Lisez! icon: Search engine
Transparente 03
Satoko Fujimoto (traduit par), Nathalie Bougon (traduit par)
Collection : Transparente
Série : Transparente
Date de parution : 10/09/2020
Éditeurs :
Kurokawa

Transparente 03

Satoko Fujimoto (traduit par), Nathalie Bougon (traduit par)
Collection : Transparente
Série : Transparente
Date de parution : 10/09/2020
Elle peut faire disparaître son corps… pas sa culpabilité.
Aya a avoué. Un aveu fait uniquement à Shiori, l'une de ses deux amies. Loin de la rejeter, Shiori accepte Aya dans toute sa complexité. Dans le même temps, son... Aya a avoué. Un aveu fait uniquement à Shiori, l'une de ses deux amies. Loin de la rejeter, Shiori accepte Aya dans toute sa complexité. Dans le même temps, son autre amie, Kana, est espionnée par un camarade de lycée, qui va jusqu'à lui voler des sous-vêtements et poser des... Aya a avoué. Un aveu fait uniquement à Shiori, l'une de ses deux amies. Loin de la rejeter, Shiori accepte Aya dans toute sa complexité. Dans le même temps, son autre amie, Kana, est espionnée par un camarade de lycée, qui va jusqu'à lui voler des sous-vêtements et poser des micros chez elle. Grâce à son don de transparence, Aya parvient à le piéger.
La jeune fille constate cependant qu'à mesure qu'elle trouve sa place parmi les siens, son pouvoir s'atténue. Mais l'agression de Kana par son harceleur la fait à nouveau basculer dans les ténèbres...
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782368529805
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 208
Format : 128 x 182 mm
EAN : 9782368529805
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 208
Format : 128 x 182 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • SunRead26 19/12/2023
    Extrait : Si vous lisez mes chroniques depuis quelques temps, vous aurez remarqué que j’ai indiqué qu’il y a des séries courtes qui sont des vraies pépites, et bien c’est le cas de celle-ci. Certes, elle peut être assez difficile à lire, mais le rythme est très bon, l’intrigue prenante, et les personnages super attachants, tout ce qu’il faut pour apprécier la série à sa juste valeur. D’ailleurs, je trouve que les tranches de vie s’apprêtent plus facilement à un format court, que les séries d’actions par exemple. Les sentiments et mauvaises pensées d’Aya reviennent alors que son amie Kana a été poignardée pour la protéger. Kana s’en veut énormément et pense qu’elle est responsable de cette situation. De nouveau, elle rêve de disparaître, au point où elle en vient même à traverser les objets, les murs, les voitures… Shiori se doute que ça ne va pas, elle commence donc à la chercher, et finira par la retrouver grâce à un ami à quatre pattes. C’est une manière simple, mais efficace d’évoquer le fait que les animaux sont parfois capables de ressentir des choses dont nous sommes nous-mêmes incapables. L’amitié entre Shiori et Aya continue de se renforcer, Shiori arrive à aider Aya à surmonter ses mauvaises pensées, mais il n’y a pas plusieurs manières de s’en séparer définitivement. Comme Shiori l’indique, elle ne connaissait pas son père, donc elle ne peut pas le pleurer, mais elle adore Aya. De plus, si elle sait qu’il était violent, il serait difficile de le plaindre… Pour la situation avec Kana, Shiori réussie aussi à convaincre Aya de lui rendre visite. Encore dans le coma, elle commence par tomber sur la mère de Kana et lui dire que sa fille s’est fait poignarder à cause d’elle. Gentille, sa mère lui répond qu’elle est fière de sa fille, Aya ne sait plus trop quoi penser. Pourquoi des personnes sont aussi gentilles avec elle ? La vie continue, et heureusement, Kana fini par se réveiller, et refermer la boucle d’angoisse d’Aya… pour l’instant. Parce qu’Aya souhaite désormais lui dire la vérité, celle qui est si lourde à porter, et qui continue encore de la ronger. En tant qu’être humain, on a parfois le besoin instinctif de voir notre comportement valider par les autres. C’est d’ailleurs un peu le cas pour les harceleurs, et les personnes qui restent passives à leur sujet, validant ainsi leur comportement. Nous, petit êtres humains, sommes aussi des animaux, avec des instincts primaires (suffit de constater la présence du viol and co encore aujourd’hui), parmi ses instincts, il y a celui de vivre en communauté et la recherche d’approbation. Certes, des personnes, comme moi, sont agoraphobe (peur du monde, de la foule), mais vivre en groupe ne veut pas dire vivre entouré de dizaines de personnes, parfois une seule suffit. [...]Extrait : Si vous lisez mes chroniques depuis quelques temps, vous aurez remarqué que j’ai indiqué qu’il y a des séries courtes qui sont des vraies pépites, et bien c’est le cas de celle-ci. Certes, elle peut être assez difficile à lire, mais le rythme est très bon, l’intrigue prenante, et les personnages super attachants, tout ce qu’il faut pour apprécier la série à sa juste valeur. D’ailleurs, je trouve que les tranches de vie s’apprêtent plus facilement à un format court, que les séries d’actions par exemple. Les sentiments et mauvaises pensées d’Aya reviennent alors que son amie Kana a été poignardée pour la protéger. Kana s’en veut énormément et pense qu’elle est responsable de cette situation. De nouveau, elle rêve de disparaître, au point où elle en vient même à traverser les objets, les murs, les voitures… Shiori se doute que ça ne va pas, elle commence donc à la chercher, et finira par la retrouver grâce à un ami à quatre pattes. C’est une manière simple, mais efficace d’évoquer le fait que les animaux sont parfois capables de ressentir des choses dont nous sommes nous-mêmes incapables. L’amitié entre Shiori et Aya continue de se renforcer, Shiori arrive à aider...
    Lire la suite
    En lire moins
  • OverTheMoonWithBooks 12/12/2021
    On continue de suivre l'évolution d'Aya, de son rapport aux autres et à la culpabilité de son parricide. Et depuis la fin du tome précédent, s'ajoute cette fois un sentiment d'échec, de trahison et de culpabilité de ne pas avoir su protéger son ami Kana. Il ne se passe pas grand chose dans cet épisode très cinématographique et psychologique mais cet épisode amène le lecteur à s'interroger sur les actes qui nous définissent ou non, sur le droit à l'oubli, les évènements traumatiques, le temps qui passe et la façon dont on se construit avec ces évènements. Et bien sûr, notre personnage principal découvre ici l'importance des amis ou de manière plus large dans les soutiens extérieurs pour aller de l'avant. Des thématiques très profondes avec peu de dialogues et des traits très épurés. J'ai hâte de voir comment se conclure cette série !
  • AnneClaire29 10/06/2021
    Aya continue sa vie entre le lycée, son petit boulot à la boutique de vélo et ses deux amies. Mais un soir où elle rentre avec Kana, elles sont agressées par le harceleur de Kana. Ce dernier voulant se venger d'Aya essaie de la blesser mais Kana s'interposer et se retrouve dans un état grave. Aya pense alors qu'elle n'apporte que le malheur et la noirceur autour d'elle. Elle décide de disparaître pour attendre sa mort mais c'est s'en compter la ténacité de Shiori. Aya va découvrir que l'amitié est un lien fort et qu'il peut sauver. Cet avant dernier met en avant l'importance de ce lien pour s'accepter et vivre aupres des autres.
  • lectiole 18/11/2020
    "Transparente" de Jun Ogino aux éditions @kurokawa : une série en quatre tomes dont le troisième opus confirme les points les plus marquants mais aussi l'apparent dépouillement. Ce qui frappe dans ce manga, c'est la figure d'Aya rendue invisible par l'ombre de son père, personnage dessiné de telle façon qu'on ne peut vraiment pas l'oublier. Paradoxalement, alors qu'il est empreint de négativité, ce sont les chapitres où il est présent qui sont les plus forts et le premier de ce troisième volume, le chapitre 11, est très inspiré avec de nombreuses métaphores et des illustrations très recherchées. En revanche, quand il s'agit de dépeindre l'amitié d'Aya pour ses deux camarades, aussitôt le texte comme les illustrations deviennent plus simples : quelques aplats noirs sur fond blanc ou gris suffisent, quelques échanges de mots. Tout baigne alors dans la simplicité et c'est ce qui me gêne un peu dans "Transparente" : la scène de la pêche avec le père dans le tome 1 restera encrée (ancrée ?) dans ma mémoire ainsi que quelques autres alors que les scènes de bonheur m'ont semblé plus transparentes. À voir comment sera écrit et illustré le quatrième tome... surtout s'il se finit bien. 🐞
  • pommerouge 02/11/2020
    Je remercie les Éditions Kurokawa pour l’envoi de cette lecture. Un manga que j’affectionne tout particulièrement, car il aborde des thématiques fortes et qu’on y ressent énormément d’émotions à chaque tome ! Aya a avoué son horrible acte envers son père. Heureusement pour elle, Shiori l’a très bien pris. Mais de l’autre côté, elle s’est faite une autre amie : Kana. Cette dernière n’est pas encore au courant. Malheureusement, à cause d’un pervers, elle se fait voler des sous-vêtements. Aya veut piéger cet homme en se rendant transparente, mais Kana finit par se faire poignarder… Elle se retrouve à l’hôpital et Aya s’en veut beaucoup. Elle se sent responsable de tout ça. Dernièrement, son pouvoir de transparence ne marchait presque plus, vu qu’elle avait envie d’être là, d’être présente. Mais suite à ce malheureux incident, elle se dit que disparaître totalement, pour toujours, serait peut-être la meilleure des solutions… Ce que j’ai adoré dans ce troisième tome, c’est le premier chapitre. Il y a très peu de texte, mais beaucoup de poésie et d’émotions dans chacune des pages. Il n’y avait pas besoin de mot pour comprendre ce que ressentait Aya. J’adore vraiment la complexité de ce manga qui parle de culpabilité, de souffrance, etc. C’est une saga vraiment très profonde. En bref, ce troisième tome est aussi beau que les autres de la saga. Je suis vraiment très curieuse de découvrir le quatrième et dernier tome. Je me pose plein de questions, mais je me demande surtout, comment tout cela va se terminer pour la pauvre Aya.Je remercie les Éditions Kurokawa pour l’envoi de cette lecture. Un manga que j’affectionne tout particulièrement, car il aborde des thématiques fortes et qu’on y ressent énormément d’émotions à chaque tome ! Aya a avoué son horrible acte envers son père. Heureusement pour elle, Shiori l’a très bien pris. Mais de l’autre côté, elle s’est faite une autre amie : Kana. Cette dernière n’est pas encore au courant. Malheureusement, à cause d’un pervers, elle se fait voler des sous-vêtements. Aya veut piéger cet homme en se rendant transparente, mais Kana finit par se faire poignarder… Elle se retrouve à l’hôpital et Aya s’en veut beaucoup. Elle se sent responsable de tout ça. Dernièrement, son pouvoir de transparence ne marchait presque plus, vu qu’elle avait envie d’être là, d’être présente. Mais suite à ce malheureux incident, elle se dit que disparaître totalement, pour toujours, serait peut-être la meilleure des solutions… Ce que j’ai adoré dans ce troisième tome, c’est le premier chapitre. Il y a très peu de texte, mais beaucoup de poésie et d’émotions dans chacune des pages. Il n’y avait pas besoin de mot pour comprendre ce que ressentait Aya. J’adore vraiment la complexité de ce manga qui parle de culpabilité, de souffrance,...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la newsletter Kurokawa, la newsletter qui a du punch !
Toute l'actualité 100% manga de vos collections et séries préférées.