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A tue ... et à toi
Date de parution : 28/10/2010
Éditeurs :
12-21

A tue ... et à toi

Date de parution : 28/10/2010

Dubois, lui, tout en gobant ses marennes, m'expliquait en détail la gastro-entérite de sa femme de ménage...

C'est vous dire si la plus totale harmonie régnait dans la salle à manger de ces bons amis ! Et soudain, au moment pile où la mère Dubois se la radinait, portant triomphalement une gigantesque marmite recelant le cassoulet : vlan ! ou plutôt "dring !" le bignou s'est mis à carillonner...

EAN : 9782265091252
Code sériel : 20
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265091252
Code sériel : 20
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Laurent3375 08/02/2024
    Vingtième épisode de notre ami San Antonio avec une édition de 1956. J’ai pris l’habitude d’ouvrir une parenthèse rigolote grâce à Frédéric Dard et son personnage cultissime San A. Ces lectures réveillent d’abord mes souvenirs de jeunesse. C’était le bouquin de mon père pendant les vacances accompagné de franches rigolades. À cette époque, j’avais une quinzaine d’années et avais déjà été mordu par Stephen King (Dieu que le temps passe vite..) Et puis je suis né à Paris et j’y ai vécu 20 ans puis 20 ans en proche couronne parisienne (nul n’es parfait !). Et San Antonio baigne à Paris, ça suinte le Parisien, ses quartiers, ses rues et surtout surtout son argot bien sûr. Vous parler de l’histoire ce n’est pas le plus pertinent, le plus intéressant c’est la philosophie San Antonio et ses couleurs sépia. Partisanes et partisans du mouvement Mee Too : FUYEZ !! Allez j’arrete là pour aujourd’hui mais je reviendrais vous causer un peu du mecton San A, il me reste 155 épisodes à lire avant d’épuiser le stock et je compte bien aller au bout !
  • DR_Cloq 09/10/2023
    Cette vingtième aventure se déroule en France. San Antonio est invité chez un « ami ». En vérité il est surtout intéressé par la bonne bectance de la mère Dubois, conjointe peu ragoûtante (en tout cas la description faite par Antoine n’est guère appétissante !) de cet ami médecin. Repas gâché car il doit se rendre sur les lieux d’un suicide. Suicide ou crime ? Crime ou double-crime ? Et voilà notre aminche reparti sur une nouvelle enquête… Il rencontrera une superbe créature (évidemment !). On attentera à sa vie (évidemment !). Il s’en sortira (évidemment !). Son moral sera mis à rude épreuve, il craint pour sa vie, celle de sa maman… Et sera victime d’une double trahison (Oups ! J’en ai déjà trop dit !… Un très bon roman, comme d’habitude. J’ai encore passé un moment très agréable à lire les aventures rocambolesque d’Antoine à Paname.
  • TmbM 10/01/2023
    San-A est coincé dans le lit d'une clinique. L'intrigue, articulée autour de cette contrainte formelle, prend la tournure d'un huis-clos classique, sans fioriture, et se construit à grand renfort de matière grise et de déductions bien formulées, jusqu'à une chute qu'on voit venir un peu tôt mais dont l'approche est intelligente. Les scènes d'actions habituelles laissent donc place à la réflexion, l'auteur en profite pour parsemer celle-ci de pensées sur l'existence et se laisse même aller à une intéressante philosophie pessimiste, voire fataliste. Retrouvez l'article sur Touchez mon blog, Monseigneur...
  • Mysterfool 22/10/2022
    C’était jusqu’à maintenant mon meilleur San A ; cela restera mon meilleur San A. Je ne m’en lasse pas. Le style épuré, épuré au sens Dardien du terme mais cela ne durera pas, l’intelligence de l’histoire, la mise en scène, car ce roman ressemble à un film, et le suspense final, tout me va. J’oublie les rebondissements et les nombreuses surprises. Et puis la dernière phrase du livre qui est un petit chef d’œuvre et met les frissons quand on connait l’histoire. Extraits : La dernière phrase du roman : Machinalement je mets en route… Je tourne une rue, une autre… Je déclenche l’essuie-glace, mais ma vue reste brouillée… Y a maldonne, les mecs… Ça n’est pas sur le pare-brise qu’il pleut ! FIN
  • AlexandreAllamanche 23/03/2022
    Alors que notre commissaire préféré casse la croûte chez son ami Dubois et son pachyderme d'épouse, le téléphone sonne, appelant le bon docteur pour une urgence. San-Antonio continue donc le dîner en tête à tête avec Mme Dubois qui boulotte son cassoulet avec gloutonnerie, jusqu'à ce que le téléphone ne sonne à nouveau. C'est Dubois qui appelle son ami pour lui signaler qu'il se trouve surement sur une scène de meurtre... Notre héros le rejoint aussitôt et découvre une femme suicidée dans sa baignoire, et son mari raide mort sur le tapis du salon, étranglé par le fil du tel, s'étant manifestement également donné la mort après avoir découvert sa femme dans la salle de bain, le poignet tranché au rasoir... Voilà les bases de cet épisode un peu atypique sur la forme, mais toujours aussi excellent! Une sorte de huis-clos étrange et rapidement inquiétant se met en place pour un dénouement où se mêle les coups de tournevis et les larmes...
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