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Libre comme l'air
Esther Sermage (traduit par)
Collection : La Bête noire
Date de parution : 21/03/2019
Éditeurs :
Robert Laffont
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Libre comme l'air

Esther Sermage (traduit par)
Collection : La Bête noire
Date de parution : 21/03/2019
« Si la police ne peut rien pour vous, n’hésitez pas à faire appel à moi. »

Kouplan est à la rue, contraint de dormir sous un pont qu’il partage avec deux « colocataires » peu commodes. Il n'a plus que quelques semaines à tenir avant de...

Kouplan est à la rue, contraint de dormir sous un pont qu’il partage avec deux « colocataires » peu commodes. Il n'a plus que quelques semaines à tenir avant de pouvoir renouveler sa demande d’asile.
Afin de gagner un peu d’argent en attendant ce jour, il accepte une nouvelle mission de...

Kouplan est à la rue, contraint de dormir sous un pont qu’il partage avec deux « colocataires » peu commodes. Il n'a plus que quelques semaines à tenir avant de pouvoir renouveler sa demande d’asile.
Afin de gagner un peu d’argent en attendant ce jour, il accepte une nouvelle mission de détective privé : une femme l’engage pour rassembler des preuves sur l’infidélité de son mari. Mais ce que découvre Kouplan est bien pire qu’un simple adultère…
Par la lauréate du Grand Prix de littérature policière 2017.
« On est déjà attaché à cet enquêteur atypique. » Pascale Frey, Elle.
« du neuf, du rugueux, de l’addictif ! » Isabelle Motrot, Causette.

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EAN : 9782221220719
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 360
Format : 140 x 225 mm
Robert Laffont
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EAN : 9782221220719
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 360
Format : 140 x 225 mm

Ils en parlent

« Ce privé interlope est le guide idéal pour une étude en biais de la Suède et de l'Europe actuelles, mais aussi des questions de globalisation, de mœurs et de sexe […] Moderne, engagé, et terriblement émouvant »
Hubert Artus / CAUSETTE
« Tendre et brillant »
Sylvia Zappi / LE MONDE DES LIVRES

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • henrimesquida 18/03/2022
    « Si la police ne peut rien pour vous, n’hésitez pas à faire appel à moi. » Kouplan est à la rue, contraint de dormir sous un pont qu’il partage avec deux « colocataires » peu commodes. Il n'a plus que quelques semaines à tenir avant de pouvoir renouveler sa demande d’asile. Afin de gagner un peu d’argent en attendant ce jour, il accepte une nouvelle mission de détective privé : une femme l’engage pour rassembler des preuves sur l’infidélité de son mari. Mais ce que découvre Kouplan est bien pire qu’un simple adultère… Par la lauréate du Grand Prix de littérature policière 2017.« On est déjà attaché à cet enquêteur atypique. » Pascale Frey, Elle. « du neuf, du rugueux, de l’addictif ! » Isabelle Motrot, Causette. Sara Lövestam, née le 13 juillet 1980 à Uppsala, est une romancière suédoise, ayant abordé le roman historique, le roman policier et la littérature d'enfance et de jeunesse. C'est ici son quatrième roman avec son héros(ine) Kouplan, sans papier détective. Je n'est pas lu les trois précédents aussi je ne dirai rien sur la série. Je débute ma lecture par ce troisième opus qui en comportera quatre. Pas de problème car l'auteure revient facilement en arrière sur la vie de Kouplan. Celui-ci est un jeune iranien expatrié en Suède, en recherche de l'asile politique. En attendant il est sans papiers et peut être renvoyé dans son pays s'il se fait attraper ils erait probablement exécuté. . . Il vit de peu d'argent et doit dormir dans un trou bétonné du métro ou ils rencontre deux autres SDF avec qui il va établir d'étonnants rapports. ’il n’a plus que deux semaines à attendre avant de déposer une nouvelle demande d’asile. Il pourra ainsi obtenir son statut de demandeur d’asile et loger dans un foyer pendant que sa demande est examinée. ’il n’a plus que deux semaines à attendre avant de déposer une nouvelle demande d’asile. Il pourra ainsi obtenir son statut de demandeur d’asile et loger dans un foyer pendant que sa demande est examinée. Ses démarches pour une demande d’asile en Suède sont très bien retranscrites, on peut voir un peu l’envers du décor. Ce n’est déjà pas facile, mais pour un jeune homme transgenre, cela ajoute une difficulté en plus. Sara Lövestam nous décrit avec subtilité ce casse-tête administratif et pesant, où Kouplan doit non seulement tenter de retrouver des informations sur sa famille pour prouver qu’il est en danger et « mérite » d’habiter en Suède, mais aussi sur le fait qu’il soit un homme malgré le fait qu’il ait un corps de femme… En parallèle, on découvre la vie des SDF, les villes de banlieues. On apprend que sa famille est introuvable en Iran, qu'il est une femme du nom de Nesrine et prend des hormones pour devenir homme. Dans sa tête il a toujours été un homme ; il(elle) est un mélange de force et de vulnérabilité. Et le polar dans tout ça , c'est là que le bas blesse un peu. Sans ressources il ne pourra s'attaquer à l'enquête qu'il lui est proposée : En partant d’une banal affaire de liaison que soupçonne Ulrika (l’épouse) de son mari Håkan pas inintéressante. Kouplan met en place une filature rapprochée, l’affaire n’est pas aussi simple que prévue. Håkan cache beaucoup de choses. Kouplan doit acheter un nouveau téléphone portable et s’équiper d’une balise GPS pour suivre les déplacements de la voiture d’Håkan. Pour le reste quand on est sans-papiers il faut faire appel à la débrouillardise. Des recherches Google et des profils Facebook fournissent de bonnes pistes. Mais l'enquête occupe en fait surtout que le dernier tiers du roman quand Kouplan a enfin les moyens d'enquêter légalement. Une histoire originale qui mêle des sujets divers et d'actualité. Un personnage très atypique et très intéressant. On suit l'enquête avec intérêt et l'on s'attache à ce curieux garçon qui n'en est pas encore légalement vraiment un. Je vais lire les deux premiers. « Si la police ne peut rien pour vous, n’hésitez pas à faire appel à moi. » Kouplan est à la rue, contraint de dormir sous un pont qu’il partage avec deux « colocataires » peu commodes. Il n'a plus que quelques semaines à tenir avant de pouvoir renouveler sa demande d’asile. Afin de gagner un peu d’argent en attendant ce jour, il accepte une nouvelle mission de détective privé : une femme l’engage pour rassembler des preuves sur l’infidélité de son mari. Mais ce que découvre Kouplan est bien pire qu’un simple adultère… Par la lauréate du Grand Prix de littérature policière 2017.« On est déjà attaché à cet enquêteur atypique. » Pascale Frey, Elle. « du neuf, du rugueux, de l’addictif ! » Isabelle Motrot, Causette. Sara Lövestam, née le 13 juillet 1980 à Uppsala, est une romancière suédoise, ayant abordé le roman historique, le roman policier et la littérature d'enfance et de jeunesse. C'est ici son quatrième roman avec son héros(ine) Kouplan, sans papier détective. Je n'est pas lu les trois précédents aussi je ne dirai rien sur la série. Je débute ma lecture par ce troisième opus qui en comportera quatre. Pas de problème car l'auteure revient facilement en arrière sur la vie...
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  • seb_ply 02/01/2022
    Un peu comme chez Sara Gran et sa détective de La Nouvelle-Orléans Claire DeWitt, on retrouve dans « Libre comme l’air » de Sara Lövestam un détective privé pas comme les autres. Kouplan est demandeur d’asile et sans domicile fixe, il tente de survivre au jour le jour et pour gagner un peu d’argent, il rend des services en menant de petites enquêtes. Kouplan est doté d’une empathie développée et on s’attache très vite à ce personnage qui s’agrippe tant bien que mal à ce que la ville de Stockholm lui propose. C’est-à-dire pas grand-chose puisque les procédures pour les demandes d’asile sont complexes et pleine d’embuches. On découvre aussi un passé en Iran qui donne de l’épaisseur au personnage et qui amène d’autres questionnements au fil de l’histoire. Dans cette nouvelle enquête, Kouplan est amené à suivre un mari qui est suspecté par sa femme d’avoir une relation. Toute la question pour le jeune détective de 26 ans est de lever le voile sur les agissements du mari. Sara Lövestam a une façon bien à elle de monter l’intrigue et cela permet de dévoiler les facettes les moins reluisantes de la société suédoise, mais aussi de notre monde plus globalement. On fait la connaissance d’un nouveau personnage qui sort des sentiers battus et rebattus du roman noir. Les questionnements abordés par l’autrice sont rarement rencontrés dans le genre. Pour la première lecture de l’année, c’est une belle découverte qui mérite qu’on s’y attarde. Un réel plaisir de lecture. extrait : « Vivre, c’est construire, disait son voisin. Brique après brique. C’est ce qui procure de la satisfaction. Kouplan ne sait pas ce qu’il construit. Si, un corps de plus en plus masculin et poilu, un visage de plus en plus anguleux. Mais sa vie n’est qu’un flottement dans une étendue d’eau indéfinie, sans fond sur lequel rebondir. Son filet de sécurité – ses parents à Téhéran – est désormais rompu. Et quand il se permet d’éprouver un quelconque sentiment, il a l’impression de dériver loin, très loin. »Un peu comme chez Sara Gran et sa détective de La Nouvelle-Orléans Claire DeWitt, on retrouve dans « Libre comme l’air » de Sara Lövestam un détective privé pas comme les autres. Kouplan est demandeur d’asile et sans domicile fixe, il tente de survivre au jour le jour et pour gagner un peu d’argent, il rend des services en menant de petites enquêtes. Kouplan est doté d’une empathie développée et on s’attache très vite à ce personnage qui s’agrippe tant bien que mal à ce que la ville de Stockholm lui propose. C’est-à-dire pas grand-chose puisque les procédures pour les demandes d’asile sont complexes et pleine d’embuches. On découvre aussi un passé en Iran qui donne de l’épaisseur au personnage et qui amène d’autres questionnements au fil de l’histoire. Dans cette nouvelle enquête, Kouplan est amené à suivre un mari qui est suspecté par sa femme d’avoir une relation. Toute la question pour le jeune détective de 26 ans est de lever le voile sur les agissements du mari. Sara Lövestam a une façon bien à elle de monter l’intrigue et cela permet de dévoiler les facettes les moins reluisantes de la société suédoise, mais aussi de notre monde plus globalement....
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  • nanouche 23/06/2021
    A la fin de l'épisode précédent Kouplan, jeune Iranien sans papiers à Stockholm et qui survit en travaillant comme détective privé, a du quitter l'appartement où il sous-louait une chambre. Il est maintenant à la rue. Il trouve à s'abriter sous un pont en compagnie d'un couple de SDF, drogués, avec qui il va se lier d'amitié -pour autant que ce soit possible dans ces circonstances. C'est alors qu'il est contacté par Ulrika : elle veut qu'il file son mari dont elle craint qu'il ait une maîtresse. Kouplan va mener l'enquête avec ses petits moyens et surtout beaucoup de débrouillardise. Il découvre que, en effet, Håkan cache quelque chose à Ulrika mais que ce n'est pas du tout ce qu'imagine cette dernière. En parallèle de cette enquête de bouts de ficelle, l'autrice développe la situation personnelle de son héros. Il y a les difficultés à vivre dans la rue -où dormir, comment faire sa toilette, comment recharger son téléphone...- qui s'ajoutent aux difficultés du migrant clandestin. Dans cet épisode Kouplan a la possibilité de déposer une nouvelle demande d'asile, ce qui pourrait améliorer sa situation. Il cherche alors à entrer en contact avec ses parents restés en Iran. Que sont-ils devenus ? C'est un sujet d'angoisse pour lui. J'ai apprécié cette lecture que j'ai trouvée plaisante et sympathique. A son habitude Sara Lövestam plaide pour l'acceptation des différences. La fin laisse penser que le quatrième et dernier tome de la série devrait amener des choses positives pour notre héros. Je l'espère et je l'attends.A la fin de l'épisode précédent Kouplan, jeune Iranien sans papiers à Stockholm et qui survit en travaillant comme détective privé, a du quitter l'appartement où il sous-louait une chambre. Il est maintenant à la rue. Il trouve à s'abriter sous un pont en compagnie d'un couple de SDF, drogués, avec qui il va se lier d'amitié -pour autant que ce soit possible dans ces circonstances. C'est alors qu'il est contacté par Ulrika : elle veut qu'il file son mari dont elle craint qu'il ait une maîtresse. Kouplan va mener l'enquête avec ses petits moyens et surtout beaucoup de débrouillardise. Il découvre que, en effet, Håkan cache quelque chose à Ulrika mais que ce n'est pas du tout ce qu'imagine cette dernière. En parallèle de cette enquête de bouts de ficelle, l'autrice développe la situation personnelle de son héros. Il y a les difficultés à vivre dans la rue -où dormir, comment faire sa toilette, comment recharger son téléphone...- qui s'ajoutent aux difficultés du migrant clandestin. Dans cet épisode Kouplan a la possibilité de déposer une nouvelle demande d'asile, ce qui pourrait améliorer sa situation. Il cherche alors à entrer en contact avec ses parents restés en Iran. Que sont-ils devenus...
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  • sabine59 16/05/2021
    Le deuxième tome des aventures de Kouplan, détective privé bien atypique , m'avait paru moins captivant, mais j'avais envie d'en savoir encore plus sur ce réfugié iranien si attachant, en attente d'une acceptation de demande d'asile sur le sol suédois. En attente aussi d'un changement de sexe... Toujours en proie à des conditions de vie très précaires qui le conduisent à dormir dans un creux humide en dessous du métro, en compagnie de deux drogués, Kouplan va pouvoir bientôt, le 16 juin, refaire sa demande auprès des services d'immigration. Voilà qu'une femme d'un milieu aisé, Ulrika, lui propose d'enquêter sur son mari, qu'elle soupçonne de la tromper. Kouplan découvrira bien autre chose en suivant le présumé infidèle... J'ai beaucoup apprécié cet opus, plus prenant que le précédent. D'autre part, l'auteure sait parfaitement nous faire vivre en direct toutes les difficultés quotidiennes d'un sans-papiers. Je sais que des lecteurs trouvent certains détails peu vraisemblables. Peut-être, mais cela ne m'a pas gênée. Et le personnage de Kouplan s'étoffe encore. J'aime sa sensibilité, son empathie, ses angoisses bien compréhensibles, sa vive intelligence. J'attends avec impatience de lire le tome ultime, les dernières pages laissant présager des changements importants...
  • SAZ 29/04/2021
    Avec ce Tome 2, je retrouve Kouplan pour la seconde fois  . Les temps sont durs pour notre ami, il a dû partir de sa chambre qu'il avait chez Régina et il devient un sans abris  Dans son malheur, il découvre qu'il peut réintroduire une demande d'asile dans une semaine et ainsi pouvoir circuler librement dans Stockholme.Durant cette attente il va devoir faire profil bas, côtoyer de nouvelles connaissances Wil et Grand-mère ses colocataires forcés de son abris de fortune; sous le métro de la station de gullmarsplan et résoudre une nouvelle affaire  Cette fois-ci, on en apprend un peu plus sur K. son vrai nom, sa situation en Iran, son ancienne  activité et les raisons de sa fuite!! Il est toujours aussi attachant, espiègle, observateur , fin psychologue , très débrouillard et avec les moyens du bord, il arrivera à résoudre cette affaire.En partant d'une banal affaire de liaison que soupçonne  Ulricha (l'épouse) de son mari Okan, cela débouchera sur une affaire internationale  J'ai adoré cette nouvelle aventure de K. plus intimiste et terriblement humaine comme  Sara Lövestam essaye de le transcrire dans chacune de ses aventures. A lire absolument pour ceux qui aiment les héros atypiques.  
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