Le pianiste : Le livre de Wladyslaw Szpilman

Dommage que ma critique soit passée à la trappe, il me reste juste la queue et le ventre que j'ai pu sauvegarder. Voici : ….Ah le train pour la littérature (de l'Est à l'Ouest) , plus à l'Est d'ailleurs, c'est vraiment le substrat qui inspire les artistes. C'est là que se font les plus belles rencontres amoureuses, que se croisent toutes les classes de la société, pas seulement du pays mais aussi internationales, et que naturellement des «  Au revoir », des étreintes se disent, se font en se croyant seuls au milieu de la foule qui charrie bien jusqu'à l'élégance des grandes toilettes au milieu des fumées acres toutes sortes de drames et de tragédies semblant se jouer sur un coup de dés. À l'époque le train prenait surtout des allures de cauchemar. Quand Wladyslam Szpilman est dans la rafle pour les camps, il ne sait pas que son destin va se jouer là, grâce contre toute attente à la présence d'un admirateur qui le reconnaît et qui le fait le sortir de là. Il sera sauvé moyennant des sacrifices certes, mais l'important était de sauver sa peau, s'échapper de l'horreur. le train n'a pas d'odeur !.. Mais qui pouvait échapper au ghetto de Varsovie finalement qui n'est plus qu'un amas de ruines, après cache sur cache grâce à des amis. Il va falloir attendre la fin de la guerre pour qu'un officier allemand de la Wehrmacht le tire de la misère et de la faim.. nouveau coup du destin. Mais notre ami ne pourra plus prendre le train et recouvrer ses tournées fastes de pianiste, broyé par la tragédie familiale. PG 10 septembre 2025. Je voulais contribuer à ma modeste façon à faire vivre cette mémoire qu'on n'a pas le droit d'oublier et qui ne saurait être foulée du pied par des tarés qui se l'accaparent en la dénaturant pour justifier leur néant et leur vacuité

Adorant le film éponyme, je ne pouvais qu’apprécier ce livre écrit par le protagoniste lui-même. Quelles épreuves il a traversé, cela semble si irréel, et pourtant, la cruauté a bien été présente. Cet aspect de la Seconde Guerre mondiale est encore présent dans nos mémoires, et cela doit rester ainsi. Que vous aimiez l’Histoire ou non, c’est un livre important à lire!

Ce livre m'a énormément touché. Découvrir la vie des juifs à Varsovie pendant la 2nde guerre mondiale, suivre l'un d'entre eux pendant cette période, m'a remuée. Je croyais connaitre beaucoup de chose sur cette guerre mais la vivre au travers de l'histoire inimaginable de Wladyslaw Szpilman est bien différent des livres d'histoire. L'auteur a présenté son histoire comme si ce n'était qu'un roman, avec détachement. Je crois que cela m'a encore permis de mieux apprécier son histoire. Un très beau livre à découvrir ou redécouvrir, même pour ceux ayant déjà vu le film quia été tiré de ce roman.

Ce roman n'en est pas un. "Le pianiste" a réellement existé et nous raconte son histoire. Le récit de sa vie dans Varsovie. Avant et pendant le ghetto. De toutes les horreurs vues, vécues. Et des quelques espoirs aussi, bien que rares. Une écriture qui laisse peu de place aux émotions. Pas de pathos. Pas de mélancolie. Les faits tels qu'ils les a vus. Tels qu'ils les a vécus. Et avec ça... Aucune envie de vengeance. Un récit de survie. Essentiel PS: la lecture du journal du capitaine allemand qui suit est au moins tout aussi essentielle.