La Cité diaphane : Le livre de Anouck Faure
Merveille architecturale élancée vers le ciel, RocheÉtoile a connu la gloire avant une chute brutale. La ville sainte de la déesse sans visage est maudite, réduite à l'état de nécropole depuis que les eaux de son lac et de ses puits sont devenues poison mortel, victimes du mystérieux mal d'onde.
Sept ans après le drame, l'archiviste d'un royaume voisin se rend dans la cité défunte avec pour mission de reconstituer le récit de ses derniers jours. Mais il s'avère bientôt que Roche-Étoile abrite encore, dans le dédale de ses ruelles, quelques âmes égarées. Ici un forgeron, là une chevaleresse, et d'autres qui gardent dans ce labyrinthe les sombres secrets du passé.
" Sombre, cruel, tragique,
La Cité diaphane est sans conteste un joyau. " Yozone
" Un petit chef-d'oeuvre de fantasy gothique. " Roméo – Librairie Au vent des mots (Lorient)
" Un roman comme un sortilège, une écriture envoûtante. L'étrange impression de lire un classique qui a existé de tout temps, et de découvrir une voix nouvelle et singulière. " Estelle Faye
Cet ouvrage a reçu le Prix Sirennes des Étudiants
De (auteur) : Anouck Faure
Expérience de lecture
Avis des libraires
Avis Babelio
elisehr
• Il y a 1 semaine
Belle découverte de la plume d'Anouck Faure, que je ne connaissais pas. L'écriture est très poétique, ce qui sied merveilleusement bien à l'histoire. La mystérieuse cité de la déesse sans visage livre nombre de ses secrets, non sans peine : les personnages, individualités marquées et attachantes, ne se laisseront pas gentiment pousser hors du récit ! J'ai beaucoup aimé m'attacher à des personnages pourtant moralement ambigus, et observer toutes leurs dynamiques.
laus_diary
• Il y a 1 semaine
Roche-Etoile, la cité de la déesse sans visage, est une ville fantôme depuis que ses eaux sont devenues poisons. Quelques années après le drame, une archiviste décide de s’y rendre afin d’y explorer la triste histoire de ces derniers jours. Mais elle va y découvrir des âmes errantes et une cité qui regorge de terribles secrets… La Cité Diaphane est un roman unique qui repose sur une esthétique gothique terriblement étouffante. L’autrice nous embarque dans un voyage singulier où malédictions, trahisons et personnages énigmatiques rythment le récit. J’ai adoré l’univers riche, la plume envoûtante et parfois macabre et j’ai été subjuguée par les illustrations de l’autrice qui jalonnent le récit. Si vous aimez la fantasy gothique, qu’attendez-vous pour découvrir ce roman ?
mel_andbooks
• Il y a 2 semaines
Voici le genre de plume poétique que je recherche de plus en plus dans mes récits. Une plume qui transporte, t’enlace et te fait vibrer aux côtés des personnages. Le meilleur dans tout ça ? C’est qu’aucun n’est vraiment attachant dans cette histoire mais l’autrice arrive tout de même à nous attraper dans ses filets. #10240; C’est un roman atmosphérique où les sensations ont la part belle. Attendez-vous à être dégouté et dérangé par certains aspects mais j’aime aussi ce genre de situation où l’auteur.rice fait sortir le.la lecteur.rice de sa zone de confort. #10240; J’ai aimé découvrir cette fameuse cité à travers les yeux des différents personnages, qui sont d’ailleurs très peu. #10240; Si j’hésitais déjà à acheter Aatea avant ma lecture de La cité diaphane, je peux maintenant vous dire que son autre one shot m’attend gentiment dans ma pal. #128064;
Sleazoid
• Il y a 1 mois
Ce livre est l'illustration parfaite qu'il est parfois payant d'insister, de persévérer lorsqu'on pressent le potentiel d'une œuvre mais que son autrice s'évertue a vous entailler les doigts a chaque page tournée. D'ailleurs, les 100 premières sont extrêmement poussives. Si lourdes que le livre était prêt a m'échapper des mains. Alors oui je me doute que ces quelques lignes peu engageantes pourraient éloigner le lecteur potentiel. Pourtant le reste de ce petit roman gothique mérite qu'on s'accroche. Disons que le récit est construit depuis le point de vue d'un archiviste qui retrouve la mémoire a un certains moment. Malheureusement toutes les parties de cet ouvrage ne se valent pas. Commençons par un des points qui m'a sorti de la lecture. La narration. Bancale. Surtout quand l'autrice, pour entretenir un suspense je suppose, brise plusieurs fois le 4 eme mur en s'adressant au lecteur. Et dans quel but me direz-vous? Juste pour nous narguer avec ce type de phrase: "mais vous comprendrez plus tard". Je ne suis déjà pas un grand fan de ce procédé narratif, souvent utilisé à mauvais escient, mais là on atteint des sommets. Très agaçant. Autre point d'insatisfaction: les dialogues. Parfois gourds et mal maîtrisés quant il s'agit d'employer un langage emprunté du moyen-age. Cela n'a rien arrangé pendant la lecture de la première partie sauf provoquer un rire narquois qui n'a fait que contribuer a me sortir un peu plus de ce texte. Plus généralement la plume est chargée. Peut-être à l'excès parfois. Certaines formulations syntaxiques sont... étranges et m'ont comme raclé le cerveau sous l'effet d'une combinaison de mots hasardeux. Globalement, ce qui précède la "révélation", charnière du roman, est assez faible et m'a fortement déplu sur la forme. De toute façon l'aura de mystère tombe complètement à plat. Aucune de ces révélations ne sera une surprise pour vous. Disons que l'identité et la nature du narrateur principal, bien qu'ils soient un des enjeux du texte, seront facilement déductibles pour vous bien avant de l'apprendre par le texte. Et puisque l'irritation de votre humble serviteur n'a aucune limite, j'ajouterai que l'ambiance peinte par son autrice pendant, encore un fois cette fameuse première partie, se voudrait gothique, mais malheureusement le manque de détails architecturaux, le faible jeux d'ombre rend l'expérience tout juste morne, comme une balade sous la pluie au mois de janvier. Après cette exécution en règle il serait logique de dire que cette lecture fastidieuse est à absolument déconseiller. Et honnêtement j'allais suspendre ma lecture et voguer vers d'autres horizons. Et littéralement par feignantise de changer de livre, j'ai continué la lecture. Et c'est ainsi que Roche étoile m'a eu. La dernière partie de ce texte est une vraie réussite dont les inspirations, toutes parlantes, se mêlent a merveille pour aboutir a une matière noire, organique, et visqueuse digne des plus belles planches d'un berserk. Ici les cathédrales sont de chaire et d'os. D'ailleurs les illustrations de l'artiste sont sublimes et rappellent les gravures des couvertures des Jules Verne. La narration se fait plus fluide, moins ampoulée. Passant du conte sombre a la décente aux enfers, son autrice est enfin parvenue a me captiver. Plusieurs thématiques posent une chape de plomb du plus bel effet sur le récit. Je pense a l'inceste, a la relation toxique entre un parent et son enfant, aux liens du sang, a la curiosité insatiable et aveugle. D'où, sans aucun doute, ces hectolitres "d'humeur". Alors oui je pourrais presque déclarer detester la longue entame de ce texte. Je confesse ce péché. Mais le final de cette œuvre est une apothéose dégoulinante, très réussie. Illustré par quelques derniers dessins de l'autrice particulièrement beaux, le texte s'envole (ou s'enfonce plutôt), dans une un abime viscéral très immersif. Comme quoi, si l'amour vache avait un nom, ce serait roche-étoile.
Avis des membres
Fiche technique du livre
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- Genres
- Romans , Roman Fantastique & Fantasy
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- EAN
- 9782266345859
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- Collection ou Série
- Imaginaire
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- Format
- Poche
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- Nombre de pages
- 352
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- Dimensions
- 180 x 111 mm
Nous sommes ravis de vous accueillir dans notre univers où les mots s'animent et où les histoires prennent vie. Que vous soyez à la recherche d'un roman poignant, d'une intrigue palpitante ou d'un voyage littéraire inoubliable, vous trouverez ici une vaste sélection de livres qui combleront toutes vos envies de lecture.
9,30 € Poche 352 pages