La sage-femme de Berlin : Le livre de Anna Stuart, Cristelle Ledroit

J’ai adoré j’avais lu le tome 1 la sage-femme d’Auschwitz et j’ai appris quelque temps après qu’il y avait cette suite et je ne regrette pas. L’histoire m’est revenue assez vite et j’ai préféré ce tome suivre Kirsten et Olivia tout au long de cette histoire. Dans les livres, on parle beaucoup d’Auschwitz mais pas forcément de l’après surtout à Berlin ce tome se passe au moment de la construction du mur de Berlin c’était intéressant à lire aussi car on voit bien la distinction entre le Berlin ouest et Berlin est. [masquer]Un des personnages du livre à réellement existé Anna Stuart s’en est inspiré et l’a fait exister aussi dans son histoire pour lui rendre hommage il s’agit de Dieter celui-ci aidait les gens de l’est à sortir vers l’ouest il a été dénoncé par la mère d’une de ses amies qu’il avait aidé à sortir peu de temps avant et du coup abbatu.[/masquer]

J avais déjà lu le premier tome alors évidement c etais un plaisir de retrouver les personnages. J ai plutôt trouver cela bien dans l ensemble cela se lit on a pas les émotions comme dans le premier a vrai dire j'ai plus été intriguer par le côté historique du mur dont personnellement j'ai peu de souvenir que par les point de vue des personnages. Jai vu qu'il y avais un troisième qui cette fois ne semble pas suivre. Meme si l ecriture ai agréable je ne continuerais pas la 3eme lecture

Deuxième tome de la saga " La sage femme d'Auschwitz", on y suit plusieurs personnages en alternance dont Ester à la recherche de sa fille Pippa enlevée lors de sa naissance à Auschwitz.  Pour avoir la possibilité de retrouver les enfants nés à Auschwitz, Ester tatouait le numéro des mères des enfants sous les aisselles des nouveaux nés. À la fin de la guerre les numéros inscrits sur les registres permettaient aux mères d'avoir une "chance" de retrouver leur enfant. Pour d'autres cela n'a pas été le cas, ne sachant pas si leur enfant était mort ou encore en vie placé dans une famille nazie. En 1961, nous retrouvons Ester, Filip son mari et Olivia sa fille adoptive. Si la guerre est terminée, c'est un autre type d'enfermement qui divise Berlin est et Berlin ouest : un mur sans barbelés. Ester est un personnage phare du récit et c'est à partir de son histoire que l'intrigue continue mais elle ne fait pas partie des personnages principaux. On va suivre en alternance Olivia et Kirsten. L'une a été adoptée par Ester suite au décès de sa mère au sein du camp de concentration, l'autre a été élevée dans une famille Allemande et ont en commun une quête : retrouver leurs racines. Anna Stuart détaille avec précision un contexte historique dans lequel on s'immerge sans difficulté. Nous passons de l'est à l'ouest, l'inquiétude règne et nous sommes embarqués dans rythme soutenu entre le quotidien d'Olivia et Kirsten et la situation politique du pays. L'histoire de chacun des personnages s'entremêlent pour se retrouver autour d'Ester : le fil rouge du récit. Un deuxième tome excellent sans vraiment de suspense mais riche en informations historiques et politiques.

Après avoir adoré La sage-femme d’Auschwitz d’Anna Stuart, j’ai retrouvé avec émotion son univers dans ce nouveau roman. Dès les premières pages, on est transporté en 1943, en plein cœur des atrocités de l’époque. Chaque détail, chaque personnage est si bien décrit qu’il est impossible de lâcher le livre. Une histoire bouleversante, parfois douloureuse, mais aussi porteuse d’espoir… jusqu’à cette vérité que l’on attend tant. Je ne vous dirai rien de plus, mais si vous voulez savoir si Ester retrouve sa fille… foncez ! #x263a