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Oeuvres - Tome 1
Les Mythes de Cthulhu - Légendes et mythes de Cthulhu - Premiers contes - L'Art d'écrire selon Lovecraft
Francis Lacassin (textes réunis par)
Date de parution : 03/02/2010
Éditeurs :
Bouquins

Oeuvres - Tome 1

Les Mythes de Cthulhu - Légendes et mythes de Cthulhu - Premiers contes - L'Art d'écrire selon Lovecraft

Francis Lacassin (textes réunis par)
Date de parution : 03/02/2010

Le plus grand écrivain américain après Edgar Poe dans le domaine du fantastique, Howard Phillips Lovecraft (1890-1937) reste aussi méconnu que lui dans son pays d'origine. Écrits dès l'âge de...

Le plus grand écrivain américain après Edgar Poe dans le domaine du fantastique, Howard Phillips Lovecraft (1890-1937) reste aussi méconnu que lui dans son pays d'origine. Écrits dès l'âge de six ans, ses Premiers Contes - inédits en français - révèlent pourtant le génie précoce de celui qui allait rénover...

Le plus grand écrivain américain après Edgar Poe dans le domaine du fantastique, Howard Phillips Lovecraft (1890-1937) reste aussi méconnu que lui dans son pays d'origine. Écrits dès l'âge de six ans, ses Premiers Contes - inédits en français - révèlent pourtant le génie précoce de celui qui allait rénover le fantastique en lui donnant une dimension cosmique. En deux romans et dix-huit nouvelles, Lovecraft imagine que les prodiges et les monstres du folklore européen (fantômes, sorciers, vampires), les abîmes temporels des religions orientales, les fables et légendes de l'Antiquité ne sont que les manifestations d'un culte secret unique. Culte de l'immense et monstrueux Cthulhu, l'un des Grands Anciens qui régnèrent il y a des millions d'années sur la Terre et rêvent de la reconquérir. Regroupés pour la première fois, alors qu'ils étaient dispersés chez des éditeurs différents, ces vingt textes permettent de suivre la montée du mythe de Cthulhu dans l'inspiration de Lovecraft de 1917 à 1935. Entreprise couronnée par les Légendes du mythe de Cthulhu, la contribution des amis de Lovecraft à son mythe, faisant de celui-ci une épopée cosmique collective sur le modèle d'une Odyssée peinte avec les seules couleurs du cauchemar.

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EAN : 9782221115886
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 1230
Format : 132 x 198 mm
EAN : 9782221115886
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 1230
Format : 132 x 198 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • PhilippeMIRMAND 23/08/2023
    Une oeuvre mythique : Lovecraft est un auteur extrêmement original qui a posé les bases d’un genre nouveau. Beaucoup se sont inspirés de son œuvre et de son univers, mais aucun n’a vraiment réussi à raconter comme lui des histoires terrifiantes et poétiques à la fois. Une lecture qui suscite un mélange d’attirance et de répulsion et dont on a du mal à se détacher.
  • henrimesquida 09/03/2020
    Quand on lit à la suite les différentes nouvelles et les rares romans qui constituent le cycle de Cthulhu, on est frappé par les éléments qui se retrouvent dans la majorité des textes. Il s'agit, la plupart du temps, de fouiller, de chercher au-delà des apparences, à la recherche d'une réalité qui ne peut que rendre fou. Beaucoup des personnages de Lovecraft sont des archéologues ou des chercheurs. On découvre des villes oubliées, on déterre des temples, etc. L'horreur vient souvent des tréfonds de la terre, où elle a été enfouie mais où elle reste toujours vivante, active, cherchant la moindre occasion pour nous envahir... Le rapport avec la maladie mentale est évident. Les deux parents de Lovecraft ont été internés. et l'auteur a, bien évidemment, peur qu'en fouillant dans les profondeurs de son esprit, il y découvre ces horreurs insondables qui le conduiront à la folie. Cette peur de la folie est frappante dans le surnom de l'auteur du Necronomicon, Abdul AlAzhred, appelé L'arabe fou (Abdul AlAzhred est un double de Lovecraft lui-même, puisque c'était le nom qu'il voulait avoir s'il se convertissait à l'islam). Attention, ces œuvres sont uniques, dérangeantes, terrifiantes. Certaines nouvelles sont presque insupportables (la Couleur tombée du ciel, par exemple). L'horreur vient surtout de tout ce qui n'est pas dit. Lovecraft est très fort pour taire des éléments importants et nous les laisser deviner. C'est très bien écrit (même si les traductions ne sont pas toujours à la hauteur).Quand on lit à la suite les différentes nouvelles et les rares romans qui constituent le cycle de Cthulhu, on est frappé par les éléments qui se retrouvent dans la majorité des textes. Il s'agit, la plupart du temps, de fouiller, de chercher au-delà des apparences, à la recherche d'une réalité qui ne peut que rendre fou. Beaucoup des personnages de Lovecraft sont des archéologues ou des chercheurs. On découvre des villes oubliées, on déterre des temples, etc. L'horreur vient souvent des tréfonds de la terre, où elle a été enfouie mais où elle reste toujours vivante, active, cherchant la moindre occasion pour nous envahir... Le rapport avec la maladie mentale est évident. Les deux parents de Lovecraft ont été internés. et l'auteur a, bien évidemment, peur qu'en fouillant dans les profondeurs de son esprit, il y découvre ces horreurs insondables qui le conduiront à la folie. Cette peur de la folie est frappante dans le surnom de l'auteur du Necronomicon, Abdul AlAzhred, appelé L'arabe fou (Abdul AlAzhred est un double de Lovecraft lui-même, puisque c'était le nom qu'il voulait avoir s'il se convertissait à l'islam). Attention, ces œuvres sont uniques, dérangeantes, terrifiantes. Certaines nouvelles sont presque insupportables (la Couleur tombée du...
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  • lehibook 29/02/2020
    J’ai rencontré Lovecraft par l’intermédiaire de la revue Planète .J’y avais lu « Les chiens de Tindalos » qui n’était pas de lui mais s’inscrivait dans son univers et avait été particulièrement impressionné par ce fantastique si particulier . J’ai lu ensuite Lovecraft lui-même , tout ce qui paraissait, pour finalement en 1992 acquérir les volumes de « Bouquins » . Ce premier est principalement consacré à Cthulhu et à tout ce qui se rattache à son cycle : une entité fascinante dont les formules incantatoires aussi imprononçables que poétiques m’ont beaucoup fasciné : « Ph'nglui mglw'nafh Cthulhu R'lyeh wgah'nagl fhtagn » soit « « Dans sa demeure de R'lyeh, le défunt Cthulhu attend en rêvant », .Le volume contient aussi les premières œuvres et un texte théorique.
  • meeva 21/02/2020
    Il y a comme cela des livres, des auteurs, des œuvres, qui manquent cruellement à votre culture quand vous les ignorez. D’ailleurs, vous finissez par ne pas les ignorer totalement, eu égard à différentes références de ci, de là. Oui, mais vous mangez là du réchauffé au lieu d’aller vous abreuver directement à la source. D’où risque de mauvaise digestion de la chose. Bref, il était grand temps que je lise Lovecraft himself, j’ai donc emprunté un ouvrage à la bibliothèque réunissant certains de ces textes. Certains, en réalité de nombreux textes de Lovecraft, mais pas que. Sont réunis ici les premières nouvelles de l’auteur – à 5 ans si je me souviens bien – des nouvelles et romans parmi les plus connus, mais aussi des textes d’autres auteurs inspirés par l’univers de Lovecraft. Énorme livre de plus de 1000 pages dans une police trop petite, et ce n’est là que le premier tome parmi trois. Le travail d’édition est remarquable cependant, avec une préface éclairante et des choix réfléchis. Je commence la lecture avec perplexité. De nombreuses nouvelles, un genre que je n’affectionne toujours pas. Trop d’effets d’annonce aussi : « je ne vais pas vous raconter ce que j’ai vu car c’est trop incroyable et ça fait trop peur »… J’exagère à peine, certaines phrases m’ont rappelé Plan 9 from Outer Space, un des films du plus mauvais réalisateur de tous les temps, Ed Wood, à cause des effets spéciaux tellement peu professionnels que l’expression « grosses ficelles » y prend toute sa mesure. Mais au fil des lectures, je m’habitue au rythme, les nouvelles s’allongent, deviennent roman, l’écriture s’affine un peu aussi, les phénomènes évoqués me deviennent familiers, les personnages mais aussi les références récurrentes comme le nécronomicon. J’ai lu dans des critiques qu’on ne pouvait pas se contenter d’avoir lu deux ou trois nouvelles pour proclamer que « Lovecraft, j’aime pas ! ». Je suis d’accord avec ça. Sans pour autant s’acharner à lire l’ensemble de son œuvre si on n’accroche pas, pour autant, il finit par se dégager une atmosphère tout à fait particulière après un nombre de pages non négligeable. Il serait dommage de passer à côté car c’est tout un monde qui s’ouvre à vous : le chaos rampant, le mythe du Cthulhu, le monstre gluant, l’abomination, les grands Anciens… Je me suis contenté des textes du « maître » et j’ai zappé les textes des « disciples ». Je reprendrai peut-être le livre plus tard, mais malgré la double prolongation de mon emprunt, j’ai déjà frôlé l’overdose. Ça y est, j’ai lu Lovecraft. Alors au suivant !Il y a comme cela des livres, des auteurs, des œuvres, qui manquent cruellement à votre culture quand vous les ignorez. D’ailleurs, vous finissez par ne pas les ignorer totalement, eu égard à différentes références de ci, de là. Oui, mais vous mangez là du réchauffé au lieu d’aller vous abreuver directement à la source. D’où risque de mauvaise digestion de la chose. Bref, il était grand temps que je lise Lovecraft himself, j’ai donc emprunté un ouvrage à la bibliothèque réunissant certains de ces textes. Certains, en réalité de nombreux textes de Lovecraft, mais pas que. Sont réunis ici les premières nouvelles de l’auteur – à 5 ans si je me souviens bien – des nouvelles et romans parmi les plus connus, mais aussi des textes d’autres auteurs inspirés par l’univers de Lovecraft. Énorme livre de plus de 1000 pages dans une police trop petite, et ce n’est là que le premier tome parmi trois. Le travail d’édition est remarquable cependant, avec une préface éclairante et des choix réfléchis. Je commence la lecture avec perplexité. De nombreuses nouvelles, un genre que je n’affectionne toujours pas. Trop d’effets d’annonce aussi : « je ne vais pas vous raconter ce que j’ai vu...
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  • hellrick 20/02/2020
    La bibliographie de Lovecraft a longtemps été éparpillée au fil des nombreuses publications francophones, ce qui rendait difficile la constitution d’une réelle une intégrale. Les Omnibus de Laffont rendent aujourd’hui cette tâche bien plus simple, sans être totalement exhaustive (mais est-ce possible, notamment sur le sujet des continuateurs ou des réécritures). Mais, dira le lecteur avare, si on possède déjà tout quel est l’intérêt ? Et bien il est possible, voire même probable, que l’on n’avait pas tout en réalité. Ainsi, dans le premier tome, se trouve, outre les récits de Lovecraft lui-même, des nouvelles provenant des anthologies LEGENDES DU MYTHE DE CTHULHU, LA CHOSE DES TENEBRES et HUIT HISTOIRES DE CTHULHU rédigées par des épigones du maîtres. Bref, un culte en expansion comme le souligne Francis Lacassin. Même si on possède les différents recueils précités, cet épais tome peut intéresser le « complétiste » pour quelques récits non pas inédits mais plus difficile à dénicher et opportunément rassemblés ici. Ainsi « la chose ailée sur le toit » de Robert E. Howard, court mais efficace petit conte fantastique jadis disponible dans le recueil L’HOMME NOIR de Howard (ou, chez Bragelonne, dans LES OMBRES DE CANAAN consacré aux histoires d’horreur d’Howard). Howard toujours avec le réussi « Le feu d’Asshurbanipal”, dans lequel, en une vingtaine de pages, le créateur de Conan nous emmène au coeur du désert à la recherche d’une gemme mythique cachée dans une cite maudite protégée par les Djinns. Un mélange d’aventures (on y trouve même un parfum à la Indiana Jones avec son “aventurier aux nerfs d’acier”), de fantasy, de conte orientaux et d’épouvante lovecraftienne. De la belle ouvrage, tiré du recueil LE PACTE NOIR et plus récemment republié dans LES DIEUX DE BAL SAGOTH. « L’Héritier des ténèbres », une nouvelle traitant de la peur de la mort, de la crainte de servir de nourriture aux goules et de la nécessité de la crémation (dans le désordre) constitue une autre belle réussie de Clark Ashton Smith à découvrir pour ceux qui ne possèdent pas le recueil LES ABOMINATIONS DE YONDO. On retrouve aussi dans ce recueil phénoménal l’excellent « Chiens de Tindalos » de Frank Belknap Long, « Horreur à Salem » de Kuttner, « L’habitant de l’ombre » de Derleth, « Le visiteur venu des étoiles » de Bloch, « Sueurs froides » de Campbell, etc. En ce qui concerne Lovecraft lui-même, voici une bonne occasion de lire ou relire certains de ses textes les plus célèbres et réussis comme « Dagon », « L’appel de Cthulhu », « La couleur tombée du ciel », « L’abomination de Dunwich », « Celui qui chuchotait dans les ténèbres », « Le cauchemar d’Innsmouth » et les courts romans « L’affaire Charles Dexter Ward » et « Les Montagnes hallucinées ». Des lettres, des contes de jeunesse, des notes, des brouillons, des articles, etc. complètent le sommaire, sans oublier de nombreux textes de présentation sur les différents sujets abordés. Bref, voici un ouvrage indispensable si on souhaite découvrir HPL ou parfaire ses connaissances sur l’auteur phare du fantastique du XXème siècle. Une somme (de près de 1 200 pages)! La bibliographie de Lovecraft a longtemps été éparpillée au fil des nombreuses publications francophones, ce qui rendait difficile la constitution d’une réelle une intégrale. Les Omnibus de Laffont rendent aujourd’hui cette tâche bien plus simple, sans être totalement exhaustive (mais est-ce possible, notamment sur le sujet des continuateurs ou des réécritures). Mais, dira le lecteur avare, si on possède déjà tout quel est l’intérêt ? Et bien il est possible, voire même probable, que l’on n’avait pas tout en réalité. Ainsi, dans le premier tome, se trouve, outre les récits de Lovecraft lui-même, des nouvelles provenant des anthologies LEGENDES DU MYTHE DE CTHULHU, LA CHOSE DES TENEBRES et HUIT HISTOIRES DE CTHULHU rédigées par des épigones du maîtres. Bref, un culte en expansion comme le souligne Francis Lacassin. Même si on possède les différents recueils précités, cet épais tome peut intéresser le « complétiste » pour quelques récits non pas inédits mais plus difficile à dénicher et opportunément rassemblés ici. Ainsi « la chose ailée sur le toit » de Robert E. Howard, court mais efficace petit conte fantastique jadis disponible dans le recueil L’HOMME NOIR de Howard (ou, chez Bragelonne, dans LES OMBRES DE CANAAN consacré aux histoires d’horreur...
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