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La saga des sorcières - tome 2
L'heure des sorcières
Annick Granger de Scriba (traduit par)
Date de parution : 18/11/2012
Éditeurs :
12-21
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La saga des sorcières - tome 2

L'heure des sorcières

Annick Granger de Scriba (traduit par)
Date de parution : 18/11/2012

Des siècles durant, les sorcières de la famille Mayfair ont dû fuir les persécutions. Aujourd’hui, elles vivent en paix à La Nouvelle-Orléans. Mais Lasher, l’esprit qui les hante, rage de...

Des siècles durant, les sorcières de la famille Mayfair ont dû fuir les persécutions. Aujourd’hui, elles vivent en paix à La Nouvelle-Orléans. Mais Lasher, l’esprit qui les hante, rage de les voir se détourner de la magie.
Rowan, la treizième sorcière, héritière des pouvoirs ancestraux, est enceinte. Elle accouche la...

Des siècles durant, les sorcières de la famille Mayfair ont dû fuir les persécutions. Aujourd’hui, elles vivent en paix à La Nouvelle-Orléans. Mais Lasher, l’esprit qui les hante, rage de les voir se détourner de la magie.
Rowan, la treizième sorcière, héritière des pouvoirs ancestraux, est enceinte. Elle accouche la nuit de Noël d’un enfant prodigieux : en quelques heures, il acquiert sa taille adulte, parle et marche…

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EAN : 9782823804881
Code sériel : 15314
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
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EAN : 9782823804881
Code sériel : 15314
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Leelane 01/07/2023
    Dans ce deuxième volume, le style d’écriture Anne Rice me plaît toujours autant. Il évolue parfaitement en fonction du narrateur. Par exemple, lorsque le lecteur suit les pensées et les actions d’Evelyne l’ancienne, l’autrice rend avec une grande justesse sa lassitude liée à l’âge, ses souvenirs de jeune femme préservés et toujours chargés d’affect et la manière dont ses pensées vagabondent et perdent le fil. L’histoire de la famille Mayfair continue et on assiste aux événements ayant suivi la réincarnation de Lasher. L’histoire est complexe, les personnages nombreux mais c’est aussi ce qui fait son charme. C’est d’ailleurs ce livre qui m’a donné le goût de la généalogie. La fin du roman pourrait être la fin de l’histoire en soi, même si le troisième volume permettra de mieux comprendre l’histoire de Lasher.
  • FantasyetRomance 27/11/2022
    La saga des sorcières . Anne Rice a su parfaitement rendre cette ambiance Nouvelle Orléans, sorcières de Salem, mystères, secrets, environnement un peu glauque et angoissant. Rien que la maison style louisianne, colonial, des Mayfair fout les jetons. Le rythme est lent, c'est la marque de l'auteure je dirais, elle prend son temps pour nous mettre en condition. J'ai adoré bien sûr.
  • dermaut 31/10/2022
    Toujours un bonheur de lire du Anne Rice , cette famille de sorcières est composée de nombreux membres ,donc il faut sérieusement suivre ,en tout cas au début. Les hommes jouent un rôle un peu plus important dans ce tome et le fantôme est bizarrement très humain . Le terme de thriller fantastique est tout à fait adapté à ce livre.
  • Symphonia2 07/07/2018
    Je viens de relire le deuxième tome de cette série. Autant le premier se concentrait sur la famille Mayfair, autant celui-ci est davantage axé sur Lasher, son passé et sa nature. J’aime ce tome car il répond à certaines questions concernant l’esprit tout en maintenant un suspens. L’histoire de Lasher est intéressante car elle s’entremêle parfaitement avec des éléments historiques, notamment en Angleterre avec le changement de religion du roi Henri VIII, le personnage d’Anne Boleyn et les persécutions des catholiques. Il nous fait voyager en Italie également. Anne Rice excelle vraiment pour brosser et utiliser le contexte historique tout en distillant des éléments fantastiques. Je vais me répéter mais l’histoire est vraiment précise, fouillée, détaillée et passionnante. Anne Rice se permet même d’ajouter un peu de science et d’ADN pour compliquer encore un peu l’affaire mais surtout pour lui donner de la consistance. Quant au personnage de Rowan, mon bémol du premier tome, il est plus attachant dans celui-ci. Bref, cette suite est réussie. Lorsque j’ai fini ce deuxième livre pour la première fois, je me souviens m’être demandé comment l’histoire allait pouvoir continuer. J’ai eu quasiment le même réflexe car la fin de ce tome a l’avantage de bien le clôturer. Mais pas de spoilers. Je vous encourage juste à lire cette série.Je viens de relire le deuxième tome de cette série. Autant le premier se concentrait sur la famille Mayfair, autant celui-ci est davantage axé sur Lasher, son passé et sa nature. J’aime ce tome car il répond à certaines questions concernant l’esprit tout en maintenant un suspens. L’histoire de Lasher est intéressante car elle s’entremêle parfaitement avec des éléments historiques, notamment en Angleterre avec le changement de religion du roi Henri VIII, le personnage d’Anne Boleyn et les persécutions des catholiques. Il nous fait voyager en Italie également. Anne Rice excelle vraiment pour brosser et utiliser le contexte historique tout en distillant des éléments fantastiques. Je vais me répéter mais l’histoire est vraiment précise, fouillée, détaillée et passionnante. Anne Rice se permet même d’ajouter un peu de science et d’ADN pour compliquer encore un peu l’affaire mais surtout pour lui donner de la consistance. Quant au personnage de Rowan, mon bémol du premier tome, il est plus attachant dans celui-ci. Bref, cette suite est réussie. Lorsque j’ai fini ce deuxième livre pour la première fois, je me souviens m’être demandé comment l’histoire allait pouvoir continuer. J’ai eu quasiment le même réflexe car la fin de ce tome a l’avantage de bien le clôturer. Mais pas...
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  • Hedrankopaline 05/03/2016
    Un pont entre le Lien Maléfique et Taltos. Ce n'est peut-être même pas un pont nécessaire entre le premier et le dernier volume de la Saga des Sorcières, mais un aqueduc charriant des litres de fluides en tout genre qui alimentent le récit de L'heure des Sorcières. Ah Anne Rice… J'aime son style luxuriant. Vraiment. Mais dans L'Heure des Sorcières c'est une vraie jungle de mots. On a l'impression de ne pas s'en sortir, on avance laborieusement à travers les descriptions touffues, c'est fourni, trop, et ça s'étire en longueur. On tourne en rond, car il y a un certain nombre de répétitions du premier tome de la saga. le rythme de lecture en pâti lourdement. Au détour de cette inextricable profusion de mots, on croise Lasher incarné, le satyre meurtrier des hôtes de ces pages. Alors là je n'ai pas du tout accroché avec cette entité mutante fétichiste de la tétée liée aux Mayfair. Tous les passages avec lui sont d'un ridicule… Ce doit être l'absence d'instinct maternel : J'aime déjà pas les bébés alors quand ils font une taille adulte l'aversion est décuplée. Plus sérieusement, je vois où Anne Rice a voulu en venir avec lui. Le côté petit ange du diable que peut avoir l'enfant, violent et geignard, sadique et tendre, irrésistible malgré tout et d'autant plus effrayant car en mesure de faire le mal. Seulement, la façon dont elle s'y prend ne m'a pas convaincu. Dommage car Lasher est la nouvelle star du roman. Et là, je me rends compte après toutes mes lectures de cette auteure que, souvent, j'aime beaucoup la façon dont Anne Rice développe ses personnages. Par contre je n'aime pas lesdits personnages. Le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle brosse toujours leurs portraits dans le sens du poil. Même leurs défauts les plus mauvais n'ont pas l'air d'en être. Si jamais je faute aux yeux de la loi, je veux Anne Rice pour avocat. Elle saura donner à mes pires exactions le souffle lyrique à leur démesure qui m'octroiera sympathie et admiration du jury. Illustrons ce point avec Mona, petit génie précoce de treize printemps, dont le pouvoir magique est de transformer tous les hommes qui l'abordent en Pedobear. Même le mari de Rowan, Michael Curry, au fier coeur irlandais, droit dans ses bottes et homme de principe, lui tombe dessus zizi en premier sur le lit conjugal alors que son épouse chérie est portée disparue. Mais on va pas s'éterniser sur la petite gêne que lui occasionne l'aventure, la vie continue. Ils sont tous spéciaux dans cette famille alors pourquoi s'en faire ? De toutes façons, Mona est un personnage inutile selon moi, plus surnaturelle que Lasher. Je n'arrive pas à la considérer comme un don de Dieu fait aux Mayfair comme sa créatrice voudrait m'en convaincre. Ceci étant dit, même si je me suis ennuyée à la lire, j'adhère à la genèse de Lasher, et j'ai vraiment apprécié d'en apprendre plus sur ses réelles origines dans ce livre qui aurait dû porter son titre original, car c'est bien de Lasher dont il est questions tout le long. Et aussi de l'Oncle Julien [masquer]qui a la particularité d'être le seul sorcier de la famille[/masquer] dont on approfondira l'histoire. Par là on en apprend plus sur le clan Mayfair en lui-même. Quand bien même je n'ai pas aimé la narration, une certaine atmosphère se dégage des pages de ce roman, un sentiment d'urgence alors que se joue le destin de Rowan, héritière Mayfair et personnage principal du premier roman, et que se précise le but de Lasher. Et les femmes Mayfair meurent égrenant le compte à rebours jusqu'à la fin. Et cette fin, j'ai lutté sur bien des pages pour l'avoir, mais je ne le regrette absolument pas, bien que plutôt mitigée à la lecture de celle-ci. Anne Rice a réussi à me surprendre et je suis une lectrice plutôt blasée. La façon dont magie et science s'interpénètrent est également quelque chose de bien pensé. J'apprécie la tentative de donner une explication logique au surnaturel sans rien perdre de son mystère car la science apporte plus de questions que de réponses. Alors oui, pour moi, avec ce deuxième tome rempli d'explications (digressions ?), Anne Rice joue les prolongations qui tombent dans le mélo. Quoi qu'il en soit, je suis prête à me mettre à table pour le troisième tome. Un pont entre le Lien Maléfique et Taltos. Ce n'est peut-être même pas un pont nécessaire entre le premier et le dernier volume de la Saga des Sorcières, mais un aqueduc charriant des litres de fluides en tout genre qui alimentent le récit de L'heure des Sorcières. Ah Anne Rice… J'aime son style luxuriant. Vraiment. Mais dans L'Heure des Sorcières c'est une vraie jungle de mots. On a l'impression de ne pas s'en sortir, on avance laborieusement à travers les descriptions touffues, c'est fourni, trop, et ça s'étire en longueur. On tourne en rond, car il y a un certain nombre de répétitions du premier tome de la saga. le rythme de lecture en pâti lourdement. Au détour de cette inextricable profusion de mots, on croise Lasher incarné, le satyre meurtrier des hôtes de ces pages. Alors là je n'ai pas du tout accroché avec cette entité mutante fétichiste de la tétée liée aux Mayfair. Tous les passages avec lui sont d'un ridicule… Ce doit être l'absence d'instinct maternel : J'aime déjà pas les bébés alors quand ils font une taille adulte l'aversion est décuplée. Plus sérieusement, je vois où Anne Rice a voulu en venir avec lui. Le côté petit...
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