" Ayelet Gundar-Goshen s'avère une conteuse née, à la virtuosité décoiffante. Inspiré de faits réels, Une nuit, Markovitch est une fable drôle et touchante qui impressionne par son souffle et sa maîtrise. Une belle découverte. "
LIRE
" A travers le destin de personnages innoubliables, Ayelet Gundar-Goshen signe une fresque tour à tour drôle, tendre et déchirante, avec pour toile de fond la création de l'État d'Israël. "
Horizons Agriculture et Nord Pas-de-Calais
" Un livre grave et léger comme la vie, sur fond de création de l'État d'Israël. "
Le Quotidien
" On a adoré les facettes des héros naïfs, le style imagé et le kaléidoscope de beaux sentiments. A mettre en haut de votre pile pour découvrir un roman différent, où l'on plonge dans l'Histoire en souriant. "
Flair
" Il faut lire ce livre pour le rire rayonnant comme une orange que vous donneront les personnages et leur justesse, pour le sourire face au style éclatant de sensualité d'Ayelet Gundar-Goshen [...] Et quand vous aurez fini ce livre en quartier, vous sentirez autour de vous le doux parfum d'orange. "
Chroniques de la rentrée littéraire
" Un somptueux coup de coeur pour un sombtueux roman. "
Wonderbook
"D'un style malicieux, plein de truculence, ce premier roman inspiré de faites réels est époustouflant. Traduit en huit langues, il mérite son succès !"
BIBA
" Un conte époustouflant sur le couple, l'amitié, la mort, la filiation. "
Express Styles
" On plonge dans un univers magique qui fait penser à Garcia-Marquez, on sent le souffle des grands livres, on se sent longtemps poursuivi par un entêtant parfum d'orange. "
La Charente libre
"C'est surtout un roman à la fois drôle, touchant et remarquablement bien écrit. Une grande fresque et une magnifique lecture."
Le Courrier de l'Eure
"l'Israélienne Ayeler Gundar-Goshen s'attache à sonder des cœurs ballottés autant par l'histoire que par leurs désirs."
"un récit attachant et colorés sur les anonymes qui œuvrèrent à la construction de l'Etat d'Israël."
Le Monde des livres
" L'intime et le collectif s'imbriquent dans cette saga où la sensualité est omniprésente, contagieuse. Et ce délicat parfum d'orange qu'exhale l'une des héroïnes l'emporte aisément sur les effluves du métro... "
Express Styles
"Ayelet Gundar-Goshen déroule les destins entremêlés de son quatuor, dans une fresque gorgée de vie où les personnages tiennent lieu d'allégories de leur terre. A l'aise dans tous les registres, sa langue se fait tour à tour facétieuse, sensuelle et mélancolique, éclat de rire, poème ou cri. Elle explore les sentiers larges et clairs de l'amitié comme ceux, plus tortueux, de l'amour, de la filiation et de la résilience. Une éblouissante conteuse est née."
ELLE
"Une fable sur l'entêtement d'un héros falot."
Libération
"Militante pacifiste à l'instar de son compatriote Amos Oz, l'Israélienne Ayelet Gundar-Goshen signe un premier roman bluffant, sous le signe de la fantaisie."
Lepoint.fr
"Ayelet Gundar-Goshen publie un premier roman d'une rare ambition, à la fois fresque amoureuse et politique. [...] Les critiques ont comparé l'auteur à Gabriel Garcia Marquez."
Challenges
« Un roman drôle et truculent, une pincée de réalisme magique et des héros inoubliables embarqués dans une aventure hors du commun… Une nuit, Markovitch, c’est le roman qu’aurait écrit Gabriel Garcia Marquez s’il était né en Israël !»
Yves Martin / Librairie Les Buveurs d'encre - Meaux
«L’histoire d’un village en Palestine et de ses habitants, avant, pendant, et après la création d’Israël, d’un couple improbable, et de la moustache la plus aimée des femmes.
Dans les années 1940, des hommes juifs de Palestine se rendaient en Allemagne pour essayer de sauver quelques femmes juives des nazis. Elles devaient alors se marier pour quitter le pays. Dans son roman, Ayelet Gundar-Goshen raconte l’histoire de Yaacov Markovitch, un homme très ordinaire, parti avec d’autres hommes, dont son ami Zeev Feinberg à la moustache friponne, épouser des Juives allemandes afin de les ramener en Palestine. Là, ils doivent divorcer et rendre leur liberté à ces femmes. Mais le sort a attribué à Markovitch une très belle femme, Bella. Et de retour en Palestine, il ne veut pas renoncer à ce mariage. Mais Bella ne l’aime pas. Et on comprend très vite que si bonheur et amour sont liés, Bella ne connaîtra jamais ce sentiment d’allégresse. On entre aussi dans l’intimité de tout une galerie de personnages avec lesquels on se sent spontanément en empathie. Il y a le séduisant Zeev et ses bacchantes expertes en amour, Sonia, le grand amour de Zeev, à la peau au parfum d’oranges, le boucher Mandelbaum et sa femme Rachel, les enfants… Un premier roman plein de vie et de drôlerie, truculent, sensuel, parfois tragique.»
Françoise Gaucher / Librairie Le Coin des livres - Davézieux - 07430
«Les personnages m’ont immédiatement embarquée dans cette histoire si sensuelle et pleine d’odeurs. Ils sont vivants, drôles et déchirants, une vraie pépite à mettre entre toutes les mains.»
Christelle / Le Furet Du Nord - Lille - 59