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Pardon Maman pour ce qu'ils t'on fait
Philippe Legrand (auteur, avec la collaboration de), Philippe Legrand (auteur, avec la collaboration de)
Date de parution : 20/04/2023
Éditeurs :
Plon

Pardon Maman pour ce qu'ils t'on fait

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Philippe Legrand (auteur, avec la collaboration de), Philippe Legrand (auteur, avec la collaboration de)
Date de parution : 20/04/2023
​« Ma mère est décédée le 23 août 2015. Elle a légué son corps à la science. Je n’aurais jamais imaginé qu’elle allait mourir une deuxième fois sous les assauts... ​« Ma mère est décédée le 23 août 2015. Elle a légué son corps à la science. Je n’aurais jamais imaginé qu’elle allait mourir une deuxième fois sous les assauts de sauvages sans scrupules.
Quand j’ai appris ce qu’elle avait subi au Centre du don des corps de la rue des...
​« Ma mère est décédée le 23 août 2015. Elle a légué son corps à la science. Je n’aurais jamais imaginé qu’elle allait mourir une deuxième fois sous les assauts de sauvages sans scrupules.
Quand j’ai appris ce qu’elle avait subi au Centre du don des corps de la rue des Saints-Pères, j’ai tenté de découvrir ce qui avait bien pu se passer derrière les portes closes de cette faculté de médecine réputée dans le monde entier. »

Laurence Dezélée, traumatisée par cette affaire d’État, nous livre un récit inimaginable, scandaleux, honteux, pour que la vérité soit faite, et la justice enfin rendue.
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EAN : 9782259311960
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 192
Format : 130 x 200 mm
EAN : 9782259311960
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 192
Format : 130 x 200 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • parolesenvolent 07/07/2023
    La maman de l’auteur avait exprimé son vœu de donner son corps à la science après sa mort qui surviendra en 2015. Et même si sa fille n’apprécie pas ce sacrifice, elle respecte néanmoins cette démarche altruiste, nécessaire à l’avancée médicale et chirurgicale. Mais en 2019, un article de journal ébranle Laurence Dezelée. Titré “don du corps à la science : un charnier au cœur de Paris”, il évoque un scandale à l’hôpital Descartes. Or, la dépouille de sa maman a été confiée à ce CDC (centre de don du corps). Et là, la narratrice, perturbée, se rappelle n’avait jamais pu obtenir de réponse sur le devenir du corps depuis toutes ces années, notamment la crémation. Alors les doutes s’emparent d’elle et sa moralité filiale lui impose d’enquêter pour un constat effroyable. Son témoignage, comme celui d’autres familles va s’attacher à enrayer les dérives de cette débâcle morbide. Mon avis Cette lecture originale avec le thème tabou et pas très folichon de «#8201;l’après-vivant#8201;» permet d’aborder le legs du corps à la science. Personnellement, je m’interroge quant aux entraves morales des proches malgré l’admirabilité et l’utilité de ces initiatives, car le deuil se complique pour les proches. Attention, ce livre n’est pas un réquisitoire contre le don du corps pour la recherche scientifique ou médicale. Au contraire. En effet, elle explique le bien-fondé de cette pratique et détaille son bon déroulement dans les règles. Sans les dons de corps, la médecine ne pourrait pas évoluer. Nos chirurgiens, nos dentistes et tous ceux qui prennent soin de notre vivant ont besoin de ces morts pour s’exercer. En théorie, la déontologie ménage les consciences, c’est-à-dire : la durée de conservation est limitée, et la famille est avertie lors de la crémation. Tout est encadré. Des corps à la dérive… L’auteure dénoncent les dérives au sein d’un centre de don du corps comme celui de Descartes situé dans la très convenable rue des Saints-Pères. Son enquête acharnée a permis d’y soulever des dérapages. En réponse, des procès, et les autorités s’attèlent à mieux encadrer la pratique séculaire nécessaire à la médecine. Le constat bouleversant : détournements sans scrupule de l’utilisation des corps moyennant finances. Retrouvez la critique détaillée sur le blog : lesparolesenvolent.com La maman de l’auteur avait exprimé son vœu de donner son corps à la science après sa mort qui surviendra en 2015. Et même si sa fille n’apprécie pas ce sacrifice, elle respecte néanmoins cette démarche altruiste, nécessaire à l’avancée médicale et chirurgicale. Mais en 2019, un article de journal ébranle Laurence Dezelée. Titré “don du corps à la science : un charnier au cœur de Paris”, il évoque un scandale à l’hôpital Descartes. Or, la dépouille de sa maman a été confiée à ce CDC (centre de don du corps). Et là, la narratrice, perturbée, se rappelle n’avait jamais pu obtenir de réponse sur le devenir du corps depuis toutes ces années, notamment la crémation. Alors les doutes s’emparent d’elle et sa moralité filiale lui impose d’enquêter pour un constat effroyable. Son témoignage, comme celui d’autres familles va s’attacher à enrayer les dérives de cette débâcle morbide. Mon avis Cette lecture originale avec le thème tabou et pas très folichon de «#8201;l’après-vivant#8201;» permet d’aborder le legs du corps à la science. Personnellement, je m’interroge quant aux entraves morales des proches malgré l’admirabilité et l’utilité de ces initiatives, car le deuil se complique pour les proches. Attention, ce livre n’est pas un réquisitoire...
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