Dis, t'en souviendras-tu ? : Le livre de Janine Boissard

Résumé Aude à 23 ans, elle est l'épouse d'un célèbre parfumeur de Grasse. Ce matin, elle se réveille à l'hôpital, privée d'une partie de sa mémoire. Elle apprend qu'on l'a retrouvée, inanimée, sur un chemin désert non loin de la voiture de son mari, portières ouvertes. Aidée d'un psychiatre, elle va tenter de recouvrer la mémoire. Que lui est-il arrivé ? Avis après Lecture Aude est retrouvée sans connaissance a côté de la voiture de son mari, en pleine campagne. Aucune trace de ce dernier. Amnésique, Aude va devoir se réapproprier son passé, remettre en place les pièces du puzzle. Mais les souvenirs qui, peu à peu, refont surface, ne sont pas ceux d’une vie de femme épanouie, bien au contraire... Ce roman traite avec tact la condition des femmes maltraités, physiquement ou psychologiquement et le chemin difficile qu'elles font pour dépasser la honte qu'elles subissent au quotidien. Ce fût vraiment une merveilleuse découverte et un excellent moment de lecture. Une atmosphère plus lourde qu'a l’accoutumée mise au service de l’intrigue des personnages très attachants et le style tout en sensibilité de l’Auteure qui accompagne les lecteurs par la main, tournant les pages, on se ressent de plus en plus proche d’Aude. Je suis littéralement tombée amoureuse de la plume de Janine Boissard. Merci Madame Boissard de m'avoir emporté dans votre univers, ce fût un véritable plaisir pour moi.

Grosso modo : j’ai mis tout juste au-dessus de la moyenne, car c’est un livre qui se laisse quand même lire, mais sans plus. Tout comme la plume de l’auteur, simple. D’ordinaire, ce n'est pas vraiment un problème pour moi (chacun son style). Mais là, les ponctuations à outrance donnant des phrases à rallonge, bof. Surtout qu’on n’est pas aidé avec les nombreuses coquilles retrouvées au fil des pages. Outre la forme, passons au fond : bon, le classique de l’amnésie. Je pensais vraiment lire du pointilleux (car l’auteur a reçu l’aide de spécialistes) et d’intrigant. Mais finalement, au fur et à mesure, on tombe dans le conte de fées ? Littéralement. Le suspense est mis de côté pour plonger dans le « tout va bien dans le meilleur des mondes » (ahah). C’est tellement un enchaînement de « parfait » qu’on en oublie qu’il y a, en fait, une disparition/meurtre à élucider… On se demande quand on va remettre les pieds dans le plat. Et quand on retombe dedans, ça fait plaisir, mais c’est aussi trop mollasson. Je peux comprendre que l’auteure veuille écrire une histoire positive malgré la situation dramatique d’Aude. Mais bon, là ? Un manque d’empathie pour un mari/fils/frère monstrueux n'est pas surprenant, néanmoins, la façon dont c’est dépeint est trop déroutante. De la même manière où certains personnages se connaissent depuis hier, mais agissent comme s’ils se connaissaient depuis vingt ans… Après une ignorance proche de la non assistance à personne en danger ! Bref. Si je voulais lire de la « guimauve », j’aurais pris autre chose quoi. Honnêtement, je ne m’attendais pas à cela. Pour un thriller, c'est tout juste passable. D’ailleurs, la fin m’a semblé précipitée et pas surprenante du tout, puisque tout est cousu de fils blancs. C’était mon tout premier livre de Janine Boissard. Certes, la lecture n’a pas été pénible ; il y a pire, mais il y a aussi bien mieux. Finalement, je n’ai pas envie de me jeter sur d’autres œuvres de cette auteure (contrairement à d’habitude). Voilà ce que j’ai ressenti en refermant mon livre.

Grosso modo : j’ai mis tout juste au-dessus de la moyenne, car c’est un livre qui se laisse quand même lire, mais sans plus. Tout comme la plume de l’auteur, simple. D’ordinaire, ce n'est pas vraiment un problème pour moi (chacun son style). Mais là, les ponctuations à outrance donnant des phrases à rallonge, bof. Surtout qu’on n’est pas aidé avec les nombreuses coquilles retrouvées au fil des pages. Outre la forme, passons au fond : bon, le classique de l’amnésie. Je pensais vraiment lire du pointilleux (car l’auteur a reçu l’aide de spécialistes) et d’intrigant. Mais finalement, au fur et à mesure, on tombe dans le conte de fées ? Littéralement. Le suspense est mis de côté pour plonger dans le « tout va bien dans le meilleur des mondes » (ahah). C’est tellement un enchaînement de « parfait » qu’on en oublie qu’il y a, en fait, une disparition/meurtre à élucider… On se demande quand on va remettre les pieds dans le plat. Et quand on retombe dedans, ça fait plaisir, mais c’est aussi trop mollasson. Je peux comprendre que l’auteure veuille écrire une histoire positive malgré la situation dramatique d’Aude. Mais bon, là ? Un manque d’empathie pour un mari/fils/frère monstrueux n'est pas surprenant, néanmoins, la façon dont c’est dépeint est trop déroutante. De la même manière où certains personnages se connaissent depuis hier, mais agissent comme s’ils se connaissaient depuis vingt ans… Après une ignorance proche de la non assistance à personne en danger ! Bref. Si je voulais lire de la « guimauve », j’aurais pris autre chose quoi. Honnêtement, je ne m’attendais pas à cela. Pour un thriller, c'est tout juste passable. D’ailleurs, la fin m’a semblé précipitée et pas surprenante du tout, puisque tout est cousu de fils blancs. C’était mon tout premier livre de Janine Boissard. Certes, la lecture n’a pas été pénible ; il y a pire, mais il y a aussi bien mieux. Finalement, je n’ai pas envie de me jeter sur d’autres œuvres de cette auteure (contrairement à d’habitude). Voilà ce que j’ai ressenti en refermant mon livre.