lire le bouquin. Pas vraiment le style d'écrire des gens de son âge, trop de références qu'elle pourrait pas comprendre. Bref essayer c'est l'adopter (je parle pas de ma mère).
  • Tamtromboline 29/12/2023
    Je suis une vieille de 45 ans , et j'aime énormément ce livre, à tel point que j''en ralentis la lecture spécialement pour faire durer le plaisir. C est jubilatoire, c'est un parlé jeune certes, un parlé vrai surtout. C est plein de trouvailles , c'est une rhétorique puissante, c est une éloquence dingue ! Si on s en tient au degré de langage , effectivement ce n est pas un langage soutenu, et on est pas dans une écriture bourgeoise et hyper littéraire, cependant, l auteur fait preuve d une grande intelligence de style, naturelle qui plus est. Je comprends que ça ne puisse pas parler à tout le monde, mais heureusement il y a plein de lecteurs à qui cela va plaire. J en ai déjà une dizaine en tête à qui je souhaite l offrir. Autre chose, je suis bibliothécaire depuis 25 ans, ce livre restera gravé dans ma mémoire au même titre que certains classiques d auteurs morts ou que certaines pépites et autres prix littéraires . Merci pour le rire non pas à chaque page mais à chaque phrase et mot ! Merci de faire des livres qui nous ressemble, à nous, immigrés, enfants d immigrés, habitants de quartiers, génération Dorothée etc etcJe suis une vieille de 45 ans , et j'aime énormément ce livre, à tel point que j''en ralentis la lecture spécialement pour faire durer le plaisir. C est jubilatoire, c'est un parlé jeune certes, un parlé vrai surtout. C est plein de trouvailles , c'est une rhétorique puissante, c est une éloquence dingue ! Si on s en tient au degré de langage , effectivement ce n est pas un langage soutenu, et on est pas dans une écriture bourgeoise et hyper littéraire, cependant, l auteur fait preuve d une grande intelligence de style, naturelle qui plus est. Je comprends que ça ne puisse pas parler à tout le monde, mais heureusement il y a plein de lecteurs à qui cela va plaire. J en ai déjà une dizaine en tête à qui je souhaite l offrir. Autre chose, je suis bibliothécaire depuis 25 ans, ce livre restera gravé dans ma mémoire au même titre que certains classiques d auteurs morts ou que certaines pépites et autres prix littéraires . Merci pour le rire non pas à chaque page mais à chaque phrase et mot ! Merci de faire des livres qui nous ressemble, à nous, immigrés, enfants d immigrés,...
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  • lespotdurire 20/12/2023
    Mourad Winter revient avec un nouveau roman, Les meufs c’est des mecs bien. Peu de temps après le succès de L’amour, c’est surcoté, Mourad Winter devait donc reproduire le même exploit stylistico-comique en pondant une nouvelle intrigue. Et cette intrigue est multiple : Wourad est de retour, mais il n’est plus aussi central. En face de lui, sa copine Adé(laïde) décide de se convertir à l’islam. Lui a d’autres priorités du côté pulsionnel tout en déroulant une galerie de personnages. Junior, Naïma, Nora, Rayan, Kader ou encore Verónica et @HollyQueenP, pour ne citer qu’eux, vont ainsi défiler à toute vitesse sous vos yeux ébahis. On retrouve une kyrielle de références de Dany Caligula à Bilal Hassani en passant par Christine and the Queens, Édouard Balladur et Caroline Fourest. Le spectre est large, clairement. Ça envoie punch sur punch dans un exercice de style très mouradwintérien. Ainsi, l’auteur remanie la culture à sa guise avec une facilité déconcertante. Les meufs c’est des mecs bien est un roman à part, qui ne ressemble à aucun autre. On a envie de connaître le dénouement et on se réemploie à avancer, nageant dans les références d’une précision chirurgicale. Mourad Winter a bel et bien inventé son propre style, pour le plus grand plaisir de ses adulateurs.Mourad Winter revient avec un nouveau roman, Les meufs c’est des mecs bien. Peu de temps après le succès de L’amour, c’est surcoté, Mourad Winter devait donc reproduire le même exploit stylistico-comique en pondant une nouvelle intrigue. Et cette intrigue est multiple : Wourad est de retour, mais il n’est plus aussi central. En face de lui, sa copine Adé(laïde) décide de se convertir à l’islam. Lui a d’autres priorités du côté pulsionnel tout en déroulant une galerie de personnages. Junior, Naïma, Nora, Rayan, Kader ou encore Verónica et @HollyQueenP, pour ne citer qu’eux, vont ainsi défiler à toute vitesse sous vos yeux ébahis. On retrouve une kyrielle de références de Dany Caligula à Bilal Hassani en passant par Christine and the Queens, Édouard Balladur et Caroline Fourest. Le spectre est large, clairement. Ça envoie punch sur punch dans un exercice de style très mouradwintérien. Ainsi, l’auteur remanie la culture à sa guise avec une facilité déconcertante. Les meufs c’est des mecs bien est un roman à part, qui ne ressemble à aucun autre. On a envie de connaître le dénouement et on se réemploie à avancer, nageant dans les références d’une précision chirurgicale. Mourad Winter a bel et bien inventé son propre...
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