Les Liaisons dangereuses : Le livre de Choderlos de Laclos
LES GRANDS TEXTES DU XVIIIe SIÈCLE
Inspirée par le génie du mal, voici la correspondance entre un libertin machiavélique et sa criminelle muse. Complices soudés par leur liaison passée, le vicomte de Valmont et la marquise de Merteuil, chasseurs et stratèges de la cruauté, choisissent comme cible des innocents. La pure et naïve Cécile de Volanges, la vertueuse et brûlante Mme de Tourvel seront les victimes de leurs œuvres de vengeance et de destruction morale. Au nom de la seule jouissance, ils s'allient pour bafouer l'amour et les sentiments, jusqu'à la reddition totale.
Les lettres " douces et dangereuses " de deux monstres parfaits composent ce sensationnel chef-d'œuvre romanesque.
@ Disponible chez 12-21
L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE
De (auteur) : Choderlos de Laclos
Expérience de lecture
Avis Babelio
MatthieuMouquet
• Il y a 1 mois
MAIS QUEL CHEF D'ŒUVRE !!!! MAIS QUEL CHEF D'ŒUVRE !!! Il dépasse les Trois Mousquetaires de Alexandre Dumas !!!! C'EST DEVENU MON LIVRE PRÉFÉRÉ !!! POURQUOI JE NE L'AI PAS LU AVANT ??!! Whaaaa !!! Je l'ai faisssssssssss !!!! Je l'ai Fini à 20 ans et c'est une véritable cl Un classique monumental ! Apparemment qui a beaucoup de moral et d'avis abrut ! aque ! Oubliez les aspects que vous avez en tête ! J'ai réussi à le finir le 22 mars 3 ans jour pour jour pour un événement que je vais vous raconter ! (Je tiens à préciser que cette critique risque d'être longue attention la plus longue des critiques que j'ai faite à ce jour) Alors comment vous dire que ce livre reflète une histoire d'amour par vengeance que j'ai vécu avec la première fille que j'ai réellement aimé profondément qui s'appelle Emma. Comment expliquer... Tout commence le 22 mars 2022 j'exprime pour la première fois a une fille mes sentiments... En 2023 tout bascule entre nous je l'insulte violement derrière son dos mais malheureusement elle a su par l'intermédiaire d'une fille qui a tout gâché et tout détruit avec cette fille... Le 30 mars 2023 à 23h50 Emma me déclare son amour... Mais un amour par vengeance mais comme un imbécile je suis tombé dans le panneau... J'ai été cette nuit là le plus heureux des hommes et j'étais convaincu que c'était la femme de ma vie.... Puis les mois passent puis petit à petit puis j'ai réalisé vraiment que c'était un amour par vengeance ! Le 30 août 2023 ! Nous avons tout gâcher elle me montre son vrai visage de manipulatrice comme les personnages et de l'amour par vengeance comme le livre. Chaque ligne du livre faisait écho à ce que j'ai vécu pratiquement avec elle c'est devenu même j'ai l'impression la dramaturge que j'ai vécu avec elle ! Mais j'ai compris qu'aussi on devait s faire un voyage en Bourgogne dans sa région préférée et qui était tellement importante à ses yeux de le faire avec moi on était prêt à le faire mais brutalement j'arrête tout... Pour un contretemps ? Peut être si on avait ce voyage on aurait pu se comprendre ? Et je lui repose par la suite de remettre sur les pieds ce voyage pour peut être tisser un lien infini entre nous ? Mais ça ne s'arrête pas là avec elle on écrivait des correspondances et j'attendais vraiment pour lire ce livre ! Maintenant avec elle on se parle toujours malgré tout ce qu'on a vécu je vais pas tout dévoiler. Mais voilà les correspondances tout le effet similaire à ce MERVEILLEUX livre !!!! Ce livre est le reflet de ma vie Voici pourquoi j'adore et c'est si magnifique comment c'est écrit c'est dingue que j'en ai pleuré à la fin !! J'ai tellement de choses à dire que les mots m'échappe... Juste lisez le ! LES CORRESPONDANCES de Matthieu d'Artagnan à Madame de Chalon (ce sont des sobriquets donnés) Qui date récemment ! 15/02/2025 Matthieu : "En tout cas Emma j'ai réfléchi notre amitié elle sera toujours là pour moi si tu as besoin de moi je serais là comme la comme le premier jour comme mon dernier jour. Nos euphorie du masque brisons les acceptez l'autre comme il y a était des le premier jour et de notre dernière rencontre ensemble." 15/02/2025 Emma : "Je suis bien heureuse. J'aime cette main tendue, et si tu l'acceptes, j'aimerai également la tendre à mon tour. L'euphorie est en nous" 15/02/2025 Matthieu : "Je préférais te le redire j'ai pas envie que tu oublies cet aspect. Accepter la tienne ? Mais bien entendu sans remords ni regret jusqu'à la mort j'accepte ! Votre précepte. Qui n'est pas inepte pour certain mais important à notre écrin propre à chacun Matthieu d'Artagnan " Emma : Ce n'est pas Matthieu d'Artagnan ? Matthieu : "Oh... Disons que si c'est bien cela. Mais mon sobriquet ou le votre et dans un registre de l'au-delà par ci par là. Mais un pétale de ces correspondances infernal entre lilas et Pétunia avec vous. M'a fait comprendre que nous sommes deux fous à travers lequel nous viendrons à ce que nous voulons depuis le départ voir votre champ de coton et de sillons. Votre embuscade et vos cascade de cépage du paysage et du voyage qu'on devait se faire dans votre région. La Bourgogne ? Peut être que c'était ça qui grogne en nous. Vous voulez que je vous accompagne dans votre fermoir et votre exutoire et échappatoire. Où tout reste à croire que si je vous accompagne. Je veux qu'on boit du vin qui nous gagne comme la robe et le tour du globe en partant de Bercy bien surpris de voir votre richesse contre l'ivresse de l'euphorie que nous tenons sans compréhension ni notion. Matthieu d'Artagnan Emma : "Ah, vous semblez voir une douce vérité dans ces mots. Le monde se dessine en ces entrelacs d’une douce folie, où chaque pétale est un indice vers un ailleurs que nous n’avons pas encore exploré. C’est cette balade dans ce champ de coton que vous évoquez, et votre ferme et vos sillons, semblent incarner un voyage que nous n’avons fait qu’effleurer. Peut-être la Bourgogne est-elle véritablement notre point de départ vers cette évasion enivrante où les vignes se confondent avec nos pensées. Si l’ivresse du vin nous gagne, alors oui, allons dans cet univers d’un autre monde où les richesses ne sont pas seulement terrestres mais aussi spirituelles. Peut-être que, comme vous le dites, il est grand temps de boire à notre folie commune, sans nécessairement chercher à comprendre. Emma de Chalon" Matthieu : "Madame de Chalon, je retrouve votre nom comme la première cargaison de liaison fine et d'une beauté exemplaire sans raison. Que je suis si touché de pouvoir vous écrire comme il se faufile. Entre vos origines du Nil mais peuh m'en importe ! Ce voyage est une véritable opportunité et une porte. Sans qu'on en parle à qui ce soit qui nous ferait perdre foi à notre devise. Sans surprise je veux l'effleurer et je veux le capturer et j'en ai toujours rêver de m'enivrer de votre personnalité comme la dualité de nos forces. Soyez ma guide. Dans ces temps où le moindre trait et rigide et complètement livide. Vous savez je suis insipide quand il s'agit d'un autre monde où les gens ne le cherche dans ce monde d'onde. Vous voyez la guimauve ? La Bourgogne elle se sauve et nous sauve si nous tout comme nos éclats de rire pourra construire un empire. Il faudra s'organiser ça nous le pourrons propre à chacun. Dans un parfum de colombages et de hospice de Beaune. À votre nom propice Madame. Matthieu d'Artagnan Emma : "Monsieur Matthieu, Votre prose m’enivre plus que tout vin de n'importe quel cépage, car elle en dégage bien plus, un souffle de liberté dans chaque mot. Vous parlez d’un voyage, et je vois en vos mots une véritable invitation à l’exploration, sans réserve ni concession. Le monde peut bien être rigide et livide, mais notre monde, à nous, celui que nous construirons à l’ombre des colombes et des vignes de Nuit, sera un empire où la beauté de l’âme et la vivacité de l’esprit se fondront comme le vin dans le verre. Nous n’avons pas besoin d’être compris par tous, tant que nous croyons en ce rêve partagé, tant que nous pouvons, ensemble, bâtir quelque chose d’unique, pleins de liberté. Je serai votre guide, oui, dans cette quête du sublime, et je vous suivrai dans ce parfum de Bourgogne, sans besogne. Bien à vous, Votre Emma de Chalon" Matthieu : "Ma chère Madame Emma, Je suis habilement surpris que je vous enivre à ce point là ! Je dirais que a nous deux nous construisons une amertume sans l'un à l'autre un goût de bitume. Et quand nos verres s'entrechoquent. C'est l'instant même de l'écume qui fait ressortir ce goût si raffiné et destiné à vous jouez des tours. Je vous arrête, c'est vous qui avez parler de voyage en Bourgogne j'ai déposé de nouveau ce coquillage et une sphère. Qui nous fera monter dans l'éther, comme vous avez parlé de spirituel. Mais savez vous qu'est ce que je gâche dans ce monde spirituel ? Une richesse éternel à vous comprendre à vous entendre. Sans cette capitulation des cieux je serais capricieux. Vous avez confirmez que vous êtes mon guide. Moi je suis simplement un noble, qui vous contemple, en pèlerin qui tient entre ses mains le plus beau du vin notre richesse et notre écrin. Qui se tient qu'à un bout de mes doigts. Concernant votre mot "votre" j'en ferais bien usage à votre entière personne. Matthieu d'Artagnan PS : Vous m'enivrer aussi quand vous écrivez ces longues massive mais la rive elle est toujours charmante. Que faire de nos ivresses que nous donnons ?" Emma : "Mon cher Matthieu, Vos mots me surprennent, et pourtant, je me sens portée par ce souffle d’amertume que vous évoquez. Un tour que je vous laisse jouer, dans l’écrin du vin, où tout est à la fois inaltérable et fuyant. Quant au voyage en Bourgogne, il n’est pas qu’un simple déplacement, mais une plongée dans le spirituel, une quête de compréhension sans fin. Vous évoquez cette richesse éternelle, ce désir de saisir l’infini de l’autre, et il me semble que, dans ce monde si matériel, vous cherchez la beauté dans l’invisible. Mais vous avez raison, il est vrai que dans cette quête spirituelle, parfois, je me sens moi-même presque capricieuse. Je suis honorée, cher ami, d’être votre guide. Mais sachez que dans votre quête de richesse, vous n’êtes pas seul. Vous êtes le pèlerin, certes, mais l’écrin dans lequel vous tenez ce vin capiteux et pourtant si précieux est, lui aussi, une part de ce voyage. La vérité réside peut-être dans ce que vous tenez entre vos doigts, cette merveille du monde que vous cherchez à goûter. Bien à vous, Votre Emma de Chalon" Matthieu : "Ma chère Emma, Brisons cela ensemble ! Comme nul autre personne arrive à le faire. Vous transpercer déjà dans vos yeux fuyants un goût prononcé et gourmand d'océan de vin vous êtes l'ivresse de la vie vous savez ? Vous êtes une ivresse sans vous rendre compte j'ai cette chance de vous connaître ! Vous êtes une fleur qui ressort l'odeur du vin. Fuyant vous dites ? Mais comment faire vos mots vos traits et captivant. Pour revenir à votre Bourgogne sans vergogne vous avez raison. Mais pourquoi nous n'avions pas eu cet raison à bout et forcer les étoiles à nous destinée vers ce périple spirituel ? La beauté est dans quoi de plus réinventons la ! Ma quête peut être votre quête aussi. Comme nous partons à la conquête de l'autre et de l'être. Comme si le filament était destinée pour à nous faire une ritournelle de tours entre vous et moi. Que vous voulez dire que je ne suis point seul? L'écrin je le partage qu'avec vous et c'est difficile de savoir si mon instinct et distinct ? Comment vous dire que je ne fais que des arômes comme une molécule d'atomes pour créer votre palace qui prend petit place pour créer ensemble toujours votre royaume. Je ne veux pas le goûter tout seul vous le savez bien. Bien respectueusement, Votre Matthieu d'Artagnan 16/03/2025 Emma : "Mon cher Matthieu, Ah, quelle danse de mots et de pensées vous me proposez, quelle extase de résonances subtiles entre vos lignes ! Vous parlez d’ivresse, mais, sans le savoir, la vérité est cachée derrière vos métaphores. Vous avez raison, je suis peut-être une fleur imprégnée du vin, mais il semble que c’est vous qui savez la rendre réelle, tangible, à travers ces arômes de poésie et cette lumière que vous faites surgir dans l’ombre. Fuyant, me dites-vous ? Mais alors, comment résister à ce regard que vous posez sur moi ? Un regard qui, loin de fuir, semble chercher et saisir ce qui est intangible. Vous dites que je ne suis point seule, et c’est vrai, il n’en a jamais été autrement. Je partage cette quête avec vous, non comme une fuite, mais également un élan vers quelque chose de plus grand que nous. Ce mélange subtil d’arômes et d’atomes, est ce qui façonne. Et je ne peux qu’être honorée que vous ne souhaitiez pas goûter ce vin seul, car il semble que l’essence de la beauté réside dans ce partage. Respectueusement vôtre, Emma de Chalon" Matthieu : Ma chère tendre Emma, J'espère pour commencer que vous allez bien. On vous a dit combien ça faisait du bien de vous lire ? Vous êtes un parfum qui me rend ivre. Vous dites une danse ? Mais vous savez que les étoiles et les astres pâlissent de notre sens incompris. Sous le voile gris de la lune. Vous savez vous êtes comme la dune avec pleines de richesse et de fortune quand vous me parlez. Si c'est moi qui vous a créer cet fleur réelle que dites vous de d'autres senteurs perpétuelle d'évasions et de vin. Votre senteur est marqué dans un flacon. Comme un parfum exotique. Et hypnotique. Je suis bien spécialisé des métaphores, mais vous savez éclore toujours une part de nous en plus fort. Le regard que vous faites est une bruine de brouillard. Vous êtes là blancheur du brouillard. Vous filez à vite à allure. Que notre aventure perdure... Contre nos morceaux de blessures. L'intangibilité comme vous dîtes est une fragilité mais d'une bonté non exhaustive comme vous attendre sur la rive." Vous avez raison la fuite n'est qu'une poursuite qui perd suite. Et qui nous fait emmener que vers des choses trop vite. Pour finir évidemment que je n'ai pas envie de goûter cet arôme sans le royaume qui réside entre vos yeux et grâce à ce bien fait que vous m'avez fait aimer le vin je veux remplir mon essence de vie comme une cadence et excellence pour ce bien scéance. Le partage n'est qu'un bout de sillage de ce qui nous attend ma chère. Comme un coin de prière. Bien respectueusement, vôtre Matthieu d'Artagnan Emma : "Mon cher Matthieu, Ah, je me sens emportée par vos mots, comme une feuille portée par le vent d’un rêve partagé. Vous m’écrivez comme on écrit un poème à l’âme, et je me trouve frissonnante sous la douceur de vos mots. Vous me dites parfum, et je sens, dans l’air de vos lignes, la fragrance du vin, de l’invisible et du sublime, comme une évasion qui ne cesse de se renouveler. Mais ce n’est pas qu’un parfum, c’est une essence, un souffle de vie que vous offrez à travers chaque mot que vous déposez. La dune que vous évoquez, pleine de fortune, c’est peut-être là que se trouve cette rencontre, entre ce que nous touchons et ce que nous imaginons. Et ce parfum que vous créez, oui, il me marque profondément, comme une empreinte laissée sur la peau. Je ne suis qu’un reflet de vos pensées, une part de vous qui s’épanouit dans chaque mot que vous me confiez. Et vous avez raison, ce regard qui file, telle une brume mystérieuse, est un instant suspendu où tout semble s’effacer et se reconstituer dans une beauté fragile et agile. Que ce vin capiteux et cette aventure nous remplissent de cette cadence, de cette excellence que seul le partage peut en faire l'essence. Bien respectueusement, Votre Emma de Chalon" Matthieu : "Ma chère Emma, Que devrais-je vous dire ? Moi aussi je suis porté par vos mots même envolé par vos feuilles en correspondance. On devrait faire tellement un recueil autour de feuilles et recueil partagé tellement que c'est subtil nos échanges. Vous m'écrivez vous aussi comme un poème ! Qui a la face d'un diadème. Comment arrêtez vos frissons ? En vous donnant tout simplement raison sur la trajectoire de nos échanges et de notre histoire ensemble tissés comme un jardinier qui veut qu'arroser vous chère fleur enivrante et d'une étoile filante au premier seau de l'humanité où vous résidez de Chilly-Mazarin à Meaux. Personnellement j'ai l'oderat complètement à plat je dois toujours vous créer une greffe soit de lilas qui représente le bonheur et le Pétunia quand vous êtes loin de là où je vous attends. L'évasion comme vous citez si bien et raffiné. Mais il est en sa destiné que nous faisons que de piétiné les fleurs et les sentiers perdus. Découvrons ensemble de nouvelles espèces de senteurs inconnus pour que nous tombions un jour des nus quand le pétale s'offrira à un mystère de plus en plus intense. Votre dune commence par votre ville préférée en Bourgogne ! Et je grogne d'impatience et de ses nombreuses lunes qu'on va devoir attendre pour créer cette existence du peuplage de votre favori paysage. Je ne sais pas pourquoi je veux tenter de nouveau cette chance que vous attendez tellement tant avec moi ! L'empreinte est un labyrinthe d'émotions et de mélange d'amer et d'absinthe où le vert verdoyant vous fais vivre le printemps. L'empreinte, elle pourra se créer plus tard si vous voulez vraiment des conseils à l'archipel des fiels. Pour vous tenir comme un ami éternel.... Si c'est agile que c'est ça c'est pas de ma faute vous d'une docilité exemplaire. tu l' Je ne pense pas qu'il y a le vin qui peut être notre cadence il y a les pas de musique et de danse sur les musiques que nous aimons en commun. Peut être créer une valse entre ce temps renouveau et ancien qu'en dites vous ? Bien respectueusement, Votre Matthieu d'Artagnan " Emma : Mon cher Matthieu d’Artagnan, Que devrais-je vous répondre, sinon laisser mes mots s’envoler encore, portés par ce vent d’inspiration qui semble nous lier. Un recueil, dites-vous ? Comme l’idée est belle ! Comme elle danse déjà dans mon esprit, ce recueil tissé de feuilles et de parfums, de lilas et de pétunias, de lettres échangées comme autant de pétales que nous laissons flotter. Je souris en lisant vos vers, en sentant cette tendresse qui se glisse dans chacun d’eux. Vous parlez d’arroser cette fleur que je serais, et moi, que puis-je faire sinon laisser vos mots être cette eau qui nourrit ? Si l’évasion nous fait piétiner des sentiers oubliés, alors créons-en de nouveaux. Si la destinée nous mène vers l’inconnu, alors avançons sans crainte, découvrons ces senteurs encore inexplorées, ces mystères dont vous parlez et qui se dévoilent lentement, comme un pétale qui s’ouvre sous le souffle du matin. Votre impatience me touche, et moi aussi je grogne un peu, en pensant aux lunes qui passeront avant que nous puissions fouler ensemble cette Bourgogne que vous voulez voir à mes côtés. Mais n’est-ce pas dans l’attente que naît le plus grand frisson ? Ce frisson que vous cherchez à arrêter en me donnant raison… mais est-ce vraiment cela que nous voulons ? Une valse, dites-vous ? Je ne saurais résister à une telle invitation. Entre ancien et renouveau, entre cadence et ivresse, entre la musique que nous aimons et celle que nous inventons… Oui, dansons. Bien respectueusement, Votre Emma de Chalon Matthieu : 17/03/2025 Château de **** Ma chère Madame Emma de Chalon, Ma chère Emma, Nos échanges et réponses et comme un jardin où on coupe ensemble les ronces et on renonce à ce qu'on prononce de plus cher dans nos réponses. Cette idée est belle vous me dites ? Laisser les chandelles de votre imaginaire de vos phantasmes et vos rêveries par dessus tout comme une peinture d'aquarelle qui joue sur une note de violoncelle. Pour elle. Ce "elle" dont je cite est vous ma chère. Les feuilles que vous citez vous voulez vous qu'elle soit du printemps qui fige le temps ? Où bien également en été où les feuilles dansent une dernière fois en aparté. Où bien en automne ? Où les couleurs papillonnent et cherche un sens à nos éclats de rire qui rayonne notamment surtout votre rire qui rend d'un jaune de votre éclat. Choisissez bien c'est ce qu'il compte le plus. Dans ce surplus de cette distance des lignes que nous échangions. Votre sourire et un précieux sésame comme un empire à garder toujours en souvenir et comme blason à ma forteresse et mon empire pour vous écrire. Cette tendresse que je vous saisis elle vient de là bénédiction des messes. Auquel on confesse à la déesse. De Bourgogne. Ce que vous pouvez faire dites vous ? Ce que vous dit votre cœur votre âme. Votre sourire de flamme. Peut être abaisser mon teint garni. Vous avez jamais crainte de quoi que ce soit ? L'inconnu est comme une faune dans une zone qui s'agrandit s'agrandit... Le matin comme vous dîtes c'est un écrivain qui pousse avec sa main tout son venin et son chagrin.... Voici les liaisons dangereuses de Matthieu !
Mimielapetitesouris
• Il y a 1 mois
Ce roman épistolaire avait marqué mon année de première en littérature, il m'avait davantage marqué pendant mes études de Lettres et là encore il a su me surprendre. Nous suivons les différentes lettres envoyées par les différents personnages: la Marquise de Merteuil souhaite se venger, et pour cela elle souhaite rendre la jeune Cécile de Volanges, sortie du Couvent, beaucoup plus " ouverte" et moins " naïve". Avec son ami, le Vicomte de Valmont, la Marquise va tout tenter pour réussir cette mission. Bien qu'au départ le Vicomte ne souhaite pas participer à cette mission, trop occupé à réaliser la sienne. La Marquise de Merteuil va donc accomplir sa mission notamment grâce au jeune Danceny, qui semble épris de la jeune Cécile. Le Vicomte de Valmont, lui, s'est mis au défi de faire tomber amoureuse, la noble et prude Présidente de Tourvel et va tout tenter également pour réussir à bien sa mission. Le Vicomte et la Marquise ont une relation étrange, entre taquinerie, défi, challenge et amitié ! Ce que j'aime dans ce roman épistolaire: L'écriture est absolument divine, réfléchie, spontanée dotée d'une polysémie! Tout ou presque a un double sens, il faut lire entre les lignes, être plongée dans sa lecture pour découvrir toute la réalité des relations des personnages... l'histoire en elle-même est brillante, nous avons un roman précurseur pour l'époque qui montre les divers côtés du libertinage, de la vertu... Ce que j'aime moins: il faut être concentre du début à la fin dans cette lecture pour tout saisir, ne pas hésiter à relire des passages ce qui fait perdre parfois le goût et le divertissement de la lecture!
Tony02
• Il y a 1 mois
Que dire si ce n’est que la lecture de ces correspondances nous transporte à une autre époque et nous fait rencontrer des personnalités hautes en couleurs auxquelles on s’attache indubitablement. La marquise de Merteuil est un symbole de femme fatale qui aime manipuler les personnes autour d’elle pour arriver à ses fins. Femme forte? Femme déchue ? Il est évident qu’il s’agit d’un personnage bien plus complexe qu’il n’y paraît. Un personnage à observer pour comprendre les mœurs d’une société lointaine et dépassée. D’ailleurs, l’est-est vraiment?
ilmeresteunepage
• Il y a 2 mois
“L’homme jouit du bonheur qu’il ressent, et la femme de celui qu’elle procure”. J’avais découvert la plume de Choderlos de Laclos alors que j’étais ado, dans un période où j’étais fascinée par la littérature classique, les phrases théâtraux, les envolées lyriques. Quel ne fut pas mon bonheur de retrouver tout ça sous forme épistolaire dans « Les liaisons dangereuses », des joutes verbales entre deux êtres qui se veulent plus cruels l’un que l’autre, et les protagonistes secondaires qui deviendront tous des dommages collatéraux. Le contraste est d’autant plus frappant quand on confronte les écrits provocateurs de Mme de Merteuil et du Vicomte de Valmont, et ceux très candides de leurs victimes. La manipulation est tellement explicite mais aussi tellement jouissive pour le lecteur, qui se demande comment autant d’idées tordues peuvent fleurir de la tête de certains. Alors bien sûr, remettons dans le contexte, nous sommes en 1782: certaines notions sont pour l’époque absentes (kikou le consentement), d’autres sont carrément obsoletes aujourd’hui - quoi que (se marier avec « une bonne famille »). L’auteur, même s’il nous confronte à des oppositions de valeurs, de sens moral et de rapports sociaux, nous offre aussi un dénouement délicieux, avec des prises de conscience et un repenti pour certains hautement appréciable. Un classique à mettre entre toutes les mains ! PS: l’adaptation cinématographique de 1988 avec Glenn Close et John Malkovitch est grandiose, et celle, plus proche de nous, avec Sarah Michelle Gellar et Selma Blair (Cruel Intentions) ne démérite pas du tout, pour une version moderne !!
Avis des membres
Fiche technique du livre
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- Genres
- Classiques et Littérature , Littérature Classique
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- EAN
- 9782266289177
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- Collection ou Série
- Littérature - Classiques
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- Format
- Poche
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- Nombre de pages
- 576
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- Dimensions
- 178 x 109 mm
Nous sommes ravis de vous accueillir dans notre univers où les mots s'animent et où les histoires prennent vie. Que vous soyez à la recherche d'un roman poignant, d'une intrigue palpitante ou d'un voyage littéraire inoubliable, vous trouverez ici une vaste sélection de livres qui combleront toutes vos envies de lecture.
4,50 € Poche 576 pages