Les Racines de la vengeance

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• bilodoh 17/01/2024

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  Un polar qui commence sur les chapeaux de roues avec un terrible drame familial suivi d’une fusillade dans un train. Avec l’héroïne récurrente Kate Linville, on abordera toute une série de thèmes : alcoolisme, dépression, difficultés de la maternité, adoption internationale, retard cognitif. Et tout ça en plus de crimes odieux, d’un inquiétant psychopathe, de la pression du travail policier et des problèmes des relations interpersonnelles. Malgré quelques invraisemblances qui surviennent vers la fin, c’est un véritable accrolivre, une balade anglaise qui en vaut le coup!
• ZAPATARTHURUS 08/10/2023

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  Un très bon thriller, on suit ici l’enquête de Kate Linville sur une agression dans un train qui va déboucher sur l’arrestation d’un psychopathe. Une sombre histoire de vengeance, comme l’indique le titre. Des personnages très réels, des flics qui ne sont pas des supers enquêteurs mais simplement des personnes qui essayent de bien faire leur travail. Très vite lu, fluide et prenant, un très bon thriller.
• asnico 11/08/2023

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  En 2006, une jeune femme faisant son jogging dénonce un homme avant qu’il fasse du mal à une petite fille. Les policiers arrivent à temps. De nos jours : une femme se fait tirer dessus par un homme qu’elle ne connaît pas dans un train ; Kate étant dans le même train et s’étant réfugiée avec elle dans les toilettes a réussi à éviter le pire. Cette femme s’appelle Xenia, est originaire de Russie mais parle un anglais parfait. Elle ne veut pas parler à la police. Son mari lui mène une vie rude : elle n’a pas le droit de travailler ni de circuler librement. Pourquoi ? Le lecteur comprend alors que Xenia cache quelque chose de très grave et que Jacob la fait chanter car lui est au courant. Peu de temps après l’incident du train, Sophia, prof trentenaire appréciée de tous, bute sur un fil à vélo et fait un vol plané qui la laisse paralysée. Une balle perdue est retrouvée à proximité de sa chute. Alors qu’elle ne pouvait pas bouger, pourquoi ne pas l’avoir achevée ? Beaucoup de questions là encore… Sans compter une disparition inquiétante et Caleb suspendu pour avoir bu en service, Kate a tellement de pain sur la planche qu’elle décide de commencer à Scarborough avant la date de sa prise de fonction officielle, au grand soulagement de Robert qui remplace Caleb mais qui n’est clairement pas à sa hauteur dans cette enquête complexe. Vous mélangez donc tous ces personnages et intrigues et vous obtenez un roman comme on les aime de Charlotte Link. Cette auteure est très douée pour dépeindre les blessures du passé, la psychologie de ses personnages et leurs mobiles – ici la vengeance, c’est dit dans le titre – et vous vous dites au fil des pages « non, c’est pas vrai ». La famille, la condition des femmes, l’éducation des enfants, le handicap, l’alcoolisme, la culpabilité sont abordés et j’aime que les sujets soient variés. Charlotte Link est allemande mais tout se passe en Angleterre, j’aimerais parfois qu’elle situe l’action de ses romans Outre-Rhin. Nouveauté à noter : on finit avec un cliffhanger, il n’y a pas de réponse concernant un personnage central. J’ai donc hâte de lire la suite des enquêtes de Kate et de Caleb. En 2006, une jeune femme faisant son jogging dénonce un homme avant qu’il fasse du mal à une petite fille. Les policiers arrivent à temps. De nos jours : une femme se fait tirer dessus par un homme qu’elle ne connaît pas dans un train ; Kate étant dans le même train et s’étant réfugiée avec elle dans les toilettes a réussi à éviter le pire. Cette femme s’appelle Xenia, est originaire de Russie mais parle un anglais parfait. Elle ne veut pas parler à la police. Son mari lui mène une vie rude : elle n’a pas le droit de travailler ni de circuler librement. Pourquoi ? Le lecteur comprend alors que Xenia cache quelque chose de très grave et que Jacob la fait chanter car lui est au courant. Peu de temps après l’incident du train, Sophia, prof trentenaire appréciée de tous, bute sur un fil à vélo et fait un vol plané qui la laisse paralysée. Une balle perdue est retrouvée à proximité de sa chute. Alors qu’elle ne pouvait pas bouger, pourquoi ne pas l’avoir achevée ? Beaucoup de questions là encore… Sans compter une disparition inquiétante et Caleb suspendu pour avoir bu en service, Kate a tellement de...

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• MademoiselleMaeve 02/05/2023

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  Deux ans après la lecture des Disparus de la lande de Charlotte Link, j’ai retrouvé le sergent détective Kate Linville dans Les racines de la vengeance. Elle a quitté Scotland Yard pour revenir dans sa ville natale, s’installer dans sa maison de famille et surtout travailler sous les ordres de l’inspecteur Caleb Hale, qui a enquêté sur la mort de son père et qu’elle admire. Mais lorsqu’elle prend son poste, elle découvre de Hale a été mis à pied. Et qu’il déprime chez lui en buvant. Bon, voilà un problème qu’elle va devoir gérer. Pas question de ne pas travailler avec lui. Elle n’a pas abandonné Scotland Yard pour croiser de temps en temps un ancien flic alcoolo qui a arrêté de se laver. Alors que Kate se trouvait dans le train pour Scarborough, elle sauve la vie d’une femme poursuivie par un tireur cinglé. Une autre femme est agressée, sans lien apparent… Sauf l’arme qui a servi dans les deux attaques. Lorsque l’une des jeunes femmes est enlevée, Kate Linville se lance dans une course contre la montre, dangereuse et elle va dégriser l’inspecteur Caleb Hale afin qu’il l’aide. J’aime bien Kate Linville, cette flic courageuse qui manque de confiance en elle. On lui a assez dit qu’elle n’était pas franchement jolie pour qu’elle en soit persuadée. Alors elle tente simplement de ne pas souffrir en pensant qu’Hale ne voudra jamais d’elle. Je n’ai toujours pas lu le premier titre de la série – L’emprise du passé – et je pense quand même qu’il me manquera toujours quelque chose. Avec Les disparues de la lande, j’ai pu découvrir les personnages et je suis certaine que je n’aurais rien compris si je n’avais lu que Les racines de la vengeance. Je vous déconseille ce roman si vous n’avez pas lu les précédents. Si vous les avez lus, je n’ai pas à vous convaincre, je sais que vous lirez Les racines de la vengeance. Et si vous voulez faire connaissance avec une flic pleine de contradictions, pensez à cette trilogie signée d’une Allemande qui a tout d’une romancière anglaise (c’est un compliment étant donné que je n’aime pas la littérature allemande). Bref, en tout cas, il n’est pas exclu que je lise le premier Charlotte Link un de ces quatre – et pourquoi pas d’enchaîner avec la relecture des deux suivants.Deux ans après la lecture des Disparus de la lande de Charlotte Link, j’ai retrouvé le sergent détective Kate Linville dans Les racines de la vengeance. Elle a quitté Scotland Yard pour revenir dans sa ville natale, s’installer dans sa maison de famille et surtout travailler sous les ordres de l’inspecteur Caleb Hale, qui a enquêté sur la mort de son père et qu’elle admire. Mais lorsqu’elle prend son poste, elle découvre de Hale a été mis à pied. Et qu’il déprime chez lui en buvant. Bon, voilà un problème qu’elle va devoir gérer. Pas question de ne pas travailler avec lui. Elle n’a pas abandonné Scotland Yard pour croiser de temps en temps un ancien flic alcoolo qui a arrêté de se laver. Alors que Kate se trouvait dans le train pour Scarborough, elle sauve la vie d’une femme poursuivie par un tireur cinglé. Une autre femme est agressée, sans lien apparent… Sauf l’arme qui a servi dans les deux attaques. Lorsque l’une des jeunes femmes est enlevée, Kate Linville se lance dans une course contre la montre, dangereuse et elle va dégriser l’inspecteur Caleb Hale afin qu’il l’aide. J’aime bien Kate Linville, cette flic courageuse qui manque de confiance en...

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• Breizh29livres 25/04/2023

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  Mauvaise appréciation d'une situation ? Dénonciation et alcoolémie font le reste : l'inspecteur Caleb Hale est mis à pied par sa hiérarchie. Sa subordonnée, le sergent-détective Kate Linville va devoir composer avec un nouveau chef, manifestement pas à la hauteur. L'enquête est difficile, le niveau de stress intense. Un tueur habile et sans scrupule balade l'équipe qui peine à trouver lien entre les victimes et mobile. Il va falloir du courage et de la patience pour venir à bout de ce singulier dossier qui happe autant qu'il interroge. La fin est glaçante. Encore une réussite de la talentueuse Charlotte Link ! " Les racines de la vengeance " de Charlotte Link, aux éditions Presses de la Cité.