Lisez! icon: Search engine
Lundi Mélancolie
Le jour où les enfants disparaissent
Marianne Bertrand (traduit par)
Collection : Fleuve noir
Date de parution : 10/05/2012
Éditeurs :
Fleuve éditions

Lundi Mélancolie

Le jour où les enfants disparaissent

Marianne Bertrand (traduit par)
Collection : Fleuve noir
Date de parution : 10/05/2012

En ce lundi brumeux à Londres, la photo de Matthew, 5 ans, fait la une de toutes les télévisions, de tous les journaux : l'enfant a disparu à la sortie...

En ce lundi brumeux à Londres, la photo de Matthew, 5 ans, fait la une de toutes les télévisions, de tous les journaux : l'enfant a disparu à la sortie de l'école quelques jours auparavant, sans laisser de traces. Dans son cabinet, la psychanalyste Frieda Klein est témoin d'autres drames,...

En ce lundi brumeux à Londres, la photo de Matthew, 5 ans, fait la une de toutes les télévisions, de tous les journaux : l'enfant a disparu à la sortie de l'école quelques jours auparavant, sans laisser de traces. Dans son cabinet, la psychanalyste Frieda Klein est témoin d'autres drames, ceux qui se jouent dans l'esprit de ses patients. Comme Alan, cet homme très perturbé qui lui confie son rêve : il ne cesse de songer à un enfant, roux comme lui, qui serait son fils. Curieusement, cette description correspond trait pour trait au petit Matthew. Frieda aurait-elle reçu sur son divan les confidences d'un kidnappeur d'enfant, d'un tueur peut-être ? Elle avertit le commissaire Karlsson en charge de l'affaire, mais il refuse de la prendre au sérieux... Persuadée qu'elle doit découvrir la vérité et retrouver Matthew, Frieda va essayer de percer les pensées les plus intimes d'un psychopathe. Pendant que près de là, dans les ténèbres, un petit garçon effrayé se demande si quelqu'un viendra jamais le délivrer de son cauchemar...

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782265090774
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 432
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782265090774
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 432
Format : 140 x 225 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Marine_et_les_livres 26/12/2023
    J'ai eu du mal à rentrer dans ce roman. Mais au final, je suis plutôt contente de l'avoir terminé. Le personnage de Frieda, psychanalyste, est très intéressante. L'histoire peut paraître ennuyant au premier abord, mais au fil des pages, l'histoire se construit, tout se met en place, et tout devient beaucoup plus intéressant. Bonne découverte.
  • Sallyrose 15/12/2023
    Premier tome d’une série qui en compte 7, autant que de jours de la semaine. Le duo se met en place, Frida Klein la psychanalyste et l'inspecteur Karlsson. Comme il se doit, leur collaboration est improbable mais la confiance qui s’instaure sera la base de la résolution de l’enquête. Un bon polar anglais, qui prend son temps, qui projette le lecteur à Londres à quelques jours de Noël. C’est assez conventionnel mais bien écrit. Les personnages secondaires ont de l’épaisseur et la pirouette finale m’a laissée surprise, pour le meilleur. Bref, le tome 2 est en pole position
  • AMR_La_Pirate 04/06/2023
    Sous le pseudonyme de Nicci French, il y a deux auteurs anglais, Nicci Gerrard et Sean French, qui ont co-écrit de nombreux thrillers, dont la série consacrée à Frieda Klein, une psychanalyste londonienne dévouée corps et âme à son métier au point de passer la majeure partie de son temps sur les dossiers de ses patients, pour tenter d’élucider les mystères qui les entourent. De ce fait, elle se retrouve souvent mêlée à des enquêtes policières. Comme souvent, je suis entrée dans la série, par hasard, sans suivre l’ordre chronologique et, finalement, décidé de tout reprendre depuis le début pour mettre de l’ordre dans ce que j’apprenais du parcours de Frida. Un collègue dépressif qui est aussi l’ancien mentor de Frieda dont il faut réorienter la patientèle et prendre en charge le rétablissement… Un patient perturbé par son désir de paternité… Il confie à Frida des rêves obsédants où évolue un petit garçon roux qui ressemble au petit Matthew Faraday dont la disparition récente fait la une des journaux. Confessions sur le divan en forme d’aveu ? Frieda peut-elle se permettre de manipuler l’inconscient d’un patient pour mener son enquête ? La narration est polyphonique, mêle le présent et le passé, alterne les points de vue, joue sur les impressions des enquêteurs et aussi des lecteurs. Il est question de l’inquiétude des parents, du deuil impossible de ceux qui ont perdu un enfant sans savoir ce qu’il est advenu de lui, de l’angoisse du petit garçon séquestré, du rôle des média, des enquêtes qui piétinent, de la pertinence et de la justification des moyens mis en œuvre… L’écheveau est alambiqué mais solide et, même si j’avais vu venir une partie du dénouement (liens entre frères, identité d’un personnage…), j’avoue avoir trouvé cette lecture captivante. J’ai apprécié de connaître les circonstances du début de l’amitié de Frieda et du transfuge ukrainien et de sa collaboration avec le commissaire Malcolm Karlsson. Les auteurs s’attachent à démêler les psychologies complexes des protagonistes et c’est ce qui fait l’originalité, selon moi, de cette série de romans. Plus que le déroulement d’une enquête aboutie, ce sont des parcours de vie, des relations de causes et de conséquences, des séquelles de traumatismes qui nous sont données à lire. Seul bémol dans la version audio, chez Lizzie : la voix des narratrices, Marianne Bertrand et Bénédicte Charton. J’avais déjà relevé dans un autre opus que Bénédicte Charton contrefait trop sa voix pour donner vie aux différents personnages. Je ne m’étais d’ailleurs pas rendu compte qu’ici, elles sont deux… C’est vraiment dommage et cela dessert le roman surtout pour l’accent russe et les voix d’enfants, insupportables. Sous le pseudonyme de Nicci French, il y a deux auteurs anglais, Nicci Gerrard et Sean French, qui ont co-écrit de nombreux thrillers, dont la série consacrée à Frieda Klein, une psychanalyste londonienne dévouée corps et âme à son métier au point de passer la majeure partie de son temps sur les dossiers de ses patients, pour tenter d’élucider les mystères qui les entourent. De ce fait, elle se retrouve souvent mêlée à des enquêtes policières. Comme souvent, je suis entrée dans la série, par hasard, sans suivre l’ordre chronologique et, finalement, décidé de tout reprendre depuis le début pour mettre de l’ordre dans ce que j’apprenais du parcours de Frida. Un collègue dépressif qui est aussi l’ancien mentor de Frieda dont il faut réorienter la patientèle et prendre en charge le rétablissement… Un patient perturbé par son désir de paternité… Il confie à Frida des rêves obsédants où évolue un petit garçon roux qui ressemble au petit Matthew Faraday dont la disparition récente fait la une des journaux. Confessions sur le divan en forme d’aveu ? Frieda peut-elle se permettre de manipuler l’inconscient d’un patient pour mener son enquête ? La narration est polyphonique, mêle le présent et le passé, alterne les points de...
    Lire la suite
    En lire moins
  • AMR_La_Pirate 04/06/2023
    Sous le pseudonyme de Nicci French, il y a deux auteurs anglais, Nicci Gerrard et Sean French, qui ont co-écrit de nombreux thrillers, dont la série consacrée à Frieda Klein, une psychanalyste londonienne dévouée corps et âme à son métier au point de passer la majeure partie de son temps sur les dossiers de ses patients, pour tenter d’élucider les mystères qui les entourent. De ce fait, elle se retrouve souvent mêlée à des enquêtes policières. Comme souvent, je suis entrée dans la série, par hasard, sans suivre l’ordre chronologique et, finalement, décidé de tout reprendre depuis le début pour mettre de l’ordre dans ce que j’apprenais du parcours de Frida. Un collègue dépressif qui est aussi l’ancien mentor de Frieda dont il faut réorienter la patientèle et prendre en charge le rétablissement… Un patient perturbé par son désir de paternité… Il confie à Frida des rêves obsédants où évolue un petit garçon roux qui ressemble au petit Matthew Faraday dont la disparition récente fait la une des journaux. Confessions sur le divan en forme d’aveu ? Frieda peut-elle se permettre de manipuler l’inconscient d’un patient pour mener son enquête ? La narration est polyphonique, mêle le présent et le passé, alterne les points de vue, joue sur les impressions des enquêteurs et aussi des lecteurs. Il est question de l’inquiétude des parents, du deuil impossible de ceux qui ont perdu un enfant sans savoir ce qu’il est advenu de lui, de l’angoisse du petit garçon séquestré, du rôle des média, des enquêtes qui piétinent, de la pertinence et de la justification des moyens mis en œuvre… L’écheveau est alambiqué mais solide et, même si j’avais vu venir une partie du dénouement (liens entre frères, identité d’un personnage…), j’avoue avoir trouvé cette lecture captivante. J’ai apprécié de connaître les circonstances du début de l’amitié de Frieda et du transfuge ukrainien et de sa collaboration avec le commissaire Malcolm Karlsson. Les auteurs s’attachent à démêler les psychologies complexes des protagonistes et c’est ce qui fait l’originalité, selon moi, de cette série de romans. Plus que le déroulement d’une enquête aboutie, ce sont des parcours de vie, des relations de causes et de conséquences, des séquelles de traumatismes qui nous sont données à lire. Seul bémol dans la version audio, chez Lizzie : la voix des narratrices, Marianne Bertrand et Bénédicte Charton. J’avais déjà relevé dans un autre opus que Bénédicte Charton contrefait trop sa voix pour donner vie aux différents personnages. Je ne m’étais d’ailleurs pas rendu compte qu’ici, elles sont deux… C’est vraiment dommage et cela dessert le roman surtout pour l’accent russe et les voix d’enfants, insupportables. Sous le pseudonyme de Nicci French, il y a deux auteurs anglais, Nicci Gerrard et Sean French, qui ont co-écrit de nombreux thrillers, dont la série consacrée à Frieda Klein, une psychanalyste londonienne dévouée corps et âme à son métier au point de passer la majeure partie de son temps sur les dossiers de ses patients, pour tenter d’élucider les mystères qui les entourent. De ce fait, elle se retrouve souvent mêlée à des enquêtes policières. Comme souvent, je suis entrée dans la série, par hasard, sans suivre l’ordre chronologique et, finalement, décidé de tout reprendre depuis le début pour mettre de l’ordre dans ce que j’apprenais du parcours de Frida. Un collègue dépressif qui est aussi l’ancien mentor de Frieda dont il faut réorienter la patientèle et prendre en charge le rétablissement… Un patient perturbé par son désir de paternité… Il confie à Frida des rêves obsédants où évolue un petit garçon roux qui ressemble au petit Matthew Faraday dont la disparition récente fait la une des journaux. Confessions sur le divan en forme d’aveu ? Frieda peut-elle se permettre de manipuler l’inconscient d’un patient pour mener son enquête ? La narration est polyphonique, mêle le présent et le passé, alterne les points de...
    Lire la suite
    En lire moins
  • dunemariejose 15/05/2023
    On émerge difficilement de cette sombre histoire qui vous prend aux tripes, mais qui est admirablement racontée. On y rencontre pour la première fois Frieda Klein, une psychiatre perspicace et audacieuse qui assistera la police au cours des prochaines enquêtes, le cycle des jours de la semaine. Les livres se lisent comme on veut: sans savoir qu’il s’agissait d’une série, j’avais commencé par le dernier. C’est un polar efficace, mais dur, pas vraiment recommandé aux âmes sensibles.
Inscrivez-vous à Fleuve éditions, la newsletter résolument intense !
Au programme : surprendre, trembler, s'évader et rire.