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Du bois dont on fait les pipes
Date de parution : 28/10/2010
Éditeurs :
12-21

Du bois dont on fait les pipes

Date de parution : 28/10/2010

"Si ma Félicie ne s'était pas mise à chialer devant son poste de télé, rien ne serait arrivé.
Mais moi, les larmes de m'man, je ne peux pas supporter.
Faut que j'agisse.
Seulement quand tu agis comme un con, tu fais des conneries, non ?
Note qu'avec moi, pour ce qui est des conneries, je ne te laisse jamais en manque."

EAN : 9782265091887
Code sériel : 111
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265091887
Code sériel : 111
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Tans78 27/08/2021
    un San-Antonio avec Beru, Pinault, Marie-Marie, Felicie. Ecrit en 1982, soit juste après l’élection de Mitterrand, ce qui donne lieu à des apartés en référence à cette période très amusants avec le recul. Un bon équilibre entre élucubrations et enquête policière.
  • Foxy3115 22/01/2014
    Même pour un grand amateur de lecture, il n'est pas toujours facile de suivre les délires de notre protagoniste, car parfois, il s'exprime en son nom, puis il parle à la troisième personne, parfois même, il interpelle directement le lecteur et nous voilà partie prenante de son histoire. L'argot qu'il utilise, ses expressions qu'on ne retrouve plus aujourd'hui, ses néologismes, ça ralentit quand même un peu la lecture. Mais en même temps, quelle maîtrise de la langue française pour faire des pirouettes pareilles ! On voit là un maître dans l'art de la narration et du rythme, qui arrive aisément à nous maintenir en haleine jusqu'au bout de cette course poursuite dans la capitale. Dans l'ensemble, j'ai beaucoup apprécié ce livre, moi qui ne suis pas particulièrement fan des roman policier !
  • Marc21 27/11/2012
    Bon, c'est passé comme une lettre à la poste. Mais ce n'est pas le meilleur, plutôt moyen. Mais cela n'engage que moi (scuse San-A).
  • tulisquoi 19/03/2010
    Effectivement San-Antonio des conneries, il va en faire, lors de son périple pour résoudre une enquête vieille de deux ans sur la disparition d'un enfant. Il va même aller jusqu'à faire évader le tueur d'enfants de l'asile psychiatrique dans lequel il se trouve afin, espère-t-il, de lui soutirer des informations. Mais San-Antonio ne veille pas assez et voilà que ce tueur d'enfant kidnappe le propre frère adoptif du célèbre commissaire. Mais ce gamin est pas mal "dégourdoche" et va tous les mener par le bout du nez. Alors ce n'est pas toujours facile de suivre les délires de San-Antonio. Parce que parfois, il s'exprime en son nom, puis il parle de lui à la troisième personne. Parce que parfois il interpelle directement le lecteur et nous voilà partie prenante de son histoire. Parce que l'argot qu'il utilise, ses expressions qu'on ne retrouve plus aujourd'hui, ses néologismes, ça ralentit quand même un peu la lecture. Mais en même temps, quelle maitrise de la langue pour faire des pirouettes pareilles ! Quelle maitrise de la narration, du rythme pour nous faire tenir jusqu'au bout de cette course poursuite à travers la capitale ! Dans l'ensemble j'en garde un bon souvenir de lecture. Je m'étais engagée pour un seul livre dans le cadre du challenge. Mais peut-être que je me laisserai à nouveau tenter si mon chemin croise "Les cochons sont lâchés". A force de voir Daniel en parler, ça me donne envie. Effectivement San-Antonio des conneries, il va en faire, lors de son périple pour résoudre une enquête vieille de deux ans sur la disparition d'un enfant. Il va même aller jusqu'à faire évader le tueur d'enfants de l'asile psychiatrique dans lequel il se trouve afin, espère-t-il, de lui soutirer des informations. Mais San-Antonio ne veille pas assez et voilà que ce tueur d'enfant kidnappe le propre frère adoptif du célèbre commissaire. Mais ce gamin est pas mal "dégourdoche" et va tous les mener par le bout du nez. Alors ce n'est pas toujours facile de suivre les délires de San-Antonio. Parce que parfois, il s'exprime en son nom, puis il parle de lui à la troisième personne. Parce que parfois il interpelle directement le lecteur et nous voilà partie prenante de son histoire. Parce que l'argot qu'il utilise, ses expressions qu'on ne retrouve plus aujourd'hui, ses néologismes, ça ralentit quand même un peu la lecture. Mais en même temps, quelle maitrise de la langue pour faire des pirouettes pareilles ! Quelle maitrise de la narration, du rythme pour nous faire tenir jusqu'au bout de cette course poursuite à travers la capitale ! Dans l'ensemble j'en garde un bon souvenir de lecture. Je...
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