Le Magicien

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Noemetleslivres 07/04/2024

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  Arnaud Lecuyer récemment libéré de prison, reprend le cours de sa vie : observer, attirer, tuer. Pour approcher ses petites victimes il devient Le Magicien, et personne ne se méfie de lui. Sauf le commissaire Mistral, formé à dresser des profils psychologiques de tueurs en série, il sent que derrière les disparitions récentes et les meurtres de jeunes garçons, il y a la signature d'un même homme qui reste insaisissable.  Nous voici plongés dans l'incroyable traque d'un tueur en série quasi invisible, tellement insignifiant qu'il a toujours réussi à passer entre les mailles du filet. Le personnage d'Arnaud Lecuyer est effrayant et dérangeant et la plongée dans son psychisme est criante de réalisme. L'alternance des points de vue entre les différents personnages donne du rythme et surtout du suspens à l'histoire, car on se demande si la police arrivera à temps pour éviter le pire.... Et découvrir l'histoire du point de vue du tueur nous entraîne encore plus dans le thriller et dans la noirceur de l'âme humaine.   Tous les personnages du roman apportent quelque chose au récit et à la traque. Cela se sent que l'auteur maitrise son sujet, et faisait partie de la police judiciaire. Ces détails hyper réalistes, nous entraînent encore plus dans l'intrigue. On voit aussi comment, certaines enquêtes, impactent les policiers qui en sont chargés.  Je n'ai pas vu les pages défilées, je l'ai littéralement dévoré pour savoir si oui ou non les policiers allaient réussir à stopper Le Magicien.  Bref c'est le premier roman que je lis de Jean Marc Souvira mais cela ne sera surement pas le dernier ! Arnaud Lecuyer récemment libéré de prison, reprend le cours de sa vie : observer, attirer, tuer. Pour approcher ses petites victimes il devient Le Magicien, et personne ne se méfie de lui. Sauf le commissaire Mistral, formé à dresser des profils psychologiques de tueurs en série, il sent que derrière les disparitions récentes et les meurtres de jeunes garçons, il y a la signature d'un même homme qui reste insaisissable.  Nous voici plongés dans l'incroyable traque d'un tueur en série quasi invisible, tellement insignifiant qu'il a toujours réussi à passer entre les mailles du filet. Le personnage d'Arnaud Lecuyer est effrayant et dérangeant et la plongée dans son psychisme est criante de réalisme. L'alternance des points de vue entre les différents personnages donne du rythme et surtout du suspens à l'histoire, car on se demande si la police arrivera à temps pour éviter le pire.... Et découvrir l'histoire du point de vue du tueur nous entraîne encore plus dans le thriller et dans la noirceur de l'âme humaine.   Tous les personnages du roman apportent quelque chose au récit et à la traque. Cela se sent que l'auteur maitrise son sujet, et faisait partie de la police judiciaire. Ces détails hyper réalistes, nous...

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• KeyLargo 16/03/2024

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  J’ai eu du mal au départ, pas emballé par une histoire de tueur d’enfants en série. Mais le récit et le style sont plutôt accrocheurs. Quant aux imperfections, il s’agit du premier roman d’un ancien de la PJ, et on peut donc les excuser, d’autant que ses ouvrages postérieurs comme « La Porte du vent » méritent une étoile de plus. Au début des années 2000, on connaît peu en France le profilage des tueurs en série, et de retour d’un stage au FBI, le commissaire Mistral essaie de s’en inspirer. Le Magicien, assassin et violeur de gosses insaisissable, avait cessé de sévir durant 12 ans, sans que l’on sache pourquoi, et voilà qu’il reprend du service, masquant le mal incarné sous l’allure de Monsieur Toutlemonde. Ce n’est pas inintéressant de suivre une enquête qui démarre avec zéro indice, de montrer comment le hasard ou la chance peuvent la faire progresser ou manquer d’échouer. A noter que l’on retrouvera Mistral dans d’autres livres de Souvira, au moins dans « Les sirènes noires », avec quelques comptes à régler entre les deux.
• LaLouveSolitaire 22/02/2024

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  Arnaud Lecuyer sort de prison, après y avoir passer douze années. Le commissaire Mistral a été formé à dresser le portrait de tueur en série. Des enfants sont violés et assassinés selon le même mode opératoire. Un seul a survécu et il apprend aux enquêteurs qu il a été rapproché par un homme faisant des tours de magie. A partir de cet instant, le tueur sera appelé le 'le magicien'. Roman bien écrit. On se laisse porté par l histoire, j ai adoré.
• spirale_livresque 16/02/2024

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  J'ai passé un excellent moment dans cette lecture. J'avais peur que le fait de connaître l'identité du magicien dès le départ fasse perdre du suspense à l'intrigue mais au final pas du tout. En suivant parallèlement le magicien et l'enquêteur on peut voir les rapprochements de l'enquête et les occasions loupées que peut comporter une enquête. Cela ajoute même une certaine tension quand les deux points de vue se frôlent. Le récit met également l'accent sur les dysfonctionnements que peut connaître une enquête policière et plus particulièrement ici lorsque l'ego des enquêteurs ou la rivalité entre les différents services entrent en jeu. Le constat que l'on en tire et qui est applicable à bien des situations est que la communication est importante. Le processus d'enquête est détaillé et c'était parfois frustrant d'assister à certaines situations, notamment lorsque les gens ont des suspicions mais n'osent pas en parler car cela ne le semble pas assez conséquent comme preuve.
• dagoba04 19/12/2023

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  C'est en lisant, ou plutôt en dévorant "L*Évangile de la colère" de Ghislain Gilberti que j 'ai découvert l' existence de ce livre. En effet, dans son polar mystique et torturé, Gilberti faisant lire "Le magicien" a un de ses personnages. Un petit coup de pub pour les copains, le procédé est connu et ne me dérange pas. Et puis quand c'est un des meilleurs écrivains de polar qui recommande moi ça me fait saliver mes papilles littéraires. Autant le dire de suite, on est très très loin de la maîtrise et de la puissance de Gilberti. "Le magicien" est un bon polar certes mais qui souffre d'une écriture banale et sans surprise. Le schéma est très classique et à fait ses preuves: Celui du flic qui court après le méchant. Le problème c'est que Souvira a tout mis sur le méchant et en a oublié le flic. Il nous offre un personnage effrayant et complexe avec le magicien et déçoit avec le commissaire Mistral qui a le charisme d'un balai brosse. C'est vraiment dommage et le jeu du chat et de la souris entre les deux aurait mérité bien mieux au niveau tension et suspense. Il y a même une erreur encore plus grave et qui mérite un carton jaune orangé,je parle du vol de la Laguna bleue... Je n 'en dirais pas plus pour ne pas vous spolier mais je me demande encore comment l' auteur, dans la partie la plus réussie de son récit a pu nous prendre autant pour des cons. Tout n 'est pas à jeter non plus et la deuxième partie (malgré la faute grave sus-citée) arrive à nous tenir en haleine et nous offre un final très réussi. En résumé ce livre aurait pu être une vraie bombe si certains points clés n' avaient pas été négligés. Pas de magie pour moi mais je reconnais tout de même un talent à l 'auteur qui mérite d'être découvert et qui a une belle marge de progression. C'est en lisant, ou plutôt en dévorant "L*Évangile de la colère" de Ghislain Gilberti que j 'ai découvert l' existence de ce livre. En effet, dans son polar mystique et torturé, Gilberti faisant lire "Le magicien" a un de ses personnages. Un petit coup de pub pour les copains, le procédé est connu et ne me dérange pas. Et puis quand c'est un des meilleurs écrivains de polar qui recommande moi ça me fait saliver mes papilles littéraires. Autant le dire de suite, on est très très loin de la maîtrise et de la puissance de Gilberti. "Le magicien" est un bon polar certes mais qui souffre d'une écriture banale et sans surprise. Le schéma est très classique et à fait ses preuves: Celui du flic qui court après le méchant. Le problème c'est que Souvira a tout mis sur le méchant et en a oublié le flic. Il nous offre un personnage effrayant et complexe avec le magicien et déçoit avec le commissaire Mistral qui a le charisme d'un balai brosse. C'est vraiment dommage et le jeu du chat et de la souris entre les deux aurait mérité bien mieux au niveau tension et suspense. Il y a même une erreur encore plus...

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