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L'assassin qui rêvait d'une place au paradis
Laurence Mennerich (traduit par)
Date de parution : 18/02/2016
Éditeurs :
Presses de la cité
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L'assassin qui rêvait d'une place au paradis

Laurence Mennerich (traduit par)
Date de parution : 18/02/2016
L'Évangile selon Dédé
Après trente ans de prison, Johan Andersson, alias Dédé le Meurtrier, est enfin libre. Mais ses vieux démons le rattrapent vite : il s’associe à Per Persson, réceptionniste sans le sou,... Après trente ans de prison, Johan Andersson, alias Dédé le Meurtrier, est enfin libre. Mais ses vieux démons le rattrapent vite : il s’associe à Per Persson, réceptionniste sans le sou, et à Johanna Kjellander, pasteur défroqué, pour monter une agence de châtiments corporels. Des criminels ont besoin d’un homme de... Après trente ans de prison, Johan Andersson, alias Dédé le Meurtrier, est enfin libre. Mais ses vieux démons le rattrapent vite : il s’associe à Per Persson, réceptionniste sans le sou, et à Johanna Kjellander, pasteur défroqué, pour monter une agence de châtiments corporels. Des criminels ont besoin d’un homme de main ? Dédé accourt ! Per et Johanna, eux, amassent les billets. Alors, le jour où Dédé découvre la Bible et renonce à la violence, ses deux acolytes décident de prendre les choses en main et de le détourner du droit chemin…
Après son vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire, son analphabète qui savait compter, c’est à un malfrat repenti que Jonas Jonasson donne une seconde chance. Déjanté !
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EAN : 9782258135390
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • zazimuth 12/01/2024
    J'ai abandonné cette lecture au bout d'une centaine de pages. J'avais bien aimé "Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire" et beaucoup des romans à l'humour absurde et décalé d'Arto Paaslina mais là je n'ai pas accroché au coeur de l'intrigue. Je ne me suis pas attachée aux personnages et n'ai continué que pour le plaisir des jeux de mots.
  • Analire 08/01/2024
    Jonas Jonasson n’est plus à présenter ! Après Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire qui l’a rendu célèbre, il a publié une dizaine d’autres histoires au titre à rallonge, dont L’analphabète qui savait compter, que j’ai également lu… mais pas forcément très aimé. Comme je n’aime pas rester sur un échec, me voilà lancé dans ce nouveau récit ! Après 30 ans en prison, Johann Andersson, plus connu sous le nom de Dédé le Meurtrier, recouvre la liberté. Il se réfugie dans un piteux hôtel tenu par un réceptionniste du nom de Per Persson. C’est là-bas que va naître sa prochaine escroquerie… ou plutôt… en a-t-il vraiment conscience ? Le réceptionniste Per Personn accompagné d’une pasteur Johanna, vont monter une affaire pas très claire de façon à lui soutirer de l’argent sans qu’il ne s’en rende compte. Mais le pari est risqué et les risques grandissent de jour en jour. Les trois comparses doivent alors fuir. Le réceptionniste et la pasteur vont devoir se triturer les méninges pour trouver une autre affaire capable de leur rapporter gros. Comme d’habitude avec Jonas Jonasson, l’absurde est de mise. On se retrouve face à des situations totalement abracadabrantesques, qui peuvent prêter à rire, mais d’un rire qui doit particulièrement plaire aux habitants des pays du Nord dont est originaire l’auteur. Tout est tourné en dérision. Je dois reconnaître que l’auteur a un sens créatif très développé, puisqu’il est capable d’inventer des scènes ubuesques, dont peu de monde auraient l’idée. Le titre amenait un des sujets principaux sur la table : la religion, largement abordée. On perçoit déjà le sujet à travers le personnage du pasteur, ici féminin, chose au combien exceptionnel, puis par la bascule progressive de Dédé le Meurtrier dans la spiritualité. À sa manière, il va se rapprocher de Dieu, jusqu’à prêcher sa bonne parole devant des centaines de milliers de personnes. Situation cocasse et inattendue quand on sait les antécédents du personnage. C’est justement ce contraste absurde que les lecteurs de Johan Jonasson viennent chercher, ainsi que liberté qu’il s’octroie de parler de tout et de rien de façon décalé et humoristique. Certes, ce n’est pas de la grande littérature, mais ça permet de lâcher prise. Les chapitres sont courts et le livre se lisent vites. Les personnages ne sont pas spécialement attachants, mais leur originalité a de quoi marquer. Un roman grotesque, absurde, totalement délirant, à l'image des autres oeuvres de Jonas Jonasson. Un livre qui ne reste pas dans les annales, mais qui permet de passer un bon moment de décontraction et de rire face à ces scènes surréalistes.Jonas Jonasson n’est plus à présenter ! Après Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire qui l’a rendu célèbre, il a publié une dizaine d’autres histoires au titre à rallonge, dont L’analphabète qui savait compter, que j’ai également lu… mais pas forcément très aimé. Comme je n’aime pas rester sur un échec, me voilà lancé dans ce nouveau récit ! Après 30 ans en prison, Johann Andersson, plus connu sous le nom de Dédé le Meurtrier, recouvre la liberté. Il se réfugie dans un piteux hôtel tenu par un réceptionniste du nom de Per Persson. C’est là-bas que va naître sa prochaine escroquerie… ou plutôt… en a-t-il vraiment conscience ? Le réceptionniste Per Personn accompagné d’une pasteur Johanna, vont monter une affaire pas très claire de façon à lui soutirer de l’argent sans qu’il ne s’en rende compte. Mais le pari est risqué et les risques grandissent de jour en jour. Les trois comparses doivent alors fuir. Le réceptionniste et la pasteur vont devoir se triturer les méninges pour trouver une autre affaire capable de leur rapporter gros. Comme d’habitude avec Jonas Jonasson, l’absurde est de mise. On se retrouve face à des situations totalement abracadabrantesques, qui peuvent prêter à...
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  • Yaourtlivres 13/07/2023
    j'ai du mal à me positionner sur ce bouquin, il y a des choses que j'ai aimées, d'autres pas, le bilan c'est une lecture plaisante mais pas marquante. Un roman divertissant et léger qui a pour principal défaut un manque de consistance dans le schéma narratif. La situation initiale est très bien posée ainsi que l'élément déclencheur: Dédé le meurtrier, Johanna Kjellander et Per Persson s'associent, le premier pour éviter de retourner en prison, les deux autres pour s'enrichir sur son dos. Et puis Dédé découvre la foi... Mais ensuite les péripéties s'enchaînent sans cohérence ni finalité et la chute est tout simplement ratée. Résultat : on finit par se lasser comme dans une série dont la deuxième saison nous déçoit. Les personnages semblent faire du surplace, ce qui dilue progressivement l'effet comique basé sur leur caractère. Et pourtant c'est effectivement grâce à ces personnages que la première partie fonctionne aussi bien : caricaturaux à l'extrême, le meurtrier repenti avec sa propre interprétation de la bible et le pasteur athée sont particulièrement drôles, des blagues simples mais efficaces dans lesquelles on peut parfois reconnaître un peu de soi (la confusion main droite, main gauche, au hasard...). Le narrateur use très tôt d'un soupçon d'auto-dérision bien senti : « Non qu'il soit défendu de s'appeler Per Persson., ou Jonas Jonasson d'ailleurs, même si c'est un peu redondant». Personne n'est parfait en somme. La complicité est alors installée et crée une vraie relation narrateur- lecteur, nourrie par un ton ironique et une exagération continue sur les situations rocambolesques. j'ai du mal à me positionner sur ce bouquin, il y a des choses que j'ai aimées, d'autres pas, le bilan c'est une lecture plaisante mais pas marquante. Un roman divertissant et léger qui a pour principal défaut un manque de consistance dans le schéma narratif. La situation initiale est très bien posée ainsi que l'élément déclencheur: Dédé le meurtrier, Johanna Kjellander et Per Persson s'associent, le premier pour éviter de retourner en prison, les deux autres pour s'enrichir sur son dos. Et puis Dédé découvre la foi... Mais ensuite les péripéties s'enchaînent sans cohérence ni finalité et la chute est tout simplement ratée. Résultat : on finit par se lasser comme dans une série dont la deuxième saison nous déçoit. Les personnages semblent faire du surplace, ce qui dilue progressivement l'effet comique basé sur leur caractère. Et pourtant c'est effectivement grâce à ces personnages que la première partie fonctionne aussi bien : caricaturaux à l'extrême, le meurtrier repenti avec sa propre interprétation de la bible et le pasteur athée sont particulièrement drôles, des blagues simples mais efficaces dans lesquelles on peut parfois reconnaître un peu de soi (la confusion main droite, main gauche, au hasard...). Le narrateur use très...
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  • hervethro 20/11/2022
    Au pays d’Ikea et de Volvo, Jonas Jonasson s’est taillé en une paire de romans une belle réputation de doux-dingue. Il y a dans l’écriture scandinave ce je ne sais quoi qui oscille entre l’humour (très) noir et une naïveté que seuls possèdent les moins de huit ans. J’avais déjà croisé la route d’un vieux papy refusant l’âge de ses artères en partant dans un périple surréaliste puis les rocambolesques aventures d’une championne de calcul aux prises avec une bombe atomique. Avec Dédé le Meurtrier, Jonasson se calme un peu (manque d’inspiration? pénurie d’excitants? Effet du syndrome pantouflard qui guette les écrivains à succès?). Ainsi les péripéties d’un trio composé d’un réceptionniste d’hôtel de passe et d’un pasteur femme défroqué et du fameux Dédé ne dépassent pas les frontières Suédoises. Bien sûr, ça castagne à tout va et on prend quelques libertés avec la morale. En fait, de morale, il y a. Simplement, elle ne coïncide pas forcément avec les standards en vigueur. Dans le monde de Jonas, chaque problème trouve sa solution et si celle-ci ne rentre pas dans les normes de la loi, qu’importe. Un bon coup de batte de base-ball, une petite explosion, un incendie ou l’emploi d’armes à feu viennent aisément à bout des petites vicissitudes quotidiennes. Bref, on ne s’ennuie jamais entre les lignes de Jonasson et, une fois encore, on en ressort avec une pêche d’enfer! Au pays d’Ikea et de Volvo, Jonas Jonasson s’est taillé en une paire de romans une belle réputation de doux-dingue. Il y a dans l’écriture scandinave ce je ne sais quoi qui oscille entre l’humour (très) noir et une naïveté que seuls possèdent les moins de huit ans. J’avais déjà croisé la route d’un vieux papy refusant l’âge de ses artères en partant dans un périple surréaliste puis les rocambolesques aventures d’une championne de calcul aux prises avec une bombe atomique. Avec Dédé le Meurtrier, Jonasson se calme un peu (manque d’inspiration? pénurie d’excitants? Effet du syndrome pantouflard qui guette les écrivains à succès?). Ainsi les péripéties d’un trio composé d’un réceptionniste d’hôtel de passe et d’un pasteur femme défroqué et du fameux Dédé ne dépassent pas les frontières Suédoises. Bien sûr, ça castagne à tout va et on prend quelques libertés avec la morale. En fait, de morale, il y a. Simplement, elle ne coïncide pas forcément avec les standards en vigueur. Dans le monde de Jonas, chaque problème trouve sa solution et si celle-ci ne rentre pas dans les normes de la loi, qu’importe. Un bon coup de batte de base-ball, une petite explosion, un incendie ou l’emploi...
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  • SoWond 14/10/2022
    Pour apprécier les romans de Jonas Jonasson il faut aimer les récits disjonctés, l'humour décalé et les dialogues déconnectés. J'aime bien l'ensemble de ces éléments, mais lorsque je lis, je n'aime pas trop les longueurs et les passages inutiles. Alors au final j'ai une opinion assez partagée de ce livre. J'ai apprécié le ton et l'imagination de Jonasson, mais j'aurais bien fait sauter quelques chapitres en trop.
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